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    Module apprentissage de la charte d’éthique

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Février 2017

     

     L'éthique c'est quoi finalement

     

    Exercice Charte d'éthique février 2017

     

    « Le Maitriyo »

     

    Le Maitriyo est un code moral de conduite personnelle et de base spirituelle pour toute personne qui s’engage sur la Voie de l’Amour Universel. Que ce soit par adhésion à cette éthique ou tout simplement pour évoluer en conscience, ou encore pour solidifier une pratique spirituelle, le « Maitriyo » est une référence incontournable.

     

    Cette charte d’éthique  comporte 19 vertus morales à développer, que chaque adhérent est tenu d’observer dans sa pratique quotidienne.  Tous les membres qui adhèrent, s’engagent à respecter ce code comme éthique, en famille, avec leurs amis, et dans tous leurs rapports de vie. Ils doivent faire preuve d’Amour Universel envers toutes les races, toutes les ethnies, et toutes les religions, sans discrimination, dans le respect, la joie et la bonne humeur.

     

    Le Maitriyo est perpétué par tous les êtres qui développent des qualités fraternelles, par les adhérents et toutes les personnes désireuses d’avancer sur la  voie de l’Amour Universel et de la Paix. Chaque personne qui adhère à ce code devient un ambassadeur du Maitriyo et porte « le bracelet de distinction » en signe d’adhésion.

     

    Code moral du Maitriyo 

     

    1/ L’Amour Universel est le plus pur des sentiments humains

    2/ La bienveillance  est la richesse du cœur

    3/ La bonté se dévoue pour être généreuse

    4/ La convivialité sereine est un partage harmonieux

    5/ La sincérité affectueuse exprime ses sentiments sans artifice

    6/ La confiance mutuelle est une conquête de chaque instant

    7/ La politesse est une vallée respectueuse et impartiale

    8/ L’aide et l’entraide s’aident entre elles

    9/ La tolérance est une conquête sur « soi »

    10/ L’égalité des chances est une chance d’égaliser

    11/ La solidarité est l’unité qui fait la force

    12/ La moralité se construit sur l’exemple

    13/ La compréhension est une prise de conscience effectuée en douceur

    14/ La patience prend son temps

    15/ La liberté n’a pas de maître

    16/ L’honneur est une distinction qui cache bien ses trésors

    17/ La méditation cherche son âme dans les profondeurs intérieures

    18/ L’humilité est un écrin de douceur pour l’âme

    19/ L’espoir apaisant réunit chemin et but dans l’instant présent

     


     

    La charte d’éthique Maitriyo est une convention philosophique engageant « le disciple spirituel » dans sa quête d’absolu, l’être humain dans son unité fondamentale, l’érudit dans sa soif de connaissance, et/où le croyant dans ses revendications religieuses. Ses 19 vertus rappellent ainsi à tous les ambassadeurs du Maitriyo, les principes simples qui doivent guider leurs comportements dans la vie ordinaire et les aider à ne pas briser le lien de confiance qui les unit entre eux. Il en va de notre « responsabilité universelle » de partager cette éthique commune si nous souhaitons réellement entrer dans une nouvelle réalité.

     


    L’éthique c’est quoi finalement

     

    L’éthique selon « Toupictionnaire » le dictionnaire de politique ? 


    Étymologie : du grec ethikos, moral, de ethos, mœurs.

    L'éthique est la science de la morale et des mœurs. C'est une discipline philosophique qui réfléchit sur les finalités, sur les valeurs de l'existence, sur les conditions d'une vie heureuse, sur la notion de "bien" ou sur des questions de mœurs ou de morale.

    L'éthique peut également être définie comme une réflexion sur les comportements à adopter pour rendre le monde humainement habitable. En cela, l'éthique est une recherche d'idéal de société et de conduite de l'existence.

    Étymologiquement le mot "éthique" est un synonyme d'origine grecque de "morale". Il a cependant, de nos jours, une connotation moins péjorative que "morale" car plus théorique ou philosophique. Tandis que la morale est un ensemble de règles ou de lois ayant un caractère universel, irréductible, voire éternel, l'éthique s'attache aux valeurs et se détermine de manière relative dans le temps et dans l'espace, en fonction de la communauté humaine à laquelle elle s'intéresse.

    Dans "Le capitalisme est-il moral ?" (Albin Michel), le philosophe André Comte-Sponville distingue l'ordre moral de l'ordre éthique. Pour lui, la morale est ce que l'on fait par devoir (en mettant en œuvre la volonté) et l'éthique est tout ce que l'on fait par amour (en mettant en œuvre les sentiments).


    La vertu c’est quoi finalement


    La vertu selon « Toupictionnaire » le dictionnaire de politique ? 

     

    Étymologie : du latin virtus, vertu, force morale, force d'âme, valeur, vaillance, courage, dérivé du latin vir, homme, mari, époux, homme de courage, homme de cœur.

     

    Sens 1

    Dans un sens vieilli, la vertu désigne le courage physique ou moral, la force d'âme, la vaillance.

     

    Sens 2

    Sous l'influence du christianisme, le terme vertu a pris un sens de valeur morale. La vertu est la capacité, la disposition spirituelle ferme et constante qui conduit un individu à agir en accord avec un idéal moral ou religieux ou avec la loi divine, à faire le bien et à éviter le mal, en dépit des obstacles rencontrés.


    Exemple : mettre la vertu de quelqu'un à l'épreuve.

    Synonymes : capacité, qualité, aptitude.

    Antonymes : défaut, vice.


    Vertus principales selon le domaine :

     

    Philosophie classique :

    Les quatre vertus cardinales identifiées par Platon

    La Prudence, la Justice, la Tempérance et le Courage (ou Force d'âme).

    Christianisme :
    Les trois vertus théologales qui

    complètent les quatre vertus cardinales

    La Foi, l'Espérance et la Charité.
    Elles sont censées guider les hommes dans leur rapport au monde et à Dieu.

    Catholicisme :
    Les sept vertus catholiques

    La chasteté, la tempérance, la prodigalité, la charité, la modestie, le courage et l'humilité.

    Les trois vertus monastiques :

    L'obéissance, la pauvreté et la chasteté.

    Vertu politique selon Montesquieu

    Le civisme : l'amour des lois et de la patrie qui nécessite de préférer l'intérêt public au sien propre.

    Franc-maçonnerie :
    Les trois vertus maçonniques

    La tolérance, la bienfaisance et la solidarité.

    Scoutisme

    La franchise, le dévouement et la pureté.

    Vertus intellectuelles

    L'intelligence, la science, la sagesse, l'art et la prudence.


    Plus généralement la vertu est une disposition particulière pour accomplir tel devoir ou telle bonne action et par extension une qualité morale.

    Exemple : les vertus civiques.

     

    Sens 3

    La vertu est la capacité, le pouvoir de quelque chose à produire un effet bénéfique.

    Exemple : les vertus des plantes médicinales, d'un aliment.

    Synonymes : effet, bénéfice, pouvoir, propriété, qualité.

     

    Sens 4

    Dans un sens littéraire et vieilli, la vertu désigne la chasteté féminine, la pudicité attendue d'une femme, la fidélité d'une épouse.

     


    Qu’est-ce que l’éthique?

    http://gpp.oiq.qc.ca/qu_est-ce_que_l_ethique.htm

     

    L’éthique est une réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions. Cette réflexion s’intéresse à nos rapports avec autrui et peut être menée à deux niveaux.

    Au niveau le plus général, la réflexion éthique porte sur les conceptions du bien, du juste et de l’accomplissement humain. Elle répond alors à des questions comme :

     

    ·         qu’est-ce qui est le plus important dans la vie?

    ·         que voulons-nous accomplir?

    ·         quels types de rapports voulons-nous entretenir avec les autres?

     

    Les valeurs deviennent ainsi des objectifs à atteindre, des idéaux à réaliser. À l’échelle individuelle, nos actions sont autant de moyens d’actualiser nos valeurs. À l’échelle collective, l’imposition de règles est aussi un moyen de réaliser l’idéal partagé; les actions qui vont dans le sens de l’idéal deviennent des devoirs, des obligations. Les règles, cependant, sont générales et ne peuvent couvrir toutes les situations où des choix d’actions sont nécessaires.

    C’est pourquoi la réflexion éthique porte aussi, au niveau particulier, sur les cas embarrassants et les dilemmes. Elle répond alors à des questions comme :

     

    ·         quelle est la valeur la plus importante dans cette situation?

    ·         quelle est la meilleure décision éthique dans ces circonstances?

     

     

    L’éthique professionnelle

     

    En éthique professionnelle, la réflexion porte sur les valeurs qui motivent les conduites des professionnels et qui sont actualisées dans les codes de déontologie.

    Les valeurs des ingénieurs définissent un idéal général de pratique. Le bon ingénieur se distingue, entre autres, par sa compétence, son sens des responsabilités, son engagement social. Ce que cela signifie dans la pratique quotidienne, le code de déontologie aide à le comprendre en énonçant les devoirs et obligations découlant de l’idéal du groupe.

    L’idéal de pratique justifie l’imposition de règles contraignantes et motive à les respecter. La déontologie, comme tous les systèmes de règles, a cependant des limites.

    La pratique du génie est diverse et complexe. L’évolution économique et technique fait apparaître des problèmes éthiques nouveaux. Les ingénieurs, en outre, travaillent majoritairement dans des organisations qui ont des valeurs différentes des leurs. Au niveau particulier de la pratique professionnelle, la réflexion éthique redevient donc nécessaire pour résoudre les cas complexes et les conflits de valeurs.

     

     

    La réflexion éthique

     

    Le but de la réflexion éthique est de déterminer non pas les valeurs les plus motivantes, sur le plan subjectif, mais celles qui peuvent justifier rationnellement notre action, celles qui constituent de bonnes raisons d’agir dans un sens ou dans l’autre. Dans le domaine éthique comme dans le domaine technique, les ingénieurs ne sont pas guidés par leurs préférences personnelles. Ils font des choix rationnels et sont capables de les justifier en donnant des raisons telles que l’intérêt du client, la qualité de l’environnement, la sécurité du public.

    La réflexion éthique permet de déterminer les valeurs qui constituent des raisons d’agir acceptables par l’ensemble de la société, par les personnes qui partagent l’idéal de pratique et, au niveau particulier, par les personnes et les groupes touchés par une décision.

     


    C’est quoi l’éthique d’un point de vue philosophique ?

     

    Extrait du philosophe Bernard Stiegler qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles – sociales, politiques, économiques, psychologiques – portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques. 

     

    Quelle définition donneriez-vous de l’éthique ?

    Il y a plusieurs manières de répondre à la question de ce qu’est l’éthique, parce qu’elle est extrêmement liée à ce qu’on appelle l’ethos. Qu’est-ce qu’un ethos ? C’est de là que vient le mot éthique. Parfois, on traduit le mot ethos par « caractère » : quand Aristote, par exemple, emploie le mot ethos dans La Poétique, on le traduit par « caractère ». Chez Heidegger, on le traduit par « séjour », l’espace et le temps où l’on se tient. Cela veut dire la place que l’on a. Dans une société telle que l’Inde, par exemple, je ne crois pas qu’il y ait un concept d’ethos. Mais il n’empêche que cela correspondrait aussi, peut-être, à une pensée des castes : la place que l’on a dans la société, y compris socialement parlant.

    Et pour moi, l’éthique chez les Grecs, c’est lié à ce qu’on appelle l’aidos, qui se traduit par pudeur, par honte. C’est la traduction que je retiens : la honte. Mais on la traduit aussi par honneur, par le sentiment de la dignité. C’est un mot qui vient de Hadès, qui est le nom d’un dieu, le dieu de la mort. Pour moi, l’éthique, c’est ce qui cultive le sentiment de l’aidos, l’aidos étant le sentiment d’être mortel, savoir qu’on est un mortel, et qu’en tant que mortel il y a des choses qu’on ne peut pas faire. On ne peut pas se comporter comme un animal. Chez les Grecs, un animal n’est pas « un mortel », il est périssable. Être mortel, c’est savoir que l’on va mourir. Et c’est vivre dans un rapport au temps –  l’éthique et le temps sont extrêmement liés –, dans un rapport au temps qui est surdéterminé par le fait que l’on sait que ce temps va s’arrêter un jour, et on le sait tellement que tout ce que l’on fait dans la vie est surdéterminé par ce savoir.

    Y a-t-il une tradition dans laquelle s’enracine particulièrement l’éthique ?

    On dit, et on a raison de le dire, que le judaïsme, ou disons le peuple qui est à l’origine du monothéisme, est le peuple éthique. On a raison de le dire, mais le mot éthique n’est pas hébreu, il est grec. Et les premiers à parler d’éthique ne sont pas les Hébreux, ce sont les Grecs. Le grand texte sur l’éthique c’est Aristote, le premier…

    Alors pourquoi peut-on dire que le peuple juif est le peuple éthique, bien que le mot éthique ne soit pas hébreu ? Je crois que c’est parce que c’est le peuple qui pose la question en tant que peuple, et non simplement en tant qu’individu, de sa position par rapport à ce que l’on appelle la transcendance ; et donc de sa place, qui, par ailleurs, s’accompagne de prescriptions.

    Faites vous une différence entre l’éthique et la morale ?

