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MCU-méditation Vijranavadin-Février 2017
MCU-Méditation Vijranavadin
Pack étudiant spirituel
« Avoir l’Esprit Universel »
Février 2017
Date des 4 méditations de la Conscience Universelle :
Nouvelle lune samedi 28 janvier 2017 - Premier quartier samedi 4 février 2017
Pleine lune 11 février 2017 – dernier quartier 18 février 2017.
Mantras et chants universels 1h dans la journée où plus (groupe 11h heure locale)
Méditation collective 1h dans la journée où plus (groupe 20h heure locale)
MahaMaitri la grande bienveillance universelle
Les 7 PLANS en action :
1/ Développer sa Conscience
2/ Méditer seul où en groupe
3/ Prier seul où en groupe
4/ Cultiver ses qualités et vertus
5/ Partager son Amour envers l’universel
6/ Vivre joyeux dans le bonheur du contentement
7/ Défendre la terre, l’écologie et le végétarisme
Sujet de la méditation de février 2017 :
Droiture – Persévérance – Transparence
Naïveté – Opacité - Pureté
Insécurité – Abandon – Clarté
Durant ce mois de méditation, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond, développe son champ de conscience avec droiture, persévérance et transparence. L’ouverture du cœur est une question de sensibilité féminine, en l’homme comme en la femme, en le cœur comme en le centre, en le yin comme en le yang. Le point de vue doit être observé dans les deux sens, depuis le haut vers le bas et depuis le bas vers le haut. La complémentarité est exigeante car c’est le point de « confiance ». D’un point de vue masculin, la confiance est au centre du mandala, mais d’un point de vue féminin la confiance est dans l’assise. En effet, la sécurité est dans le lotus, dans l’épanouissement, à l’endroit où l’être se pose véritablement. La femme n’est pas plus instable que l’homme, c’est la conscience qui à besoin de soutient, de stabilité, de l’élément terre. A l’image de l’œuf, la conscience est une moitié de coquille tournée vers le haut et une autre moitié de coquille tournée dans l’autre sens vers le bas. Comme la conscience n’est pas dualitaire, elle est arrondie comme la voûte céleste dans un sens et comme la terre dans l’autre sens. Elle doit apprendre à trouver son assise avant d’exploiter son plein potentiel et de se lancer comme un guerrier à la conquête du monde. Au cœur de cet œuf, l’être n’est pas encore né et tout est possible. Imaginez un œuf de quart rose, l’être est au centre, il n’est pas dans l’intellectualisation, mais dans la chaleur et la douceur de la matrice. En avance sur les événements à venir, il est déjà là, pas encore un joli bouddha sculpté donc pas encore né. Pourtant, la conscience anticipe toujours les choses, elle pénètre, elle complète, elle intègre, elle perce les mystères en révélant les choses au bon moment. Mais, l’œuf est fragile, il peut se fissurer, se casser, être déstabilisé, décliner, où perdre son centre. Il faut un cadre approprié à l’œuf, un endroit où il va s’épanouir dans la sécurité d’un bon entourage. La méditation offre alors une position confortable à l’assise, un endroit où l’être peut expérimenter le vide et le plein en douceur, où le méditant trouve un équilibre entre absence et présence, où l’esprit s’adonne au perfectionnement dans le confort propice à la contemplation. Ici, tranquillité de l’imagination et silence de l’évasion sont de rigueur.
Durant ce mois de méditation, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond, est au cœur de l’œuf, baignant dans le « U » de la globalité ambiante sans en être affecté. Celui-ci doit comprendre que la conscience contient tout, elle sait tout, elle voit loin, devant comme derrière, à droite comme à gauche, au-dessous comme au-dessus et le tout sans réfléchir. L’intellectuel cherche à comprendre, à couper le fils du beurre en quatre, à déchiffrer des choses, à amasser des connaissances, bref, il veut saisir avec compréhension, alors que la conscience « connait » déjà tout. Elle est la mémoire de toutes les expériences passées, soit de l’être en ce qui concerne la conscience individuelle, soit de tous les humains en ce qui concerne la conscience collective, soit du « grand tout » en ce qui concerne la conscience universelle. L’être qui vit une « conscience pure » est un grand naïf qui est « éclairé » continuellement par la conscience universelle. Quand l’œil divin est ouvert, la luminosité est éclatante et se réfléchit en son intériorité. C’est pourquoi l’assise est importante. C’est elle qui calme, apaise, sécurise, et rassure l’être au plus profond de lui-même. Il doit pouvoir « se poser » à un endroit fixe où il se sentira pleinement en sécurité. Dans le blanc immaculé, personne ne doit « pouvoir » le toucher. Ceux qui parlent de « confiance » en l’ouverture, en la clarté, en la sensitivité sont installés dans la matrice, dans la féminité de quelqu’un ou quelque chose comme une coupe sacrée. Cette coupe n’est pas masculine, elle à nécessité de nombreux sacrifices, des souffrances insoupçonnables et beaucoup d’abnégation. Quand quelqu’un retire « le pouvoir » de quelqu’un d’autre, par voie de conséquence, il perd le sien. Il faut alors beaucoup de prières pour accompagner cette « remontée », pour redonner la « confiance » à celui qui l’a perdue, pour unir les forces divergentes. Le toit du monde est un lieu sacré, personne ne peut y pénétrer sauf s’il y est autorisé par un signe. Dans les hauteurs de l’inconditionné, les glaciers sont permanents, la neige est éternelle et le vent élève toutes les prières vers les cieux dans la droiture de la sincérité et de l’intégrité. Prendre « conscience » de qui l’on est, en étant reconnaissant envers le miroir qui réfléchit « doucement » notre lumière.