    Je distingue, chose qui est souvent confondue, l’éthique de la morale. En disant que l’éthique, c’est une situation où l’on est contraint de ne pas sortir de sa place ; la morale, c’est ce qui définit des règles partagées par un ensemble de gens sur la manière de ne pas sortir de sa place. Ce n’est pas la même chose. On peut respecter la morale sans être éthique. Et par ailleurs, l’éthique véritable, c’est quand on rencontre une situation où il n’y a pas de règle morale qui fonctionne, et où là, on doit décider de quelque chose. Donc, c’est une question de l’invention. Un être éthique, c’est quelqu’un qui est capable d’inventer une position digne, non honteuse, c'est-à-dire un aidos, une façon d’être dans l’aidos, là où la morale ne lui apporte aucun secours. Donc c’est une manière aussi d’affirmer le caractère singulier de l’être éthique. L’être éthique est un être absolument singulier. Personne ne peut lui donner sa loi.

    On a besoin, pour pouvoir vivre éthiquement, d’avoir des cadres moraux qui nous donnent des règles, avec lesquelles on n’est pas forcément d’accord, mais on vit dans tel pays, il faut respecter les règles. C’est ce que dit la fameuse morale par provision de Descartes – Wittgenstein dit la même chose : « Je suis à tel endroit, un pays vit comme ça, si je suis dans ce pays-là, il faut adopter ses règles, sinon je m’en vais. » A fortiori quand c’est mon pays, bien entendu. Cela s’appelle l’éducation.

    Ce qui fait que l’éthique n’est pas une morale, c’est qu’elle n’existe pas. Elle reste toujours à inventer. Il en va de même pour la justice. La justice n’existe pas. Mais le droit existe. Il y a un droit positif, il faut respecter le droit.

    Puisque l’éthique est toujours à inventer, comment s’y prendre ?

    Je pense que l’éthique est un sentiment qui est transmis. Le mythe de Prométhée et d’Épiméthée dit que c’est un sentiment qui est inscrit au fond du cœur du mortel. En puissance, tout être humain doit être éthique. Mais en acte, il ne peut l’être que si on le forme à le devenir. C'est-à-dire que la puissance, chez Aristote, la dynamis, c’est la matière. Et cette matière, elle n’est qu’en puissance, il faut la travailler pour qu’elle devienne effectivement éthique. Cela s’appelle l’éducation, ce que j’appelle, moi, le soin. Cela se transmet. C’est ce qui suppose la formation d’un surmoi, surmoi dont j’hérite, que j’ai hérité de mon père, qui lui-même l’a hérité de son père ; donc je l’hérite de mon grand-père, qui lui-même l’a hérité de son grand-père, et ainsi je l’hérite jusqu’à…. C’est ce qu’Antigone appelle « la loi non écrite ». Elle est non écrite parce qu’elle est inénarrable, immémorable, … et elle a une autorité colossale ! Chez les monothéistes, la source, c’est Dieu le père. Dieu le père, c’est le Dieu éthique à cause de cela, parce qu’Il est cette source-là.

     

    C’est là d’ailleurs que se noue le rapport entre éthique et morale. Tout le problème est que si vous avez une technique éthique, vous risquez de faire fonctionner votre technique automatiquement, et elle ne devient plus éthique mais elle devient morale. Et vous avez perdu l’éthique. Mais si vous n’avez pas de technique… y compris des techniques de respiration qui consistent par exemple à s’hyper-oxygéner le cerveau. Il y a toutes sortes de techniques du corps. Cela commence par le corps; le yoga et toutes ces choses-là en font partie, mais il y en a beaucoup d’autres. Des techniques de prières, il y en a beaucoup. Des moulins à prières… Toutes ces choses-là, ce sont des techniques qui consistent à vous mettre dans une certaine disposition. Que va me donner cette disposition ? Elle va me permettre de passer sur ce que j’appelle l’autre plan. Il y a un plan éthique, c’est ce que j’appelle le plan des consistances, c’est le plan de ce qui n’existe pas. Finalement, les choses éthiques relèvent de ce qui n’existe pas et que Héraclite appelle l’inespéré. L’inespéré, c’est quelque chose qui n’est pas espéré, parce qu’il est tellement inespérable qu’il n’est pas espéré, parce qu’il n’existe pas. Il est inconcevable. Mais Héraclite dit : « Qui n’espère pas, il ne l’atteindra jamais, l’inespéré.» Il faut espérer pour atteindre l’inespéré. Il faut attendre pour atteindre l’inattendu. Et ça, cela suppose des techniques. Ce ne sont pas des attentes comme les autres.

     

    La culture éthique, c’est ce qui est capable de se projeter sur ce plan que j’appelle l’autre plan, le plan de la consistance. Ou le plan de l’élévation, qui me permet de produire l’inattendu. C’est-à-dire ce dont on parlait tout à l’heure, ce que la morale ne nous apportera jamais. La morale vous dit : « Il faut vivre comme ci, comme ça, etc., conformément à la société. » Mais là où la société vous attend vraiment, c’est là où vous êtes inattendu, c’est là où vous allez dire : « Non, non, aujourd’hui ce n’est plus comme ça qu’on règle le problème. » La force des prophètes, du prophétisme, c’est ça : un prophète est toujours quelqu’un qui vient contre, à commencer par Jésus Christ, qui d’un seul coup dit : « Ça suffit tous vos machins, ce n’est pas du tout ça que disent les Écritures !» Mais c’est vrai des artistes, c’est vrai des scientifiques, c’est vrai des inventeurs. Finalement, l’éthique c’est l’invention. C’est une invention au service de ce que j’appelle l’individuation. Au sens où Gilbert Simenon en parle. L’individuation, c’est la poursuite du devenir de ce que c’est que – on dit genre humain aujourd’hui – disons, la transformation des mortels, ceux qui n’ont pas de qualité, et qui doivent s’élever sans cesse au-dessus de leur défaut de qualité, pour faire de ce défaut une qualité et ce qu’il faut.

     


     

    Exercice pratique

     

     1/ Pensez-vous qu’une charte d’éthique universelle pourrait vous aider à mieux vous structurer personnellement, à mieux grandir avec les autres êtres qui vous entourent, et à mieux communiquer avec tous les autres êtres sensibles dans le respect dû à chacun ? Développez votre point de vue en une vingtaine de lignes minimum ?

     

    2/ Aujourd’hui, le monde est à la mondialisation. Chacun peut apprendre et développer les sujets qu’il aime, communiquer avec des êtres de l’autre bout de la planète, où encore partager ses recherches avec le plus grand nombre grâce aux plates formes internet. Pensez-vous que cette internationalisation globale devrait s’habiller de plus d’honnêteté, s’enrichir de déontologie, et philosopher en se créant de nouvelles ressources en ce sens ?

     

    3/ L’éthique et la vertu cohabitent-elles toujours de paires selon vous ? Et pourquoi ?

     

    4/ Pensez-vous que la charte d’éthique « Maitriyo » soit représentative d’une morale qui pourrait convenir à tous les êtres sensibles de toute la planète ? Défendez votre point de vue en argumentant votre réponse.

     

    5/ Nous pouvons toujours « détrousser » les autres de leur travail, s’approprié les ressources de la terre, inventer quelque chose d’autre qui ressemble à ce qui existe déjà, soustraire pour refaire apparaitre différemment ailleurs, où nous pouvons faire autrement pour une fois. « Reconnaitre » la valeur d’un individu et promouvoir son travail est aussi une question d’éthique et de moralité.  Pensez-vous que favorise l’expression de chacun en partant du bas pour monter vers le haut est un apprentissage sociétal envisageable pour tous les êtres sensibles ?

     

    6/ La faim dans le monde n’est pas une fatalité pourtant cela existe en vérité partout autour de nous, au Tibet, en Thaïlande, en France et dans tous les pays du monde. Pourquoi? Est-ce une question d’éthique selon vous ? Pensez-vous qu’une charte d’éthique internationale devrait exister pour interdire où endiguer ce problème là ? Pensez-vous que c’est une question de conscience individuelle, de conscience collective où de conscience universelle si, au jour d’aujourd’hui des enfants meurent encore de faim ?

     

    7/ Comment faire pour qu’une charte d’éthique soit reconnue d’utilité public selon vous ? Défendez votre point de vue en effectuant des recherches approfondies sur le sujet ?

     

    L’éthique est une expérience où la lumière d’un simple objet peut y être révélée. "Dans la mesure où celle-ci possède à la fois un nombre fini d'éléments dans un espace fini et où elle autorise pourtant un nombre indéfini de combinaisons, elle donne une illustration concrète, symbolique, de la façon dont on peut créer quelque chose de nouveau par un simple réagencement de ce qui existait déjà auparavant. Elle donne ainsi une figure réconciliante des termes apparemment opposés de la permanence et du changement, de l'identité et de la différence. L’éthique permet également d'illustrer un propos soutenant que ce ne sont pas les éléments qui font le tout, mais la forme que prend leur combinaison: le tout n'est pas réductible à la somme de ses parties..."

     


     
    Très bon travail

    Recevez chers étudiants de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

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    Exercice Prière

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

     

    Février 2017

     

    Exercice prière février 2017

     

    Metta Sutta Discours sur l'amour bienveillant

    du Bouddha historique

     

     

    Voici ce qui doit être accompli par le sage

    qui souhaite atteindre cet état de paix parfaite (Nibbana).

     

    Il devrait être appliqué, droit, parfaitement droit, obéissant, doux et humble,

    satisfait, facile à contenter, peu occupé, menant une vie simple, les sens contrôlés,

    sage, discret et pas trop attaché à sa famille.

     

    Il devrait s’abstenir de toute action qui pourrait être réprouvée par les sages

    et cultiver la pensée : « que tous les êtres soient en sécurité et heureux ».

     

    Quels que soient les êtres vivants : faibles ou forts, longs, grands, moyens, courts,

    petits ou gros, visibles ou invisibles, proches ou lointains, nés ou à naître ;

    puissent tous les êtres sans exception être heureux.

     

    Que personne ne déçoive ni ne méprise qui que ce soit, nulle part.

    Que personne ne souhaite le mal aux autres par colère ou malveillance.

     

    Comme une mère protégerait son unique enfant au risque de sa propre vie,

    cultivons un amour sans limite envers tous les êtres.

     

    Que ces pensées d’amour infini imprègnent le monde tout entier, dessus,

    dessous, de toutes parts, sans obstacle, sans haine ni inimitié.

     

    Qu'il soit debout, en marche, assis ou allongé, tant qu'il est éveillé,

    il devrait développer un esprit empli d'amour bienveillant.

    Ceci est l’état le plus noble.

     

    N’ayant pas de fausses croyances, étant vertueux, doté de la vision pénétrante

    et ayant abandonné l'attachement pour les plaisirs des sens,

    plus jamais il ne renaîtra dans ce monde.

     

    Ici se termine le Metta Sutta

     

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜ (*◠‿◠✿)

     

    L’exercice du mois 

     

    Apprendre cette prière de la manière qui vous convient le mieux. Vous pouvez la lire ou l’écrire plusieurs fois, ou encore la réciter comme un mantra, car elle est très puissante. Elle est à utiliser en préparation de la méditation mensuelle, pour faire avancer vos projets d’éveil de tous les êtres sensibles et le monde dans la bonne direction. Gage d’unité entre tous les membres des groupes, elle sera récitée par l’ensemble des participants pendant tout le mois, afin de maintenir l’amour bienveillant dans l’esprit de chacun. Entre solitude et partage, entre macrocosme et microcosme, entre près et lointain, entre vous, moi et les autres, il n’y a ni temps, ni distance, car l’Amour bienveillant est salutaire pour tout le monde.

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜ (*◠‿◠✿)

     


     

    Que la foi grandisse dans votre cœur au-delà de toutes vos espérances

     

    Recevez chers étudiants de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

     

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

     

    ¯˜ « *°•**•°* »˜¯ 

     

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    MCU-Méditation Vijranavadin

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Février 2017

      

    MCU-méditation Vijranavadin-Février 2017

     

    Date des 4 méditations de la Conscience Universelle :

    Nouvelle lune samedi 28 janvier 2017 - Premier quartier samedi 4 février 2017

    Pleine lune 11 février 2017 – dernier quartier 18 février 2017.

    Mantras et chants universels 1h dans la journée où plus (groupe 11h heure locale)

    Méditation collective 1h dans la journée où plus (groupe 20h heure locale)

     

     

    MahaMaitri la grande bienveillance universelle

    Les  7 PLANS en action :

     

    1/ Développer sa Conscience

    2/ Méditer seul où en groupe

    3/ Prier seul où en groupe

    4/ Cultiver ses qualités et vertus

    5/ Partager son Amour envers l’universel

    6/ Vivre joyeux dans le bonheur du contentement

    7/ Défendre la terre, l’écologie et le végétarisme

     

     

     

    Sujet de la méditation de février 2017 :

    Droiture – Persévérance – Transparence

    Naïveté – Opacité -  Pureté

    Insécurité – Abandon – Clarté

     

     

    Durant ce mois de méditation, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond, développe son champ de conscience avec droiture, persévérance et transparence. L’ouverture du cœur est une question de sensibilité féminine, en l’homme comme en la femme, en le cœur comme en le centre, en le yin comme en le yang. Le point de vue doit être observé dans les deux sens, depuis le haut vers le bas et depuis le bas vers le haut. La complémentarité est exigeante car c’est le point de « confiance ». D’un point de vue masculin, la confiance est au centre du mandala, mais d’un point de vue féminin la confiance est dans l’assise. En effet, la sécurité est dans le lotus, dans l’épanouissement, à l’endroit où l’être se pose véritablement. La femme n’est pas plus instable que l’homme, c’est la conscience qui à besoin de soutient, de stabilité, de l’élément terre.  A l’image de l’œuf, la conscience est une moitié de coquille tournée vers le haut et une autre moitié de coquille tournée dans l’autre sens vers le bas. Comme la conscience n’est pas dualitaire, elle est arrondie comme la voûte céleste dans un sens et comme la terre dans l’autre sens. Elle doit apprendre à trouver son assise avant d’exploiter son plein potentiel et de se lancer comme un guerrier à la conquête du monde. Au cœur de cet œuf, l’être n’est pas encore né et tout est possible. Imaginez un œuf de quart rose, l’être est au centre, il n’est pas dans l’intellectualisation, mais dans la chaleur et la douceur de la matrice. En avance sur les événements à venir, il est déjà là, pas encore un joli bouddha sculpté donc pas encore né. Pourtant, la conscience anticipe toujours les choses, elle pénètre, elle complète, elle intègre, elle perce les mystères en révélant les choses au bon moment. Mais, l’œuf est fragile, il peut se fissurer, se casser, être déstabilisé, décliner, où perdre son centre. Il faut un cadre approprié à l’œuf, un endroit où il va s’épanouir dans la sécurité d’un bon entourage. La méditation offre alors une position confortable à l’assise, un endroit où l’être peut expérimenter le vide et le plein en douceur, où le méditant trouve un équilibre entre absence et présence, où l’esprit s’adonne au perfectionnement dans le confort propice à la contemplation. Ici, tranquillité de l’imagination et silence de l’évasion sont de rigueur.     

     

    Durant ce mois de méditation, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond, est au cœur de l’œuf, baignant dans le « U » de la globalité ambiante sans en être affecté. Celui-ci doit comprendre que la conscience contient tout, elle sait tout, elle voit loin, devant comme derrière, à droite comme à gauche, au-dessous comme au-dessus et le tout sans réfléchir. L’intellectuel cherche à comprendre, à couper le fils du beurre en quatre, à déchiffrer des choses, à amasser des connaissances, bref, il veut saisir avec compréhension, alors que la conscience « connait » déjà tout. Elle est la mémoire de toutes les expériences passées, soit de l’être en ce qui concerne la conscience individuelle, soit de tous les humains en ce qui concerne la conscience collective, soit du « grand tout » en ce qui concerne la conscience universelle. L’être qui vit une « conscience pure » est un grand naïf qui est « éclairé » continuellement par la conscience universelle. Quand l’œil divin est ouvert, la luminosité est éclatante et se réfléchit en son intériorité. C’est pourquoi l’assise est importante. C’est elle qui calme, apaise, sécurise, et rassure l’être au plus profond de lui-même. Il doit pouvoir « se poser » à un endroit fixe où il se sentira pleinement en sécurité. Dans le blanc immaculé, personne ne doit « pouvoir » le toucher. Ceux qui parlent de « confiance » en l’ouverture, en la clarté, en la sensitivité sont installés dans la matrice, dans la féminité de quelqu’un ou quelque chose comme une coupe sacrée. Cette coupe n’est pas masculine, elle à nécessité de nombreux sacrifices, des souffrances insoupçonnables et beaucoup d’abnégation. Quand quelqu’un retire « le pouvoir » de quelqu’un d’autre, par voie de conséquence, il perd le sien. Il faut alors beaucoup de prières pour accompagner cette « remontée », pour redonner la « confiance » à celui qui l’a perdue, pour unir les forces divergentes. Le toit du monde est un lieu sacré, personne ne peut y pénétrer sauf s’il y est autorisé par un signe. Dans les hauteurs de l’inconditionné, les glaciers sont permanents, la neige est éternelle et le vent élève toutes les prières vers les cieux dans la droiture de la sincérité et de l’intégrité. Prendre « conscience » de qui l’on est, en étant reconnaissant envers le miroir qui réfléchit « doucement » notre lumière.  


    Durant ce mois de méditation, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond, cultivera sa bonne humeur, son humour, sa joie et son contentement. Actuellement, nous sommes dans une société qui est malade parce qu’elle à abusé du « pouvoir » patriarcal. Elle doit réapprendre la complémentarité, l’unité homme/femme, la coopération de l’assistance mutuelle, l’appartenance universelle et les accords bilatéraux. Le pouvoir de la terre mère et la grandeur de la mère universelle sont immensément abondante et généreuse. Celles-ci cachent en elles beaucoup de trésors que les hommes et les femmes doivent apprendre à retrouver et surtout « respecter » hautement. Il est vrai que tout le monde peut devenir un bouddha, mais tout le monde ne peut pas être un Bouddha historique. Shakyamuni était un pionnier en son genre, un être à la grandeur exceptionnel, un génie précieux pour toute une civilisation. Il ne faut pas minimiser son travail, rabaisser sa réussite et manquer de reconnaissance envers son œuvre. Beaucoup d’autres hommes ont profité gracieusement de cette percée spectaculaire du Bouddha sur la voie de l’éveil. D’autres ont retardé la réalisation des femmes parce qu’ils étaient contaminés eux-mêmes par les 5 poisons. Aujourd’hui, en ce moment particulier de l’histoire, pendant que certains hommes se chamaillent entre eux dans tous les coins du monde, d’autres partagent leurs enseignements en direct et sur internet. L’histoire ne s’écrit plus dans les livres. Tout le monde peut devenir « voyant », retrouver ses origines, être un bouddha et jouir de ses avancements sur la voie de l’éveil en toute autonomie. Dans le silence de leurs intériorités, dans la sécurité du cœur, dans la quiétude de l’assise, dans le fondement du lotus, dans la racine de l’unité fondamentale, les femmes et les hommes qui accueillent leur féminité profitent enfin largement de tous ces enseignements. Tout à coup, l’ennemi de l’ennemi devient un AMI. Un peu comme si un être d’exception plaçait en vous toute sa confiance, son bijou le plus précieux et son espérance la plus profonde, l’amitié bienveillante lie et rend indestructible ceux qui l’emploie.

     

    Éclairé par la lumière de cette compréhension, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond fera de son « agressivité » une force pour anéantir l’ennemi intérieur extérieur et caché. Accueillant en lui les 5 poisons du « cœur créateur » et les 5 poisons de « l’esprit universel », il multipliera les prières élevant des chapelets de drapeaux jusqu’aux confins du toit du monde. Sans austérité envers la joie du cœur, sans rancœur envers le bonheur d’être, sans mécontentement envers la satisfaction du rayonnement, sans aspérité envers l’humour de la répartie, sans antipathie envers la douceur du partage, sans malveillance envers le respect du féminin sacré, chacun observera les règles d’une communion solennelle enrichissante. Si des êtres montent une colline et que d’autres la descendent sur une même route, ils ne peuvent que se rencontrer. Parfois le pouvoir est tout près, juste caché en vous, dans la terre qui vous recouvre, derrière l’arbre qui cache la forêt, dans l’eau du lac de votre féminité, dans le feu des colères, dans les nuages de l’incompréhension, dans le vent qui souffle dehors, dans la beauté de votre créativité, dans la finesse de l’esprit et dans la bienveillance des échanges. En ce mois très précieux où tout le monde se rassemble dans l’intériorité de l’autonomie, le sentiment de sécurité doit être fort, la sécurisation de l’assise de chacun sera un travail de chaque instant. Un lotus bien implanté garantit une ouverture du cœur à l’image de la droiture observée. Chaque méditant doit s’occuper de son champ de culture, en développant son mandala personnel, en exploitant le sens de son histoire individuelle. Comprendre le sens et la forme, en éveillant la foi de l’être divin, en harmonisant son rythme comme un tambour, et dirigeant sa fougue dans le bon sens. Chacun doit s’imbriquer dans le mandala collectif du globe terrestre, et fusionner dans le grand mandala du grand tout universel. Affermi, cartésien, vaillant, solide et stable, le méditant continuera de polir le bijou du cœur, révélant la pureté du diamant, affinant la transparence de la pierre, pour dégager l’éclat de sa perle sacrée. Immuable est la richesse d’un tel bijou, inaltérable est la beauté d’une telle parure, indestructible est la fécondité d’un tel joyau.    


     

    Comment comprendre le fonctionnement du plan :

     

    Le 28 janvier 2017, jour de la nouvelle lune, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.

    Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux. 

     

    Le 4 février 2017, jour du 1er quartier de lune, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.

    Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux. 

     

    Le 11 février 2017, jour de pleine lune, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.

    Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux. 

     

    Le 18 février 2017, jour du dernier quartier, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.

    Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux. 

     

    Le mois de février 2017 sera donc un mois très axé sur les méditations de la joie et la culture du bonheur en soi et en les autres.

     


     

     

    Les méditations journalières se construisent grâce au PLAN, puisque chaque jour correspond à une action particulière. Ainsi, nous allons tous dans la même direction, en respectant le sens sacré de la vie, de la terre et de l’univers. Chacun structure ainsi sa conscience, en apportant son concours à sa manière, tout en participant à rétablir l’être humain à sa véritable place.

     

    Les méditations Vijranavadin s’adressent aux méditants qui sont installés profondément dans la « conscience » en dépassant les seuils de la revanche et du désir inhérent à faire souffrir les autres. Nous sommes 144000 êtres répandus autour du globe, venus sur terre pour apporter un peu plus de conscience. Inutile de forcer où de vouloir être autre chose que soi-même. Notre force est dans le nombre, dans la structure de la fleur de vie, et dans la croissance du plan.

     

    N’oublions surtout pas que nous sommes tous des êtres en évolution constante.

    Apprenons à comptez les uns sur les autres, à nous soutenir, à nous aimer surtout.

    Il y aura toujours des gens riches et des gens pauvres, des personnes qui iront dans le sens du plan et d’autres contre, et même des êtres qui essaieront d’empêcher le PLAN de se manifester.

    Inutile de leur attribuer un pouvoir qu’ils n’ont pas. Utilisons notre énergie dans le bon sens.

    Croire en soi, au pourquoi nous sommes là et agir en sachant « qui nous sommes véritablement » au-delà des apparences physiques ! Être présent à « soi » et empli de bienveillance envers tous les autres êtres sensibles. Libéré et autonome en guidant les êtres vers leur propre libération.

     


     

    Durant tout le mois de février 2017, les 6 cours + le sujet de la méditation Vijranavadin (MCU) vous guident pas à pas, dans votre cheminement personnel, et étayent la structure interne de votre conscience individuelle. Vos 3 consciences principales sont nourries d’un même engrais et vous aide dans le travail à réaliser en « soi » :

     

    Les 6 cours sont publiés dans la semaine de la nouvelle lune, avec les liens en dessous.

     

    1/ MCU=sujet de la méditation Vijranavadin « droiture, persévérance, transparence ».

    2/ Exercice Maitri = « Sécurité et peurs »,

    http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-conscience-fevrier-2017-a128388962

    3/ Exercice méditatif  = « Je suis l’humour, la joie et le plaisir de vivre »,

    http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-meditatif-fevrier-2017-a128267044

    4/ Exercice prière = « Meta Sutta » sur l’amour bienveillant,

    http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-priere-fevrier-2017-a128222126

    5/ Texte sacré = « Tout le monde sait qui tu es »,

    http://veronique-arlette.eklablog.com/texte-sacre-fevrier-2017-a128389142

    6/ Charte d’éthique Maitriyo = « L’éthique c’est quoi ? »,

    http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-charte-d-ethique-fevrier-2017-a128239610

    7/ Exercice symbolique = « Le dodécaèdre ».

    http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-symbolique-fevrier-2017-a128388872

     


     

    Méditer, agir et participer au bon fonctionnement de Mahamaitri la Grande Bienveillance Universelle demandent de la stabilité (ancrage), un certain investissement (force combative), de la régularité (fidélité) et l’amour de son prochain (amour universel).

     

    Participer à la méditation Vijranavadin demande d’avoir de l’Amour Inconditionnel, de la Bienveillance, le sens du Partage, et d’être Fraternel. Mais une seule de ces quatre qualités suffit pour entreprendre et participer à cette initiative collective.

     

    Pourtant, chacun peut toujours participer à sa manière, au cœur de la matérialité, s’il le souhaite vraiment, grâce à des actions dans le sens du plan. Mahamaitri la Grande Bienveillance Universelle appartient à tous ceux qui souhaitent que tous les êtres sensibles trouvent le bonheur.

     

    Alors à tous, j’adresse un « GRAND MERCI » pour tous vos efforts, pour votre participation en ce sens, pour votre investissement à devenir meilleur en soi, pour votre courage à vous discipliner et pour votre soutient inconditionnel. L’amour est un guide universel.

     


     

    Recevez toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment,

    Très bonne méditation et à tout bientôt.

     

    Véronique-Arlette le 26 janvier 2017

    Namasté  

     

    Cours protégé par un Copyright intégrant le texte et les images ©Véronique-Arlette

    Ne pas copier où reproduire sans son accord.

     

     

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    Module apprentissage de la charte d’éthique

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Janvier 2017

     

     

    Exercice Charte d'éthique Janvier 2017

     

    « Le Maitriyo »

     

    Le Maitriyo est un code moral de conduite personnelle et de base spirituelle pour toute personne qui s’engage sur la Voie de l’Amour Universel. Que ce soit par adhésion à cette éthique ou tout simplement pour évoluer en conscience, ou encore pour solidifier une pratique spirituelle, le « Maitriyo » est une référence incontournable.

     

    Cette charte d’éthique  comporte 19 vertus morales à développer, que chaque adhérent est tenu d’observer dans sa pratique quotidienne.  Tous les membres qui adhèrent, s’engagent à respecter ce code comme éthique, en famille, avec leurs amis, et dans tous leurs rapports de vie. Ils doivent faire preuve d’Amour Universel envers toutes les races, toutes les ethnies, et toutes les religions, sans discrimination, dans le respect, la joie et la bonne humeur.