Durant ce mois de méditation, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond, cultivera sa bonne humeur, son humour, sa joie et son contentement. Actuellement, nous sommes dans une société qui est malade parce qu’elle à abusé du « pouvoir » patriarcal. Elle doit réapprendre la complémentarité, l’unité homme/femme, la coopération de l’assistance mutuelle, l’appartenance universelle et les accords bilatéraux. Le pouvoir de la terre mère et la grandeur de la mère universelle sont immensément abondante et généreuse. Celles-ci cachent en elles beaucoup de trésors que les hommes et les femmes doivent apprendre à retrouver et surtout « respecter » hautement. Il est vrai que tout le monde peut devenir un bouddha, mais tout le monde ne peut pas être un Bouddha historique. Shakyamuni était un pionnier en son genre, un être à la grandeur exceptionnel, un génie précieux pour toute une civilisation. Il ne faut pas minimiser son travail, rabaisser sa réussite et manquer de reconnaissance envers son œuvre. Beaucoup d’autres hommes ont profité gracieusement de cette percée spectaculaire du Bouddha sur la voie de l’éveil. D’autres ont retardé la réalisation des femmes parce qu’ils étaient contaminés eux-mêmes par les 5 poisons. Aujourd’hui, en ce moment particulier de l’histoire, pendant que certains hommes se chamaillent entre eux dans tous les coins du monde, d’autres partagent leurs enseignements en direct et sur internet. L’histoire ne s’écrit plus dans les livres. Tout le monde peut devenir « voyant », retrouver ses origines, être un bouddha et jouir de ses avancements sur la voie de l’éveil en toute autonomie. Dans le silence de leurs intériorités, dans la sécurité du cœur, dans la quiétude de l’assise, dans le fondement du lotus, dans la racine de l’unité fondamentale, les femmes et les hommes qui accueillent leur féminité profitent enfin largement de tous ces enseignements. Tout à coup, l’ennemi de l’ennemi devient un AMI. Un peu comme si un être d’exception plaçait en vous toute sa confiance, son bijou le plus précieux et son espérance la plus profonde, l’amitié bienveillante lie et rend indestructible ceux qui l’emploie.Éclairé par la lumière de cette compréhension, le méditant de la conscience universelle, l’observateur des êtres, des choses, de l’univers tout entier, le contemplatif au cœur profond fera de son « agressivité » une force pour anéantir l’ennemi intérieur extérieur et caché. Accueillant en lui les 5 poisons du « cœur créateur » et les 5 poisons de « l’esprit universel », il multipliera les prières élevant des chapelets de drapeaux jusqu’aux confins du toit du monde. Sans austérité envers la joie du cœur, sans rancœur envers le bonheur d’être, sans mécontentement envers la satisfaction du rayonnement, sans aspérité envers l’humour de la répartie, sans antipathie envers la douceur du partage, sans malveillance envers le respect du féminin sacré, chacun observera les règles d’une communion solennelle enrichissante. Si des êtres montent une colline et que d’autres la descendent sur une même route, ils ne peuvent que se rencontrer. Parfois le pouvoir est tout près, juste caché en vous, dans la terre qui vous recouvre, derrière l’arbre qui cache la forêt, dans l’eau du lac de votre féminité, dans le feu des colères, dans les nuages de l’incompréhension, dans le vent qui souffle dehors, dans la beauté de votre créativité, dans la finesse de l’esprit et dans la bienveillance des échanges. En ce mois très précieux où tout le monde se rassemble dans l’intériorité de l’autonomie, le sentiment de sécurité doit être fort, la sécurisation de l’assise de chacun sera un travail de chaque instant. Un lotus bien implanté garantit une ouverture du cœur à l’image de la droiture observée. Chaque méditant doit s’occuper de son champ de culture, en développant son mandala personnel, en exploitant le sens de son histoire individuelle. Comprendre le sens et la forme, en éveillant la foi de l’être divin, en harmonisant son rythme comme un tambour, et dirigeant sa fougue dans le bon sens. Chacun doit s’imbriquer dans le mandala collectif du globe terrestre, et fusionner dans le grand mandala du grand tout universel. Affermi, cartésien, vaillant, solide et stable, le méditant continuera de polir le bijou du cœur, révélant la pureté du diamant, affinant la transparence de la pierre, pour dégager l’éclat de sa perle sacrée. Immuable est la richesse d’un tel bijou, inaltérable est la beauté d’une telle parure, indestructible est la fécondité d’un tel joyau.