     

    Le Maitriyo est perpétué par tous les êtres qui développent des qualités fraternelles, par les adhérents et toutes les personnes désireuses d’avancer sur la  voie de l’Amour Universel et de la Paix. Chaque personne qui adhère à ce code devient un ambassadeur du Maitriyo et porte « le bracelet de distinction » en signe d’adhésion.

     

    Code moral du Maitriyo 

     

    1/ L’Amour Universel est le plus pur des sentiments humains

    2/ La bienveillance  est la richesse du cœur

    3/ La bonté se dévoue pour être généreuse

    4/ La convivialité sereine est un partage harmonieux

    5/ La sincérité affectueuse exprime ses sentiments sans artifice

    6/ La confiance mutuelle est une conquête de chaque instant

    7/ La politesse est une vallée respectueuse et impartiale

    8/ L’aide et l’entraide s’aident entre elles

    9/ La tolérance est une conquête sur « soi »

    10/ L’égalité des chances est une chance d’égaliser

    11/ La solidarité est l’unité qui fait la force

    12/ La moralité se construit sur l’exemple

    13/ La compréhension est une prise de conscience effectuée en douceur

    14/ La patience prend son temps

    15/ La liberté n’a pas de maître

    16/ L’honneur est une distinction qui cache bien ses trésors

    17/ La méditation cherche son âme dans les profondeurs intérieures

    18/ L’humilité est un écrin de douceur pour l’âme

    19/ L’espoir apaisant réunit chemin et but dans l’instant présent

     

     

    Exercice Charte d'éthique Janvier 2017

     

     

    Révision des neuf dernières vertus de la charte d’éthique

    (Revoir les dix premiers modules du Pack « Avoir l’esprit universel)

     

     

    11 / La Solidarité est l’unité qui fait la force :

    La solidarité fraternelle est un lien de responsabilité et de dépendance réciproque qui unit les personnes entre elles.  C’est un pour tous et tous pour un. Cette démarche humaniste fait prendre conscience aux hommes  qu’ils appartiennent tous à la même communauté bienveillante et qu’ils peuvent compter les uns sur les autres.  C’est ainsi une dépendance agréable et un lien salutaire.

     

    12 / La moralité se construit sur l’exemple :

    La morale est un système de conduite partagée au sein d’une même communauté.  En matière d’Amitié Bienveillante, être digne de confiance, positif, respectueux des intérêts, des valeurs, des opinions, et du style de vie des autres est la base de cette moralité. Rappeler ces règles élémentaires à un « Ami », est un outil Amical Bienveillant et accessible à tous.

     

    13 / La compréhension est une prise de conscience effectuée en douceur: 

    La compréhension est la faculté de comprendre et percevoir les autres rapidement. C’est  savoir embrasser et saisir l’ensemble des choses qui le représente sans jugement. C’est une forme d’indulgence placide et  bienveillante vis-à-vis de nos semblables, qui cherchent tous la voie qui conduit vers le bonheur.

     

    14 / La patience prend son temps:

    La patience est une vertu qui fait supporter les adversités, les douleurs, les injures, les coups durs! Endurance, courage,  résistance, résignation,  et obéissance soutienne cette lutte. Mais la patience persévérante porte en elle un fruit excellent  « l’aboutissement des souhaits ». C’est la tranquillité de l’esprit qui porte un projet, de sa conception jusqu’à sa réalisation. C’est la parfaite compagne du pratiquant car chaque pas est une victoire. 

     

    15 / La liberté n’a pas de maître : 

    Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits spirituels. Chaque individu à un droit égal à ne pas être agressé dans cette liberté. Son autonomie et sa spontanéité sur le sujet vise le dépassement du soi. C’est l’acceptation de la recherche de ce dépassement qui est la base de cette liberté spirituelle. Cette aspiration personnelle et individuelle s’appuie sur le détachement et la liberté qui facilite le progrès spirituel. 

     

    16 / L’honneur est une distinction qui cache bien ses trésors : 

    L’honneur est la qualité essentielle qui conditionne notre attitude et notre manière d’être avec les autres. Nul ne peut prétendre être un Maitriyo, s’il n’a pas une conduite Amicale Honorable. L’honneur exige le respect du code moral «  Maitriyo » et la poursuite de cet idéal, de manière à toujours avoir un comportement digne et respectable. L’Amitié Bienveillante c’est Sacré. 

     

    17 / La méditation cherche son âme dans les profondeurs intérieures :

    La réflexion méditative est une activité humaine de recherche de la vérité. La méditation est un réflexe contre l’agitation mentale. Elle calme l’intellectuel pour ramener l’esprit vers des sentiments plus humain et plus chaleureux. Elle est un pont entre la pensée et la non-pensée. Elle participe de manière naturelle à la vie intérieur de chaque individu au même titre que toutes les autres activités.

     

    18 / L’humilité est un écrin de douceur pour l’âme : 

    Il n’y a pas de rapport de meilleur ami mais juste un « Ami ». C’est garder toujours cet esprit amical de débutant. C’est être juste « Amical » toujours et quoi qu’il arrive demeurer « Amical ». L’orgueil et la vanité freine considérablement l’apprentissage de ce code moral fraternel.  La bonté et la bienveillance ne peuvent s’exprimer sincèrement qu’avec humilité dans l’appréciation de soi-même.

     

    19 / L’espoir apaisant réunit chemin et but dans l’instant présent : 

    C’est le fait d’espérer en une situation ou un monde meilleur. Cette aspiration d’espérance supérieure porte continuellement  toujours plus loin,  apaisant au passage toute forme d’excitation. Tout vient à qui sait attendre dans la confiance, le moment idéal. Cet espoir apaisant est le fruit de la réussite suprême du Maitriyo, car il est le guide qui soutient inexorablement vers les hauteurs, dans l’ici et maintenant.

     

     

     

     

     

    La charte d’éthique du Maitriyo est signée par chaque personne qui s’engage sur le chemin de la bienveillance fraternelle. Elle tend à aider les personnes à respecter certaines règles élémentaires pour instaurer un climat de paix et de bien-être. Chaque personne qui adhère à ce code devient un ambassadeur du Maitriyo. Il s’engage à faire preuve d’Amitié Bienveillante envers toutes les races, toutes les ethnies, et toutes les religions, sans discrimination, dans le respect, la joie et la bonne humeur.

     

    La charte rappelle ainsi à tous les ambassadeurs du Maitriyo, les principes simples qui doivent guider leurs comportements dans la vie ordinaire et les aider à ne pas briser le lien de confiance qui unit les êtres entre eux.

     

    Exercice pratique

     

     1/ Je vous suggère de commencer par relire les 19 vertus de la charte à haute voix pour vous en imprégner. Essayez de ressentir celles qui ont le plus de sens pour vous. Puis écrivez-les sur un morceau de papier, jusqu’à ce que vous retrouviez les 19.

     

    2/ Votre confiance en vous et en les autres se construit sur ce que vous pensez de vous-même et des autres. Ecoutez votre dialogue intérieur et voyez si la charte d’éthique du Maitriyo répond à cette attente et vous aide toujours à avoir plus confiance en vous et plus confiance en les autres.

     

    3/ Pouvez-vous repérer quand les vertus de la charte d’éthique s’imbrique parfaitement dans votre comportement, vis-à-vis de vous-même et des autres, dans votre vie de tous les jours ? Car c’est ici et ici seulement que vous pouvez dire que la charte d’éthique Maitriyo prend du sens en ayant un véritable impact sur votre conduite. 

     


     
    Très bon travail

    Recevez chers étudiants de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

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    Etude de texte sacré

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Janvier 2017

     

     « Conscience Universelle »

    Véronique-Arlette

     

     

    Texte sacré janvier 2017

     

     

    Pour comprendre le fonctionnement de la Conscience Universelle, voyons les dix niveaux de Conscience :

     

     

    Le 10ème niveau de la Conscience Universelle est l’ensemble de la totalité, la pureté éclatante, la couleur blanche transparente de la vérité absolue. C’est l’Amour à l’état pur. C’est le « tout » auquel je ne donnerais aucun nom pour ne favoriser aucune religion. C’est le seigneur de la totalité, le Maître des Maîtres, qui voit tout et comprend « TOUT ». C’est la Conscience immatérielle, sans perception ni aperception et sans substantialité. C’est le rien ou le tout, le vide plein, ou le plein vide. Le né et le non-né. C’est la limite extrêmement  difficile à maintenir, entre « la conscience et la cessation de la conscience ». C’est l’union et la compréhension de la totalité. C’est la dernière vie, celle de l’aboutissement du Maître qui ne reviendra plus, c'est-à-dire qui ne se réincarnera plus. C’est la voie des miracles, des nouveaux enseignements, de « la roue qui tourne » par le changement des Consciences. C’est l’immortalité par la sortie hors du cosmos, en dehors de Samsara la roue de l’existence. Dans cette conscience le temps n’existe pas, il est éternel, éternité et immortalité. Ce niveau est celui de tous les Maîtres qui s’incarnent comme « Avatars ». Cet « être » est un cristal pur dans lequel le Divin « est » et « s’exprime » à travers lui.

     

    Les 9 ème 8ème et 7 ème niveaux de la Conscience Universelle font partie de la triade des « lois cosmiques » ou spirituelles. Ici c’est le seigneur du karma qui décide du retour et du moment du retour. Les lois cosmiques sont le temps,  donc le passé le présent et le futur. C’est le résultat de la fermentation individuelle ou générale, de la « prise de conscience » personnelle et commune qui détermine le retour. Mais dans ces 3 niveaux, ce sont des êtres qui sont pleinement réalisés, des êtres exceptionnels et des Maîtres de sagesse. Quand l’humanité régresse trop, ou qu’elle est en plein essor, les lois cosmiques rééquilibrent l’ensemble pour une harmonisation du tout. Elles sont représentatives de l’accumulation énergétique de chaque être et de toute l’énergie du cosmos. Elles sont le résultat favorable ou défavorable de toutes les actions passées présentes et déterminent le futur individuel et collectif. En bref, pour faciliter la compréhension, si vous avez travaillez beaucoup la méditation et la concentration, vous dégagez une belle énergie et dans votre prochaine vie, vous reviendrez avec cette magnifique énergie et des conditions de réincarnation qui iront avec cela. Si vous avez développé l’Amour Inconditionnel, vous reviendrez avec cette belle qualité énergétique et des conditions favorables à son développement. Si vous n’avez rien fait qu’être négatif, vous ne reviendrez avec rien, et les conditions seront très défavorables. Idem pour la collectivité. Mais parfois, les lois cosmiques demandent à certains êtres exceptionnels de « descendre sur terre » où ils doivent vivre une vie physique et matérielle, pour refaire le chemin inverse vers la remontée. Cette descente terrestre suivie de la remontée vers le Divin créateur est pour apporter à toute l’humanité un message de Paix et d’Amour. Pour éviter à la terre et à tous les êtres « sensibles » de sombrer complètement dans le néant. Tout cela est de l’ordre des lois cosmiques. Ce que vous développez à l’intérieur, au niveau de votre « esprit/cœur », vous l’emportez avec vous, au moment de votre mort. Et si les lois cosmiques peuvent se servir de votre grande évolution, elles le feront, et vous serez heureux de participer à cela, même si parfois, ce sera au prix de la plus grande des confusions et nécessitera d’immenses sacrifices. Les grands « êtres » doivent traverser toute la souffrance de l’humanité, remonter jusqu’au Divin créateur, pour dissoudre toute la souffrance du monde. Telles sont les lois cosmiques.

     

    • Le 9ème niveau (Je suis la totalité) c’est Akanishtha la pure concentration de l’esprit. Ce sont les Maîtres chargés de la protection des guides incarnés,  des archives Akashiques et des civilisations disparues. Ce sont les Maîtres du voyage astral, de l’illumination et de l’éveil spirituel. C’est la « Conscience Divine » du méditant purifié, éclatant de transparence et d’innocence, qui stimule le changement chez les autres « êtres ». Cette conscience aspire vers le positif le bon et le bien. Elle protège et guide les autres êtres parce qu’elle est un pont entre le Monde Divin et le Monde Matériel. Le méditant voit les choses telles qu’elles sont, mais sans utiliser son intelligence. C’est sa pure conscience qui saisit instinctivement les choses. Il va utiliser tous les moyens utiles à la compréhension, sans jamais faire intervenir son intellectuel. Ses actions sont purement intuitives et instinctives. Sa conscience individuelle et complètement absorbée dans la conscience universelle. C’est donc « elle » qui l’éclaire et le guide. Tout lui vient spontanément sans réfléchir. Il peut être un miroir, un conseil, un mot, un geste, un regard ou le silence, parce qu’il est pur Amour. Son enseignement est richesse de perfection pour tous ceux qu’il guide.

     

    • Le 8ème niveau (Je suis le sceau de la totalité) C’est la puissance de la création, du magnétisme et du pouvoir. Ce sont les Maîtres de l’énergie destructrice et purificatrice. Les lois des affaires, des finances et de la force physique qui soutiennent l’individu et le collectif. C’est la « Conscience de Dévotion Suprême ». Le méditant est déjà un cristal blanc mais sa densité n’est pas encore complètement résorbée. Il est inspiré intuitif, visionnaire, mais encore un tout petit peu dans l’énergie de la dualité. Le méditant à des passages en parfaite connexion avec le Divin et d’autres moments qui sont complètement matérialistes. L’espace « temps » n’a pas encore été compris, il n’est pas encore complètement dépassé, et au-delà du par delà. Le meilleur et le pire cohabite dans une parfaire dévotion mais il est encore trop sous l’influence de la matérialité. Il y a confusion entre ce qui « est » et ce qu’il « voit ». Une toute petite distance entre ce qu’il voit et ce qui se passe. Il ne peut pas créer avec sa pensée, parce qu’il y a encore un soupçon de discrimination, qui l’empêche d’être en communion Complète avec le Divin. C’est le niveau qui demande de « sauter » dans l’inconnu en abandonnant toutes ses peurs, de se lancer en avant dans la 9ème, en renonçant complètement à la matérialité, pour passer complètement dans l’autre Monde. C’est comme accepter de « mourir » ici et maintenant sans aucune « peur » devant cette mort symbolique.

     

    • Le 7ème niveau (Je suis le témoin de l’Amour Absolu) ce sont les Gardiens du silence et de la méditation. C’est la pensée créatrice et la cristallisation des pensées. C’est aussi, la révélation des mystères de la création sous toutes ses formes. Ici nous trouvons toutes les inventions, les religions, et  tous les mouvements ésotériques du nouvel âge. C’est la « Conscience de Témoin ». Le méditant est un cristal en devenir. Il passe par l’étape de la pensée qui « s’interrompt » pour entrer dans le flot créateur. Il passe d’une vue verticale à une vue horizontale. Le fruit de la méditation est le silence méditatif. Le méditant développe ainsi son intuition sensorielle au travers de l’expérience de la contemplation. Cette conscience est la base spirituelle des lois cosmiques, en ce sens qu’elle ouvre sur des mondes inconnus dont elle est le réceptacle. Toutes les impressions vont s’inscrire profondément dans cette conscience. C’est pourquoi le méditant doit apprendre à garder le silence et les mystères qui s’y rattachent. Pour ne pas effrayer ceux qui ne peuvent voir et entendre certaines vérités. Pour témoigner son respect envers le créateur Divin, qui lui ouvre sa porte en lui accordant certaines révélations, qui seront en fonction de sa progression. Ici il faut apprendre à observer, continuer à observer, et devenir un parfait observateur. Rien d’autre que cela ! C’est la base des lois cosmiques.

     

    Les 6ème, 5ème et 4ème niveaux de Conscience Universelle font partie de la triade des « lois morales ». Ici c’est le seigneur de l’Amour qui règne en maître, c’est la déesse Vénus qui vérifie la sincérité et accorde le droit de passage. Cet espace est l’espace intermédiaire entre le ciel et la terre. Les lois morales sont le garant et le témoin de la vérité. Elles sont un SAS qui protège les valeurs de loyauté et d’innocence dans toutes leurs puretés révélées. Dans cet espace médiateur, seul demeure la « vérité vraie » des êtres. Tout le reste « reste » en bas. Les lois morales sont les observateurs de l’authenticité individuelle et collective. Elles aident l’individu et l’humanité à conserver l’exactitude des faits, la rectitude et la justesse de l’Amour du Tout. Les lois morales protègent, soutiennent et empêchent l’humanité de sombrer dans le Chaos généralisé. La moralité maintient la vérité éclatante du Divin créateur à travers sa création « l’homme ». Elle témoigne de sa ressemblance et étaye l’identification de l’individu sur cette pureté éclatante. La moralité fait partie intégrante de la « pure vérité » d’un être, d’un pays, d’une nation, et de toute l’humanité. Elle accompagne, fidélise et accrédite les êtres sur la voie de l’Amour et de la recherche de la vérité de cet Amour. Son action agit en profondeur dans l’humain, qui s’appuie sur ses « lois morales » pour construire et structurer son identité individuelle au sein de l’Humanité. Cette valorisation cautionne sa moralité et lui donne accès à d’autres plans de conscience. Mais cette honnêteté doit s’instaurer dans la base individuelle puis collective des êtres, pour édifier la stabilité de la civilisation. C’est pourquoi, il y a ce SAS, ou la vérité est mise à l’épreuve, sous forme d’un jeu du genre « montre moi qui tu es en vérité » !! Ici l’individu et la société sont placés sous le regard du Divin, qui les observe au travers des « lois morales ». Es tu l’être que tu montres que tu es ? Si « oui » tu montes, si « non » redescend !! Telles sont les lois morales qui ancrent « l’amour spirituel » dans le matériel que les hommes construisent.

     

    • Le 6 ème niveau (Je suis la Moralité) ce sont les Maîtres de la beauté, de l’amour, de l’équilibre et de la justice. Mais également ceux de la médecine complète, et des enseignants ésotériques consacrés à la divination. Ce sont tous les serviteurs célestes et Angéliques, et tous ceux qui se rapprochent d’une manière ou d’une autre de l’Amour. Ici c’est la « moralité Supra-Consciente » réceptacle de tous les êtres. Elle est le témoin direct de la pure moralité de l’individu, et de la pureté morale de la collectivité humaine. Elle stocke en permanence la conscience des individus et de la collectivité, en comptabilisant toutes les bonnes actions effectives qui ont été instruites et finalisées par une moralité sans tâche. Les actes sont compris et enregistrés pleinement dans cette Conscience qui « sommeille ». L’individu agit à travers cette moralité « supra Consciente » sans vraiment s’en rendre compte, car la leçon est admisse en toute conscience avec la moralité Divine. Il y a résonnance par ressemblance avec le même taux vibratoire. Elle est donc totalement affranchie et s’inscrit dans la durée, par la marque du « fer forgé » qui à laisser son empreinte dans le cœur. Il n’y a plus à revenir sur ce qui est compris. Cette conscience tranche pour équilibrer et harmoniser. Elle est bien là, mais sommeille à travers tout l’Amour, toutes les pensées et tous les actes des personnes, sans que celle-ci s’en rende compte vraiment. Ici le méditant vit certaines choses en complète harmonie spirituelle. Il commence à opérer une sélection drastique sur ses modes de vie et entrevoit des vérités spirituelles.

     

    • Le 5 ème niveau (Je suis le sceau de la Moralité) ce sont les Maîtres de la communication et tous ceux qui œuvrent avec « le verbe » créateur. Ce sont également tous les chercheurs et les spiritualistes qui travaillent et font de multiples découvertes. Il y a aussi ceux qui inspirent les écrivains,  et ceux qui guident lors de l’écriture automatique. Ici c’est la « moralité Inconsciente », et la mise à l’épreuve, sous le biais de la communication avec l’autre. C’est la Conscience qui s’affirme, qui « est » en réalité mais sous l’effet du rêve. Rêve et réalité se croisent et se décroisent dans un jeu subtil, ou la moralité joue un rôle très important en se confrontant avec l’immoralité. C’est ici que l’être à véritablement le pouvoir d’« observer » qui il est, mais par petite touche et inconsciemment. Pour s’entrevoir et se voir, se découvrir et faire connaissance, passer du concret au subtil, être et ne pas être. Le méditant utilise le jeu délicat et raffiné du « rêve » pour se confronté en toute conscience et en  « réalité ».  Mais cette possibilité qui lui est offerte de pouvoir regarder et sonder les profondeurs de son âme via son cœur, n’est qu’une affirmation de ses propres choix moraux. En vérité et en réalité est-ce que l’être est véridique dans ce qu’il montre sincèrement de lui ? Est-ce que sa moralité est digne et conforme à la moralité Divine ? Est-ce qu’elle est affirmée ou en voie d’affirmation dans toutes les couches de sa Conscience, même les plus subtiles ? Parce que, dans cette moralité, tout ce qui n’est pas encore confirmé est renvoyé vers le 4ème niveau et ce qui est certifié passe dans le 6 ème. Cette moralité sélectionne et trille en fonction du sceau de la moralité Divine. Il n’y a pas d’échappatoire possible avec les lois morales….. !!

     

    • Le 4ème niveau (Je suis le témoin de la Moralité) ce sont les Maitres de la Loi de causalité, les comptables de la loi du Karma et de la doctrine de la réincarnation. Sont présent également tous les Maîtres du foyer et de la reproduction, Les Maîtres de la justice Divine et tous ceux qui prennent en charges les fardeaux des autres. C’est l’accumulation karmique de tous nos actes, bons mauvais et neutres. Ici c’est la « Moralité Consciente » et effective en toute Vérité. Le méditant est vrai ou pas, il sait ou il en est avec sa propre moralité. Si elle est en accord avec le Divin ou pas. Tout cela est en veille en lui, dans son cœur. Cette moralité surgit spontanément, parce qu’elle est présente dans les couches inférieures. Parce qu’il y a déjà eu un très bon travail dans les 3 premières couches de la Conscience. Le méditant à déjà réalisé un cheminement personnel important, avec la réalisation d’un travail sur son intériorité, qui lui permet son avancement. Le fond de son cœur est une toute petite ouverture, un peu comme un rayon de la lumière Divine qui arrive jusqu’à lui. Maintenant il doit confirmer son action en déployant davantage de moralité. Il a compris et enregistré certaines règles, même si le « tout » est loin d’être parfait.  Cette première moralité est la base sur laquelle il appuie son perfectionnement vers le Divin. Ces actes sont encore « en veille » dans la loi de causalité, mais il y a une belle ouverture d’esprit qui témoigne d’une vraie prise de Conscience, d’un lien entre le spirituel et le matériel. L’être se pose beaucoup de questions et témoigne d’un grand intérêt pour les choses supérieures. Ce peut être le premier pas vers la foi, ou vers une cause « noble », ou vers un absolu chargé d’Amour Inconditionnel et très positif. Mais, ce peut-être aussi une très bonne action, la rencontre avec un être supérieur, ou un déclanchement déterminant.

     

    Les 3èmes 2èmes et 1ers niveaux de Conscience Universelle font partie de la triade des « lois naturelles » qui forment tous les individus. Ce sont les Maîtres de la mémoire cosmique et du monde de la forme. Ce sont les lois de l’individualité, de l’émotivité et de la discrimination. L’être prend conscience de son corps, que celui-ci « pense » au travers de l’identification ou de la séparativité. C’est la roue de la réincarnation qui détermine la vie, le corps, les pensées et la manière de penser des individus et de la collectivité.  C’est l’accumulation karmique de la vie précédente qui oriente le choix de cette nouvelle vie. En bref, votre « énergie personnelle», celle que vous avez développée au niveau de vos sentiments, revient  se réincarner dans un nouveau corps, et votre « karma » sera de poursuivre votre évolution. Le karma n’est pas une punition mais un moyen qui vous est donné de vous dépasser.  Il est évidemment chargé de toutes vos expériences passées, qui sont inscrites dans votre Conscience. Mais la souvenance n’est plus et heureusement, parce qu’il faut une grande évolution personnelle pour pouvoir affronter « la vision » de toutes les vies précédentes ! Alors les lois naturelles sont très bien faites en cela, puisqu’elles sont le reflet exact et direct de « qui vous étiez » juste avant de mourir. Elles vous protègent contre vous-même et vos erreurs passées.  Elles vous redonnent une « chance » de tout modifier, de recommencer en mieux, et d’évoluer. Dans cette nouvelle incarnation,  tout « être vivant » est placé « là où il doit être » suivant les lois de cause et d’effet. En effet les lois naturelles sont la représentation « du fond du cœur », du « fond de la pensée » et du « fond de la discrimination ». En vérité « votre vie »dépend complètement de la nature de votre égo, de la nature de vos sentiments, de la nature de vos pensées et de tous les actes qui en découlent. Telles sont les lois naturelles, elles sont exactement telles que vous êtes.

     

    • Le 3ème  niveau (Je suis la Créature) ce sont les Maîtres de la Conscience Divine, de la guérison individuelle et collective, de la Nature et du Monde. Ce sont tous les guides de la Compassion, de l’Amour Inconditionnel et des Enseignants qui s’y rattachent. Ici c’est la « Conscience discriminante ». Les sentiments primaires sont de l’ordre de l’identification, de la discrimination ou de l’unité. L’être humain passe par la reconnaissance de son identité personnelle avec celle de l’autre. Où encore, il ne se reconnait pas du tout dans l’autre et à ce moment là, il rejette et discrimine. Où encore, il réussit à ajuster sa différence  dans celle des autres, afin de vivre en unité complète. Être la représentation du Divin, être la créature créée, instaure des lois naturelles qui doivent être comprise en toute Conscience. Nous sommes tous frères et sœurs nés de l’Amour Cosmique et nous possédons tous un cœur rempli d’Amour. En cela, nous avons tous les mêmes chances. Mais c’est notre manière d’aimer et de penser qui va tout changer. Cette conscience est triple en elle-même, puisqu’elle est soit reconnaissante, soit séparative ou soit unitaire. Elle est en cela, significative de ce qui vous ouvrira sur la montée spirituelle, de ce qui vous fera stagner au même endroit et de ce qui vous fera chuter dans la matérialité excessive. Prenez donc « conscience » de vos intentions profondes et soyez véritablement reconnaissant, d’être une « Créature Divine » qui grandit dans le respect des lois morales.