Comment comprendre le fonctionnement du plan :
Le 28 janvier 2017, jour de la nouvelle lune, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.
Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux.
Le 4 février 2017, jour du 1er quartier de lune, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.
Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux.
Le 11 février 2017, jour de pleine lune, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.
Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux.
Le 18 février 2017, jour du dernier quartier, est un samedi, la méditation est une méditation sur la joie, le contentement, la satisfaction des plaisirs simples et le bonheur au quotidien.
Développer son champ (soi) dans ce qui rend heureux.
Le mois de février 2017 sera donc un mois très axé sur les méditations de la joie et la culture du bonheur en soi et en les autres.
Les méditations journalières se construisent grâce au PLAN, puisque chaque jour correspond à une action particulière. Ainsi, nous allons tous dans la même direction, en respectant le sens sacré de la vie, de la terre et de l’univers. Chacun structure ainsi sa conscience, en apportant son concours à sa manière, tout en participant à rétablir l’être humain à sa véritable place.
Les méditations Vijranavadin s’adressent aux méditants qui sont installés profondément dans la « conscience » en dépassant les seuils de la revanche et du désir inhérent à faire souffrir les autres. Nous sommes 144000 êtres répandus autour du globe, venus sur terre pour apporter un peu plus de conscience. Inutile de forcer où de vouloir être autre chose que soi-même. Notre force est dans le nombre, dans la structure de la fleur de vie, et dans la croissance du plan.
N’oublions surtout pas que nous sommes tous des êtres en évolution constante.
Apprenons à comptez les uns sur les autres, à nous soutenir, à nous aimer surtout.
Il y aura toujours des gens riches et des gens pauvres, des personnes qui iront dans le sens du plan et d’autres contre, et même des êtres qui essaieront d’empêcher le PLAN de se manifester.
Inutile de leur attribuer un pouvoir qu’ils n’ont pas. Utilisons notre énergie dans le bon sens.
Croire en soi, au pourquoi nous sommes là et agir en sachant « qui nous sommes véritablement » au-delà des apparences physiques ! Être présent à « soi » et empli de bienveillance envers tous les autres êtres sensibles. Libéré et autonome en guidant les êtres vers leur propre libération.
Durant tout le mois de février 2017, les 6 cours + le sujet de la méditation Vijranavadin (MCU) vous guident pas à pas, dans votre cheminement personnel, et étayent la structure interne de votre conscience individuelle. Vos 3 consciences principales sont nourries d’un même engrais et vous aide dans le travail à réaliser en « soi » :
Les 6 cours sont publiés dans la semaine de la nouvelle lune, avec les liens en dessous.
1/ MCU=sujet de la méditation Vijranavadin « droiture, persévérance, transparence ».
2/ Exercice Maitri = « Sécurité et peurs »,
http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-conscience-fevrier-2017-a128388962
3/ Exercice méditatif = « Je suis l’humour, la joie et le plaisir de vivre »,
http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-meditatif-fevrier-2017-a128267044
4/ Exercice prière = « Meta Sutta » sur l’amour bienveillant,
http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-priere-fevrier-2017-a128222126
5/ Texte sacré = « Tout le monde sait qui tu es »,
http://veronique-arlette.eklablog.com/texte-sacre-fevrier-2017-a128389142
6/ Charte d’éthique Maitriyo = « L’éthique c’est quoi ? »,
http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-charte-d-ethique-fevrier-2017-a128239610
7/ Exercice symbolique = « Le dodécaèdre ».
http://veronique-arlette.eklablog.com/exercice-symbolique-fevrier-2017-a128388872
Méditer, agir et participer au bon fonctionnement de Mahamaitri la Grande Bienveillance Universelle demandent de la stabilité (ancrage), un certain investissement (force combative), de la régularité (fidélité) et l’amour de son prochain (amour universel).
Participer à la méditation Vijranavadin demande d’avoir de l’Amour Inconditionnel, de la Bienveillance, le sens du Partage, et d’être Fraternel. Mais une seule de ces quatre qualités suffit pour entreprendre et participer à cette initiative collective.
Pourtant, chacun peut toujours participer à sa manière, au cœur de la matérialité, s’il le souhaite vraiment, grâce à des actions dans le sens du plan. Mahamaitri la Grande Bienveillance Universelle appartient à tous ceux qui souhaitent que tous les êtres sensibles trouvent le bonheur.
Alors à tous, j’adresse un « GRAND MERCI » pour tous vos efforts, pour votre participation en ce sens, pour votre investissement à devenir meilleur en soi, pour votre courage à vous discipliner et pour votre soutient inconditionnel. L’amour est un guide universel.
Recevez toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.
Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment,
Très bonne méditation et à tout bientôt.
Véronique-Arlette le 26 janvier 2017
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