     

    • Le 2ème niveau (Je suis le sceau de la Créature) ce sont les Maîtres bâtisseurs du monde de la forme, les constructeurs et les inspirateurs, les stratèges et tous ceux qui édifient les structures des nouvelles civilisations. Ce sont tous les penseurs, ceux qui construisent, structurent,  développent et créaient de nouvelles pensées chargées d’Amour et de Compassion. C’est la « Conscience de la pensée » à l’état brute. L’observateur qui se regarde en train de penser. C’est juste le déploiement de la réflexion. L’être peut prendre Conscience que des pensées prennent forme en lui. En a-t-il conscience ou pas ? Ou vit-il dans le flot de sa pensée, sans le contrôler, sans en saisir toute la portée ? Est-il la « victime » de sa propre pensée qui tourne en boucle à l’intérieur de lui ? Parce que l’empreinte de la « forme pensée » qu’il utilise va tellement tourner en lui, qu’elle va créer des sillons dans lesquels il aura beaucoup de mal à sortir. Cette conscience est représentative de « comment » pense l’individu et de tout ce qui découle de sa manière de « penser ». Cela va se matérialiser à travers la forme. C'est-à-dire, ses Amours, son travail, ses amis et toute la construction générale de sa vie, sera bâtie de la même manière. Par exemple, s’il n’a pas confiance en lui, s’il n’es pas certain de son Amour pour l’autre, la structure de cet Amour ne sera pas solide, et risquera de s’effondrer à la première bourrasque. S’il pense intérieurement, qu’il ne mérite pas d’être Aimer, alors quand il rencontrera l’Amour, il ne se sentira pas digne de le « recevoir » et inconsciemment il créera des obstacles invisibles qui feront tout capoter. Est-il à la hauteur de la créature Divine qui « est » en lui, ou bien doit-il effectuer encore un parcours de reconnaissance de cette paternité Divine ? Telle est le « sceau de la créature » de cette 2ème conscience.

     

    • Le 1er niveau (Je suis le témoin de la Créature) ce sont les Maîtres de l’harmonie, de la Paix, et les inspirateurs Divins. Mais aussi et surtout les Maîtres de l’éveil collectif et de l’évolution spirituelle, les promeneurs de l’espace, tous les Maîtres de la terre et de la matérialité. C’est la « Conscience de l’égo » qui vit dans le corps matériel et prend conscience de sa matérialité à travers l’expérience terrestre. C’est « être » ou ne pas « être », l’éternelle question de l’individu et de la collectivité. C’est le « soi » et le « non soi », l’apprentissage de la valeur matérielle, de son sens, et de ses prédispositions. Cette matérialité part de l’individu le plus « égoïste » pour aller vers l’être le plus « altruiste ». C’est l’infiniment petit qui va jusqu’à l’infiniment grand. Il n’y a pas de petite « Paix » ni de grande « harmonie ». Mais un « TOUT» ou « TOUT se tient ». De la plus petite étincelle jusqu’au cœur du Divin, l’amour brille dans chaque cellule, dans chaque cœur et dans chaque niveau de Conscience. C’est « le témoin de la créature » divine qui vit en chacun de nous. Plein de matérialité vide de spiritualité ou plein de spiritualité vide de matérialité, ou équilibre entre spiritualité et matérialité ? C’est le « sablier » qui harmonise les trois aspects, qui stabilise cette réunion pleine de délicatesse et de subtilité.  Dans son amour, chacun à la possibilité de développer l’Amour et non la haine. L’amour est le premier « présent » offert par le Divin, à nous d’en être digne en adoptant une moralité conforme aux lois naturelles et toute notre vie se passera merveilleusement bien. Cette « vérité absolue », que vous soyez d’accord ou pas n’y change rien. Parce que la vérité est le trésor du cœur et qu’il est le témoin et l’étincelle de toute vie qui commence. C’est la reconnaissance du « soi », le début du voyage, le chemin du profane, l’initiation du disciple, la foi du religieux et l’enseignement du Maître, tout commence ici par « le développement du « soi » à travers tous les niveaux de Conscience.

     

    Toutes les lois naturelles, morales et cosmiques sont éclatantes de Vérité Absolue. Les « Maitres de sagesse » résident dans tous les niveaux de Conscience pour que « l’éternel » demeure. Ils sont les fidèles Gardiens garants protecteurs de toute l’Universalité. Eclairant le méditant de la « Conscience Universelle » l’observateur des êtres et de l’univers tout entier, de leurs sagesses ancestrales, pour le guider à travers la transcendance. C’est pour cette raison que le méditant de la Conscience Universelle, s’intéresse de très près à la culture de l’Amour Inconditionnel, parce que celui-ci « est » présent dans chaque niveau, juste un petit peu plus développé à chaque fois.

    (Texte extrait de la méditation Vijranavadin du 13 Août 2011)


    Exercice

    Question :

    1/ Selon vous, à quel niveau de conscience appartient le Cintamani bouddhiste, le cristal pur de l’inconditionné et la perle de la conscience pure ?

    2/ Qui est le SAS médiateur de la vérité vraie ?

    3/ A quelle niveau de conscience appartiennent les Maîtres de la justice divine ?

    4/ Qu’est-ce que l’accumulation karmique ? Qui la régit ? Et où conduit-elle ?

    5/ Dans quel niveau de conscience vous situez-vous quand vous faites travailler votre « intellectuel » selon vous ?

    6/ Le moi est la représentation et la conscience que j’ai de moi-même. Dans quels niveaux de conscience se situe t-il selon vous ? Pourquoi ?    

    Aide : La conscience est la capacité de se percevoir, s'identifier, de penser et de se comporter de manière adaptée. Elle représente le degré de pureté dans lequel l’être se situe, la purification qui à déjà été entreprise et effectuée au niveau des intentions, de la parole et du corps. Elle est ce que l'on sent et ce que l'on sait de soi, d'autrui et du monde. En ce sens, elle englobe l'appréhension subjective de nos expériences et la perception objective de la réalité.  


    L’étude des textes sacrés est le véhicule de la compréhension.

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯ •°*”˜”*°•.¸ 

     

    Très bon travail

    Par l’étude le disciple oriente son esprit dans la bonne direction, celle de la sagesse suprême. 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

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    Exercice philosophique/symbolique

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Janvier 2017

     

     

    Exercice symbolique janvier 2017

     

     

     

    Symbolique de Fleurs

    Module philosophique « éveilleur »

     

     

    Si chaque fleur possède, au moins secondairement, un symbole propre, la fleur n’en est pas moins, de façon générale, un symbole du principe passif. Le calice de la fleur est, comme la coupe*, le réceptacle de l’Activité céleste, parmi les symboles de laquelle il faut citer la pluie* et la rosée*. En outre, le développement de la fleur à partir de la terre et de l’eau (lotus*) symbolise celui de la manifestation à partir de cette même substance passive.

     

    Saint Jean de la Croix fait de la fleur l’image des vertus de l’âme, le bouquet qui les rassemble étant celle de la perfection spirituelle. Pour Novalis (Heinrich von Ofterdingen), la fleur est le symbole de l’Amour et de l’harmonie caractérisant la nature primordiale ; elle s’identifie au symbolisme de l’enfance et, d’une certaine façon, à celui de l’état édénique.

     

    Le symbolisme tantrico-taoïste de la fleur d’or est aussi celui de l’atteinte d’un état spirituel : la floraison est le résultat d’une alchimie intérieure, de l’union de l’essence (tsing) et du souffle (k’i), de l’eau et du feu. La fleur est identique à l’Elixir de vie ; la floraison est le retour au centre, à l’unité, à l’état primordial.

     

    Dans le rituel hindou, la fleur (pushpa) correspond à l’élément Ether.

     

    Outre la méthode et l’attitude spirituelle qui lui sont essentielles, l’art japonais de l’arrangement des fleurs (ikebana) comporte un symbolisme très particulier. La fleur y est effectivement considérée comme le modèle du développement de la manifestation, de l’art spontané, sans artifice et cependant parfait ; comme aussi l’emblème du cycle végétal, résumé du cycle vital et de son caractère éphémère. L’arrangement lui-même s’effectue selon un schéma ternaire : le rameau supérieur est celui du Ciel, le rameau médian celui de l’Homme, le rameau inférieur, celui de la Terre ; ainsi s’exprime le rythme de la triade universelle, dans laquelle l’Homme est le médiateur entre le Ciel et la Terre. Pas d’arrangement vivant en dehors de ce rythme. Comme ces trois forces naturelles doivent s’harmoniser pour former l’univers, les tiges doivent s’équilibrer dans l’espace sans effort apparent. Tel est le mode vrai de l’Ikebana depuis le XIVe siècle ; mais il en existe un mode complexe ou coulé, aux tiges descendantes. Cet arrangement de fleurs tend à exprimer la pente déclinante de la vie, l’écoulement de toutes choses vers l’abîme. C’est pour cela que la courbe des tiges doit s’infléchir de plus en plus vers les extrémités. L’Ikebana peut aussi bien exprimer un ordre cosmique que les traditions des ancêtres ou des sentiments de joie ou de tristesse. Une autre école, du VIIIe au XIVe siècle, vise partout à arranger les fleurs, en les faisant tenir debout (Rikka) : l’élan des fleurs symboliserait la foi en Dieu, en l’Empereur, en l’époux ou l’épouse, etc. Au début, les bouquets sont raides, notent les maîtres de Rikka : ils sont intransigeants, comme la foi du néophyte.

     

    Si l’on classe les bouquets en styles formel, semi-formel et informel, il apparaît évident que les notions qu’ils s’expriment ne sont jamais véritablement formelles. Ce qu’on peut rapprocher du symbolisme de la fleur montrée par le Bouddha à Mahâkashyapa, et qui tenait lieu de toute parole et de tout enseignement : à la fois résumé du cycle vital et image de la perfection à atteindre, de l’illumination spontanée ; expression même de l’inexprimable (AVAS, DANA, GRIF, GUES, HERF, OGRJ).

     

    On ne possède que des éléments très vagues sur le symbolisme floral du monde celtique. Il a existé, car les fleurs entrent quelquefois dans les comparaisons de forme ou de couleur, mais on ne peut rien en dire de précis. Une Galloise, Blodeuwedd, et une Irlandaise, Blathnat, portent le nom de fleur. L’une, créée par magie d’un grand nombre de fleurs, est la femme du dieu Llew, et elle le trahit au profit d’un seigneur du voisinage. L’autre est la femme du roi du monde Curoi, et elle le trahit pour l’amour de Cuchulainn (OGAC, 10, 399-402).

     

    La fleur semble être un symbole d’instabilité, non d’une versatilité qui serait propre à la femme, mais de l’instabilité essentielle de la créature, vouée à une évolution perpétuelle, et tout particulièrement du caractère fugitif de la beauté.

     

    C’est le sens de la corbeille de fleurs, chez Lan Ts’ai ho, qui est souvent représenté portant une corbeille de fleurs, pour mieux mettre en contraste sa propre immortalité avec l’éphémère brièveté de la vie, de la beauté et des plaisirs.

     

    Chez les Mayas, la fleur de frangipanier est un symbole de fornication. Elle peut représenter le soleil, en fonction de la croyance à la hiérogamie fondamentale soleil-lune. Elle peut également signifier singe. Elle comporte cinq pétales (chiffre lunaire), mais n’en présente souvent que quatre dans son glyphe, quatre étant le chiffre solaire (THOH).

     

    Dans la civilisation aztèque, les fleurs des jardins étaient non seulement un ornement pour le plaisir des dieux et des hommes et une source d’inspiration pour les poètes et les artistes, mais elles caractérisaient de nombreux hiéroglyphes et des phases de l’histoire cosmogonique. Alfonso Reyes a décrit le symbolisme des fleurs à partir des hiéroglyphes et des œuvres d’art du Mexique : l’ère historique de l’arrivée des conquistadors au Mexique coïncida exactement avec cette pluie de fleurs qui tomba sur la tête des hommes à la fin du quatrième soleil cosmogonique. La terre se vengea de ses mesquineries antérieures, et les hommes agitaient des bannières de jubilation. Dans les dessins du Codex Vaticanus, elle est représentée par une figure triangulaire ornée de torsades de plantes ; la déesse des amours licites, suspendue à un feston végétal, descend sur la terre, tandis que, tout en haut, des graines éclatent, laissant tomber fleurs et fruits… L’écriture hiéroglyphique nous offre les plus abondantes et les plus variées des représentations artistiques de la fleur. Fleur était un des signes des jours, le signe aussi du noble et du précieux, elle représente encore les parfums et les boissons. Elle surgissait su sang du sacrifice et couronnait le hiéroglyphe de la prière. Les guirlandes, l’arbre, le maguey alternaient dans les désignations de lieux. La fleur était peinte d’une manière schématique, réduite à une stricte symétrie, vue tantôt de profil, tantôt par la bouche de la corolle. Pour la représentation de l’arbre, on usait aussi d’un système défini : soit un tronc divisé en trois branches égales se terminant en touffes de feuilles, soit en deux troncs divergents qui se ramifiaient de manière symétrique. Dans les sculptures de pierre et de glaise il y a des fleurs isolées, sans feuille, et des arbres fruitiers rayonnants, tantôt comme attributs de la divinité, tantôt comme ornements d’un personnage, ou comme décoration extérieure d’un ustensile. (Nouvelles du Mexique).

     

    Dans ce récit, comme des nombreuses images de fleurs dont est riche l’art mexicain, il apparaît que les fleurs manifestaient l’extrême diversité de l’univers, la profusion et la noblesse des donc divins ; mais ce symbolisme très général était ici particulièrement lié au cours régulier du temps et avec les âges cosmogoniques ; il exprimait des phases particulières dans les relations entre les hommes et les dieux. La fleur était comme une mesure de ces relations.

     

    Associés analogiquement aux papillons, comme ceux-ci, les fleurs représentent souvent les âmes des morts.

     

    Ainsi la tradition mythologique grecque dit-elle que Perséphone, future reine des enfers, fût enlevée par Hadès dans les plaines de Sicile, alors qu’elle jouait avec ses compagnes à cueillir des fleurs (GRID).

     

    La fleur se présente, en effet, souvent comme une figure-archétype de l’âme, un centre spirituel. Sa signification se précise alors selon ses couleurs, qui révèlent l’orientation des tendances psychiques : le jaune* revêt un symbolisme solaire, le rouge* un symbolisme sanguin, le bleu* un symbolisme d’irréalité rêveuse. Mais les nuances du psychisme se diversifient à l’infini.

     

    Les emplois allégoriques des fleurs sont également infinis : elles sont parmi les attributs du printemps, de l’aurore, de la jeunesse, de la rhétorique, de la vertu, etc. (TERS, 190-193).

    (Dictionnaire des symboles – Robert Laffont)

     


     

     

    Exercice pratique

     

     

    Cet exercice est un travail philosophique pour ouvrir votre réflexion sur votre relation avec la symbolique de « l’Ange » et toutes les particularités que celui-ci véhicule. C’est un entraînement pour vous « observer » vous-même.  Pour « observer » votre environnement intérieur et extérieur et unitaire, pour « observer » votre spatialité, pour vous défaire des contraintes et prendre conscience de certaines corrélations qui existe entre vous et la Conscience Universelle.

     

    L’exercice consiste à faire une retranscription d’au moins une page sur le regard que vous avez sur vous-même, votre mode de penser et votre mode de fonctionnement. Ici les fautes d’orthographes, de français et de grammaire, n’ont aucune importance, puisque seul demeure l’expérience de l’élève et de son cheminement personnel. Ce n’est pas un exercice intellectuel, mais un exercice pour faire connaissance avec son « soi ». Soyez vrai, droit et sincère avec vous-même, avec votre cœur, avec vos pensées, et dans vos écris. N’essayez pas de mentir, de minimiser, ou d’augmenter, mais juste d’être vous-même. Juste de vous accepter tel que vous êtes, pour vous donner la possibilité de vous découvrir en profondeur. Une retranscription simple et véridique, de « qui vous êtes » et « ou vous en êtes » aujourd’hui. Ce travail vous aidera à faire « connaissance » avec vous. Grâce à cette réalisation, vous pourrez aborder « là ou vous en êtes » en toute sérénité et avancer avec un « plan de restructuration » en fonction des découvertes que vous observerez.

     

     

    Voici les questions:

     

     

    1/ Que représente pour vous la symbolique de Fleur ? Ecrivez juste ce que vous avez retenu de cet exposé ?

     

    2/ Nous sommes tous des fleurs de toute beauté, alors pourquoi y a-t-il des êtres qui semblent plus beaux que d’autres ? Se pourrait-il qu’ils connaissent mieux comment développer toujours plus d’amour, ou exprimer leur amour d’une plus belle façon ? Expliquez pourquoi, selon vous, il y a tant de différence en matière d’amour ?

     

    3/ Les fleurs sont belles, légères, colorés, parfumées de senteurs, elles tapissent le sol de la terre,  puis disparaissent pour revenir l’année où des années plus tard, souvent avec plus d’intensité. Que vous inspirent-elles ? Aimez-vous offrir ou recevoir des fleurs ? Pourquoi ?

     

    4/ La délicatesse des fleurs est subtile, et celles-ci égaient notre quotidien tout au long de l’année. Connaissez-vous plusieurs espèces, d’où elles proviennent et la richesse de chacune ? Faites un résumé de celles que vous connaissez, de ce que vous aimez chez elles, et du message qu’elles laissent dans votre esprit ? Il ne doit y avoir que du beau, que du bien, et des choses positives dans ce large résumé ? Une belle manière d’apprendre à ne saisir que leurs côtés positifs, à ne pas discriminer en voyant l’essentiel ?

     

    5/ Pendant que vous êtes dans la non discrimination, dressez la liste de tous vos amis. Expliquez l’endroit ou vous vous êtes rencontrés, les circonstances de cette rencontre, les qualités et les vertus dégagées par cette personne et le lien qui fait selon vous, que cette relation dure dans le temps ? Faîtes la même chose avec les amis qui vous ont marqués par leurs passages dans votre vie, mais qui n’y sont pas restés ? Pourquoi, selon vous ?

     

    Être à fleur de peau : le mot fleur vient du latin "florem". Il a un autre sens qui désignait " la meilleure partie d'une chose". C'est de là que découle l'expression "à fleur de" pour dire "à la surface de". Par ailleurs, pour comprendre le sens figuré " réagir à la plus petite sollicitation", nous pouvons nous pencher sur le domaine des relations entre hommes et femmes. En effet, chez l'homme la main d'une femme posée sur le corps peut provoquer la chair de poule. Dans ce cas, le contact léger produit une réaction immédiate. C'est par analogie à cette situation que l'on dit qu'une personne a une sensibilité "à fleur de peau". En d'autres termes, il est susceptible de réagir de manière brutale à ce qu'il peut prendre pour une agression. Comme dans le cas où un homme touche une femme sans son consentement, pour s’approcher d’elle toujours un peu plus près, créant ainsi un contact physique avec elle.

       

     

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    Que la philosophie dégagée par cette symbolique éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière.

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

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    Rappel de la méditation de pleine lune du 12 janvier 2017

     

    Rappel de la méditation de pleine lune du 12 janvier 2017

     

    Date des 4 méditations de la Conscience Universelle :

    Nouvelle lune jeudi 29 décembre 2016 - Premier quartier jeudi 5 janvier 2017

    Pleine lune jeudi 12 janvier 2017 – dernier quartier jeudi 19 janvier 2017.

     

    Mantras prières chants sacrés autant que vous pouvez en écoute où en participation

     

    Méditation seule, collective où en conscience.

    21h (heure locale où selon votre disponibilité)

    30mn de préparation/30 mn de méditation

     

    MahaMaitri la grande bienveillance universelle

    Les  7 PLANS en action :

     

    1/ Développer sa Conscience (lundi)

    2/ Méditer seul où en groupe (mardi)

    3/ Prier seul où en groupe (mercredi)

    4/ Cultiver ses qualités et vertus (jeudi)

    5/ Partager son Amour envers l’universel (vendredi)

    6/ Vivre joyeux dans le bonheur du contentement (samedi)

    7/ Défendre la terre, l’écologie et le végétarisme (dimanche)

     

     

    Comment comprendre le fonctionnement du plan :

     

    Le 29 décembre 2016, jour de la nouvelle lune, est un jeudi, la méditation est une méditation de culture, de développement et de partage des qualités de sagesse.

     

    Le 5 janvier 2017, jour du premier quartier de lune, est un jeudi, la méditation est une méditation de culture, de développement et de partage des qualités de sagesse.

     

    Le 12 janvier 2017, jour de la pleine lune, est un jeudi, la méditation est une méditation de culture, de développement et de partage des qualités de sagesse.

     

    Le 19 janvier 2017, jour du dernier quartier de lune, est un jeudi, la méditation est une méditation de culture, de développement et de partage des qualités de sagesse.

     

     

    Le mois de janvier 2017 sera donc un mois très axé sur la culture, le développement et le partage,  des qualités de sagesse.

     

    Sujet de la méditation de janvier 2017 :

     

    Mémoire - Mahamudra – Sagesse Ancestrale

    Ombre - Nécessité - Lumière

     Mystères révélés - indifférence - Satiété

     

    La mémoire est une coupe qui emmagasine les trésors que nous amassons au cours des nombreuses vies que nous traversons.
    A l'image de la tulipe, elle est une coupe salvatrice dans laquelle nous puisons notre richesse enfouie.

     

    Très belle méditation

    Véronique-Arlette le 12 janvier 2017

     

     

     

     

     

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    Exercice Maitri

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Janvier 2017

     

     

    Exercice Conscience Janvier 2017

     

     

    Connaissance et perfectionnement

     

    C’est en prenant conscience de la perfection, que nous prenons conscience de la connaissance.

     

    La perfection d’un être ou d’une chose est caractérisée par toutes les qualités parfaites qu’elle manifeste et surtout par son absence totale de défaut. Mais, cette perfection n’est possible qu’au bout d’un long cheminement, à terme d’un enrichissement croissant et d’un dépouillement de tous les voiles qui pourraient la tâcher ou la dénaturer. Quand, nous sommes témoin de cette clarté évidente, de cette beauté manifeste, de cette révélation faite d’authenticité, nous restons sans voix. Il n’y a plus rien à dire parce que la chose est parfaite. Lorsque l’image est purifiée entièrement, nous nous demandons comment arriver à cette excellence, à cette beauté parfaite, à cette grandeur d’âme extraordinaire? A ce moment précis, nous saisissons tout le travail de perfectionnement qui à été réalisé en amont de cet idéal. Tout à coup, tous les efforts déployés pour amasser cette manne de connaissance et tout le temps nécessaire à l’achèvement de cette œuvre, prennent leurs sens. Le dénouement de la perfection s’étale royalement dans toute sa majesté. Un cocktail d’informations multiples, d’études poussés à leur maximum, de pratiques et d’enseignements cultivés à leur sommet donnent lieu à toute une partie de connaissance. Ce savoir est immense, profond, inné, visible et invisible, magique et audacieux. L’imperfection fait pourtant partie intégrante de la pureté de cet être extraordinaire. Mais, ne devient pas « beauté parfaite » celui qui avance trop vite, loupe des étapes, ou anticipe les résultats de sa progression. Chaque escale est importante, révélatrice de mystères, porteuse de sens et délivrance des essences essentielles contenues dans l’expérience. Le lotus aux mille pétales s’épanouis progressivement à l’image du casque représentant la chevelure du Bouddha sur les statues. Le choc des différentes cultures n’accueille parfois pas la naïveté de l’élève. De sa base fondamentale jusqu'à la plus subtile bonification, l’amélioration de l’élu est gagnée par la force de la détermination. Encore, faut-il que les êtres soient prêt à accueillir cette perfection en leurs esprits, encore faut-il que le monde soit prêt à entendre des révélations fulgurantes, encore faut-il que la conscience collective soit suffisamment développée pour que le miracle se manifeste pleinement. Nous dépendons tous les uns vis-à-vis des autres, et le possible n’est que le résultat d’une longue chaîne de conditions. Bien sûr, il y aura toujours une poignée d’êtres qui regarderont la vase au fond du verre de l’océan de la vie plutôt que la lumière produite par le bienheureux qu’ils viennent de croiser. Il y aura toujours aussi ceux qui contempleront la fleur de lotus qui progresse avec sagesse vers la beauté de l’éternité. Parce que le perfectionnement dépasse les trois temps que sont le passé, le présent et l’avenir. Atteindre à la perfection est déjà en soi une réussite exceptionnelle. Il faut garder à l’esprit que les bienheureux grandissent tous dans l’ombre, qu’ils ont leurs secrets qui ne sauraient être révélés, qu’ils ont tous eu des défauts de parcours avec leur entourage, qu’ils ont surmontés des difficultés énormes au commun des mortels, qu’ils peuvent altéré certaines aspérités jusqu’à un certain point et que l’humanité sombre toujours dans le néant un certain moment de l’histoire. C’est l’imperfection qui  oblige à s’activer et réagir face à une menace extrême. Même si, la perfection est partout, de tout temps, elle montre la voie de la clarté en éclairant la conscience des êtres. Elle peut se faire « voleuse » pour montrer des vérités, elle peut  être « contraste » pour montrer l’opposition, elle peut être « miroir » dans lequel certains êtres y verront leur vraie beauté, elle peut être « manque » pour s’extraire d’une situation négative, elle peut être « disparition » pour créer besoin, elle peut être  « rupture » pour ne plus être touchée. Elle peut aussi « se perdre à en mourir » pour réveiller la vie. La plupart du temps, les êtres s’inventent des « besoins » qu’ils n’ont pas et passent à côté de leurs carences essentielles. La perfection prend donc plusieurs visages pour arriver là où les êtres en ont vraiment besoin. Néanmoins, la perfection ne se transmet qu’à celui qui est prêt à la recevoir. Dans le mystère, toutes les ombres sont utiles et doivent continuer d’exister dans le secret. Notre passé est notre ADN. Notre conscience est ce réservoir. Ce savoir ancestral est essentiel pour comprendre l’histoire de chacun. En s’appuyant pleinement sur cette base, l’être peut avancer sereinement vers son futur. Bien sûr, que nous ne pouvons pas changer ce passé mais nous devons le « saisir » pour le comprendre et nous en affranchir. Un peu comme si une femme « retrouvait » la mémoire après 2500 ans d’absence. Cette mémoire lui ferait défaut parce qu’elle serait « absente », fragmentée et dispersée au fond d’elle-même. Obligeant celle-ci à la chercher, et à la retrouvée coûte que coûte. La mémoire est comme un stupa, elle agit en nous, à notre insu, pour retrouver son essence. Alors seulement, elle peut donner un sens à cette nouvelle vie offerte. La réincarnation est une question de culture fraternelle. La perfection se perfectionne au cours de multiples vies. Elle à vraiment « besoin » de prendre son temps, de vivre des expériences, du côté de la lumière comme du côté de l’ombre, de comprendre le plein fonctionnement de tout, de jouer et jouir de la vie, de dépasser ses erreurs, de pardonner les fautes, de se positionner pour BIEN-être. Parfois, le plus difficile est de dépasser l’ombre des connaisseurs qui recouvrent la vérité à leur insu. Pour cela, il faut être capable de saisir les messages envoyés par « la conscience qui sait » en faisant « confiance » à cet instinct primaire acquit antérieurement. Rester droit en étant pleinement conscient que ses actes où son comportement peuvent « choquer » parce qu’ils sont dictés par une conscience purifiée dans les vies précédentes. Mettre de la lumière sur une image transforme la vision, offre une autre interprétation, et dévoile certains mystères. Chacun peut se nourrir suivant son degré de conscience. La conscience ne peut pas « être ternie » par quoi que ce soit, par des blablas sans substance, des reproches sans fondement, où des fautes vide de sens. Quand la terre est en danger, que la foi en l’enseignement est menacé, et que certains êtres continuent leurs méfaits « sans conscience » du danger, il faut arrêter de « pardonner » afin d’éviter que les erreurs continuent.  Mettre le doigt sur le problème, là où se situe la douleur, en décelant la maladie, offre le choix de la guérison. L’imperfection fait partie de l’ouvrage qui prend tout son sens quand l’œuvre est achevée. Dans la construction du perfectionnement, l’ombre et la lumière jouent ensemble pour que l’amour et la trahison se comprennent, pour qu’une purification s’effectue au cœur de la malveillance, pour que les passions se tarissent et que l’amour inconditionnel trouve sa juste place. Telle une édification, le perfectionnement s’intensifie dans le renoncement, trouvant un sens à l’idéal divin, corrigeant ses imperfections, embellissant sa création, s’affranchissant des limites de l’esprit, épousant les connaissants, tout en libérant la lumière de la conscience.  La haine est une absence d’amour. La haine est surtout de l’attachement pour ce que l’autre représente. Mais l’amour est aussi de la passion dévorante, du désir intense, de la possession maladive, un empêchement envers l’autre d’être lui-même. Quand enfin cette enveloppe tombe véritablement, qu’elle est sans substance, sans contour, ni forme, ni espace, ni rien qu’un vide, qu’elle est juste de l’amour pur, elle devient éclaircissement. Ce dépouillement est « conscience » car l’être est avant tout, la perfection divine incarnée, vide de tout « soi ». Sans attache et dépouillé du superflu, l’être est léger comme une plume, libre comme l’air, s’envole et survole la vie, aidant les autres à prendre leur envol aussi. Du plus bas des niveaux de conscience aux plus hauts, certains idéaux peuvent « être » dans tous les étages, sans subir aucune altération. Cette éclaircie se manifeste uniquement quand l’intellectualisation des choses est dépassée, que la connaissance est tellement sublimée, qu’elle en devient « pur instinct ». Alors seulement les choses se produisent le plus naturellement du monde, dans un geste complètement « parfait ». C’est tout simplement une restitution de l’acte suprême de perfection, qui renvoie fidèlement la copie conforme de la complémentarité. Un geste parfait répond toujours à une problématique soulevée, souvent en plusieurs actes, parfois en un quart de seconde. Afin que l’amour trouve sa juste place dans le mandala, encore faut-il qu’une place lui soit octroyé. Et franchement, actuellement, y-a-t-il une place pour ce « tutélaire » dans le cœur des êtres, pour ce « sauveur » dans le cœur des psychologues, pour ce « refuge » dans le cœur des bouddhistes, pour ce « bienfaiteur » dans le cœur des bourreaux, pour ce « rempart » dans le cœur des fidèles, pour ce « libérateur » dans le cœur des au-delà du par-delà, pour ce « défenseur » dans le cœur des justes, pour ce « messie » dans le cœur des religions, et pour ce « protecteur » dans le cœur des opprimés ? Seule l’histoire pourra nous répondre, parce qu’aujourd’hui « personne » ne le sait véritablement ! Le futur n’est pas encore « écrit » heureusement !

     


     

    Exercice

     

    Prendre conscience des choses est un exercice pour ouvrir notre esprit sur des choses qui lui sont totalement étrangères. Mais, cette ouverture peut se produire de multiples façons. Parfois cette prise de conscience est facile et salutaire,  mais la plupart du temps, elle est difficile et obligatoire.  Notre conscience individuelle ou collective à parfois besoin d’éclaircissements violents pour résoudre les adéquations de la vie. Il faut dire que la conscience n’est pas dualitaire mais qu’elle essaie toujours de trouver l’unité dans toutes les circonstances. En préparant notre conscience, en la guidant sur le chemin de la découverte et de l’évolution, en l’aidant avec des exercices appropriés, nous l’éduquons. Ainsi, les prises de consciences deviennent beaucoup plus douces, et beaucoup plus adaptés à notre mode de vie.

     

    Lisez toutes les questions et laissez les agir quelques minutes en vous. Puis, faites un résumé de 10 lignes minimum pour répondre à chaque question. Laissez mariner quelques jours, puis relisez-vous, pour comprendre ou vous en êtes maintenant, dans la prise de conscience de cet exercice. Vous pouvez refaire celui-ci dans un mois, puis dans quelques mois, afin de voir ou en est votre évolution sur le sujet. Quand nous ouvrons une porte à l’esprit, il continue sa progression dans toute la pièce, souvent à notre insu.

     

    Voici les questions

     

    De quelle manière glanez-vous les connaissances qui perfectionnent votre « soi » :

     

    1/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre foi où confiance en soi ?

    2/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre amour bienveillant ?  

    3/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre sagesse intérieure ?

    4/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre pratique de la méditation ?

    5/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre joie intérieure ?

    6/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre conscience individuelle ?

    7/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre moralité ?

    8/ En ce qui concerne le perfectionnement du développement de vos qualités ?

    9/ En ce qui concerne le perfectionnement de votre fraternité ? 

    10/ En ce qui concerne le perfectionnement et la préservation de votre corps où véhicule matériel ?

     

    La connaissance est multiple et à plusieurs sens. Alors que le perfectionnement est unique. Se perfectionner est une belle manière d’acquérir plus de connaissance, donc plus de sagesse, plus de foi, plus de qualités et de développer ainsi plus de conscience.  


     

    Très belle « prise de conscience »

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

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    Conseil méditatif

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

     

    Janvier 2017

     

    Exercice méditatif janvier 2017

     

    Tous les exercices se réalisent  assis en tailleur, la main droite dans la main gauche, les deux pouces se touchent. Vous devez les effectuer  dans l’ordre et tous les jours, si possible. Cela représente un travail de 30 minutes. Si vous le faites 3 fois par semaine parfaitement,  vous constaterez des améliorations conséquentes et des résultats extrêmement  favorables pour tout votre « être ». Munissez-vous d’un chronomètre, pour faciliter les  passages d’un exercice à l’autre. Bon travail. 

     

    1/ Travail sur le mental :

    Aujourd’hui, vous allez apprendre à vous forger un mental d’acier, en créant vous-même vos objectifs. Le doute et la peur sont les deux causes principales à la démotivation. Savoir rester motivé est un gage de réussite. C’est pour cette raison qu’il faut apprendre à se construire, en développant sa « foi » et sa confiance en « soi ». Quelques phrases clefs peuvent aider dans cette tâche. L’exercice consiste à réciter mentalement des séries de phrases positives et constructives pour « soi ». Commencez par une inspiration et une expiration longue – pensez « tout ce à quoi je pense, ce que je veux, ce que je crois, ce que je souhaite, je peux le réaliser » - puis faites une inspiration et une expiration longue – récitez cette phrase une dizaine de fois entre chaque inspiration expiration. Vous pouvez ajouter une autre phrase chaque semaine, comme par exemple «  je suis un être extraordinaire et tout le monde m’aime », ou encore «  je suis bienveillant et salutaire envers tous les êtres », « je suis la joie, l’Amour et le bonheur », etc.

     

    2/Travail sur la respiration :

    Aujourd’hui, nous allons réaliser un exercice respiratoire en position debout. Apprendre à marcher en pleine conscience. Faites un pas en même temps que vous inspirez, et faites aussi un pas en même temps que vous expirez. Votre marche doit être calée sur votre respiration. Les bras sont placés le long du corps. Faites cet exercice pendant 5 minutes.

     

    3/ Travail sur l’intériorité :

    Maintenant, dirigez votre attention sur votre corps, sur votre intériorité. Ici c’est votre temple d’Amour inconditionnel,  votre jardin secret, l’endroit ou vous cultivez vos qualités d’amour, de bienveillance, de patience, de bonté et de partages. Ajoutez une autre parcelle à votre jardin, et cette fois, plantez-y des graines de fraternité, de beaucoup de fraternité. Voyez des fleurs éclatantes de lumière et de vérité, des fleurs de toutes les couleurs dont la beauté jaillit à profusion. Voyez-vous en train de cueillir vos nombreux fruits et de les partager avec tous les êtres sensibles. Voyez les autres partager leurs récoltes avec vous. Voyez vos jardins intérieurs s’unir ensemble et éclatés au grand jour. Voyez chaque être dans l’abondance et dans le bonheur absolu pendant 5 bonnes minutes.

     

    4/ Travail sur la concentration :

    L’objet de concentration pour cet exercice va être l’intuition. Fermez les yeux et portez votre attention sur le bout de votre nez. Cela va obliger vos yeux à converger vers un même point. A certain moment, vous allez « voir » comme des tunnels tortueux qui s’ouvrent devant vous. Parfois, vous verrez de la lumière, soit quelques points lumineux ou carrément des flashs. Il y aura aussi de la lumière, toutes les couleurs vont y passer. Malgré toutes ses choses qui vont apparaître, vous devez maintenir votre concentration sur la pointe de votre nez. Laissez-vous envahir par ce que vous ressentez, et par toutes les visions qui surgissent, tout en restant bien fixé sur la pointe du nez. Réalisez cet exercice de concentration sur un point, pendant 5 minutes. Votre concentration doit être fixe et naturelle, sans rejet ni attache à quoi que ce soit, et sans discrimination aucune.

     

    5 / Travail sur l’immersion extatique : (idem mois dernier) 

    L’immersion extatique est un travail très difficile, alors nous continuons comme le mois passé, le même exercice. Afin de diminuer les pensées, il faut exercer une pression sur le flux pour le réduire, un peu comme si un barrage se refermait sur lui. C’est en retenant le mental, qu’on réduit les pensées. C’est en les disciplinant qu’on les minimise comme un petit ruisseau. C’est en synchronisant le souffle avec la pensée qu’on réduit son débit, et qu’on devient le souffle qui ne pense plus. Quand la pensée s’arrête et que ne demeure plus que le souffle, c’est l’immersion extatique parfaite. Alors aujourd’hui, comme le mois dernier, vous allez continuer d’apprendre à réduire la pensée, en vous servant du souffle. L’exercice consiste à réduire la pensée en se servant de la respiration. Respirez très fort par le nez et rassemblez toutes vos pensées dans ce geste. Puis soufflez tranquillement toutes vos pensées par la bouche, en exerçant une pression comme une retenue, quand vous expirez, puis il faut la maintenir quand vous inspirez, et la maintenir encore quand vous expirez. Comme si votre respiration freinait votre pensée en se servant de la concentration de votre mental. La bouche doit être en « cul de poule » quand vous expirez. La respiration se fait par le nez.  Faites cet exercice pendant 5 minutes.

     

    6/ Travail sur la méditation :

    La méditation est un moment privilégié juste pour vous. Après ce long travail de préparation, accordez-vous 10 minutes de pure méditation spatiale. Etendez votre intention d’amour inconditionnel et de bienveillance, dans un pur esprit universel, dans les quatre directions que sont l’est, l’ouest, le sud et le nord. Puis, étendez votre progression dans les 4 directions intermédiaires. Puis vers le nadir et le zénith. Ecoutez la vibration du cœur créateur, et soyez juste de l’Amour Inconditionnel bienveillant qui rayonne. Votre pensée s’apaise complètement au rythme du va et vient du souffle, qui devient l’unique expression de tout votre être. L’exercice est pleinement effectué quand vous n’êtes plus que le souffle et uniquement le souffle de l’esprit universel.

     

    Donc je récapitule :

    1 : Pendant 5 mn, je me forge un mental d’acier. Entre chaque inspiration et chaque expiration, je pense « tout ce à quoi je pense, ce que je veux, ce que je crois, ce que je souhaite, je peux le réaliser » autant de fois que je peux (10 si possible).

    2 : Pendant 5 mn, en position debout, j’inspire en même temps que je fais un pas et j’expire en même temps que je fais un autre pas.

    3 : Pendant 5 mn, attention sur l’intérieur, le jardin secret, le temple d’amour. Contemplation de la culture mise en terre le mois dernier, voir sa progression, plus rajout d’une nouvelle parcelle de fraternité. Se voir en train de s’occuper de ce magnifique jardin coloré de fleurs éclatantes de vérité et de lumière. Voir son jardin rejoindre celui des autres la cohésion qui s’installe.

    4 : Pendant 5 mn, les yeux fermés, je porte mon attention sur le bout de mon nez et j’observe intérieurement tout ce qui apparaît, les tunnels, la lumière, les flashs, et les couleurs. Concentration fixe et naturelle. 

    5 : Pendant 5 mn, je suis le souffle qui réduit les pensées, qui les diminue, qui les amenuise de plus en plus, qui les discipline  jusqu’à complète absorption.

    6 : Pendant 10 mn, j’effectue une méditation spatiale dans les dix directions, je suis intention d’amour et de bienveillance, vibration du cœur créateur et souffle de l’esprit universel.  

     

    Aide : Je répète les phrases si nécessaire. 

     


     

    Très belle « méditation »

     

    Recevez chers étudiants de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants ©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

     

    ¯˜ « *°•**•°* »˜¯ 

     

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    Bonne Année 2017

     

    Bonne année 2017

     

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    Bonne année 2017

     

    Bonne année 2017

     

    Bonne année 2017

     

    Très bonne année 2017 à tous et toutes,

    Amour, joie, santé, bonheur et argent

    Que tous vos vœux se réalisent. 

     

    Véronique-Arlette le 2 Janvier 2017

     

     

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