•  

    3 - Shamballa « Bonté »

     

     

    Shamballa "Bonté"

     

    Code produit : S - 3 

    Tarif 50,00 euros TTC 

    Disponibilité en stock

     

    Pour passer votre commande, imprimer le bon de commande et le bon d'adhésion.

    Et envoyez-nous les deux formulaires accompagnés de votre règlement.

    L'adhésion et les frais de port sont gratuits pour tout achat supérieur à 30,00 euros.

    Télécharger « Bon d'adhésion UAB.pdf »

    Télécharger « bon de commande UAB.pdf »  

     

      

     

    Le bracelet Shamballa « Bonté » est un bracelet pour vous aider à développer votre bonté naturelle. Il à été créé pour représenter la troisième vertu de la Charte d’éthique « Maitriyo ». Celle-ci est : La Bonté se dévoue pour être généreuse.

     

    Les perles sont enfilées sur trois fils symbolisant les trois consciences. « Conscience matérielle », « conscience de l’espace » et « conscience des cieux ». Le tissage est en coton ciré bleu roi. Les perles semi-précieuses sont en calcédoine bleue et les perles en bois sont des perles en bois précieux.

     

    La calcédoine bleue est une pierre nourrissante qui favorise la fraternité et la bonne volonté. Elle stabilise la cohésion du groupe. La calcédoine harmonise le mental, les émotions et l’esprit, instillant des sentiments de bienveillance et de générosité. Elle transforme la mélancolie en joie. La calcédoine bleue facilite l’acceptation des nouvelles situations. Elle confère flexibilité mentale, dextérité verbale, fortifie les dons d’écoute et de communication. Un sentiment d’enjouement et d’optimisme habite l’être qui porte une calcédoine bleue. Améliore la perception que l’être à de lui-même.

     

    Votre Bracelet Shamballa est livré dans une boîte à vœux. Celle-ci à été élaborée avec le sceau de « MahaMaitri » en son intérieur. Ce sceau est très puissant. Il vous suffit d’écrire votre vœu (un seul à la fois) sur un petit morceau de papier et de le mettre à l’intérieur de la boîte. Foi et prières accompagneront votre vœux jusqu’à sa pleine réalisation. Quand celle-ci arrive, prenez le morceau de papier, brûlez-le et remerciez la Divinité pour son accomplissement. A présent, vous pouvez « faire un nouveau vœux ».   

     

    Le bracelet Shamballa est un bijou précieux qui complète efficacement une pratique spirituelle. Il habille les poignets aussi bien des hommes que des femmes, ouvre la conscience spirituelle et établit un lien entre la terre et le ciel.

        

    Les Bracelets Shamballa ou Shambhala déclenchent l’intérêt et inspirent à l’ouverture d’esprit. Shamballa Signifie « Conscience Spirituelle » et « énergie de création ». Ce bracelet vient à l’origine du Tibet. Il à comme pouvoir de promouvoir votre bien être. En portant un bracelet Shamballa vous augmentez la possibilité que votre corps et votre esprit se rappelle à l’essentiel.  Dans la mythologie bouddhique, Shamballa désigne en Sanskrit un « Instant de bonheur éternel ».

     

    L'Apprentissage Shamballa donné dans les Centres Shambhala fut fondé en 1976 par Chogyam Trungpa Rinpoché (1939-1987). Nommé d'après le royaume mythique de Shambhala, il propose une voie séculière de la pratique de la méditation et offre des enseignements fondés sur la vision qu'il existe en chacun de nous une source de sagesse éveillée - ou « bonté fondamentale » - que l'on peut découvrir, cultiver et manifester dans notre environnement.

     

    Il est dit que « Shamballa » est le Chakra situé dans le cœur de tous les êtres sensibles. La philosophie des bijoux de Shamballa est d’assembler différentes sphères «Terre spirituelle». Elles symbolisent « L'étoile et le coup de foudre » l'énergie créatrice féminine de l'univers ainsi que la puissance de feu masculine au service de la création, qui ensemble font accueil à la mémoire de notre amour infini ainsi qu’à la compassion profondément enracinée en nous et envers les autres. 

     

    Aucun Shamballa ne ressemble à un autre car aucune pierre n'est identique. Nos cotons cirés, nos boîtes à vœux, nos perles en pierre semi-précieuse et en bois précieux diffèrent suivant les arrivages de nos fournisseurs. Nos Shamballas sont fabriqués en France, puis bénis et placés immédiatement dans leur écrin, afin de préserver les bénédictions dont ils sont porteurs.

     

    Le Shamballa « Bonté » et sa boîte à vœux sont déposés sous la marque UAB et ne peuvent être copiés.

     

    L'achat d'un Shamballa "Bonté" où d'un autre article, d’un montant minimum de 30 euros, donne droit immédiatement à une adhésion à l’association UAB et à une carte de membre pour l'année en cours. L'association vit uniquement du fruit des adhésions, des dons, des produits et articles qu'elle propose gracieusement. Alors, merci d’avance pour votre immense générosité, pour votre bienveillance salutaire, pour vos partages altruistes et pour votre compassion éclairée.

     

    Tous nos remerciements à « Stewie Wonder » notre photographe pour toute la sensibilité affective qu’il à mise dans la réalisation des photos de nos Shamballas. Son savoir-faire, sa dextérité et son immense compréhension, ont réussit à sublimer nos produits au-delà de toutes nos espérances.

      

    Le présidente Véronique-Arlette le 26 novembre 2014

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    2 - Shamballa « Bienveillance »

     

    Shamballa "Bienveillance"

     

    Code produit : S - 2 

    Tarif 50,00 euros TTC 

    Disponibilité en stock

     

    Pour passer votre commande, imprimer le bon de commande et le bon d'adhésion.

    Et envoyez-nous les deux formulaires accompagnés de votre règlement.

    L'adhésion et les frais de port sont gratuits pour tout achat supérieur à 30,00 euros.

    Télécharger « Bon d'adhésion UAB.pdf »

     Télécharger « bon de commande UAB.pdf »  

     

      

     

    Le bracelet Shamballa « Bienveillance » est un bracelet pour vous aider à développer votre bienveillance naturelle. Il à été créé pour représenter la deuxième vertu de la Charte d’éthique « Maitriyo ». Celle-ci est : La bienveillance est la richesse du cœur.

     

    Les perles sont enfilées sur trois fils symbolisant les trois consciences. « Conscience matérielle », « conscience de l’espace » et « conscience des cieux ». Le tissage est en coton ciré fushia. Les perles semi-précieuses sont en grenat et les perles en bois sont des perles en bois précieux.

     

    Le grenat est une pierre hautement réénergissante et régénérante. Il revitalise, purifie et équilibre l’énergie, apportant la sérénité ou la passion selon les besoins. Le grenat est un talisman protecteur et plein de gentillesse pour tous les êtres sensibles. Inspire amour, bienveillance et dévouement en stimulant la montée contrôlée de la Kundalini. Pierre d’engagement, le grenat apporte courage, vigueur, force et espoir en dissipant l’énergie négative des chakras. Il favorise la confiance en « soi », contourne l’opposition et écartes les idées obsolètes. Il enseigne la charité et la compassion.  

     

    Votre Bracelet Shamballa est livré dans une boîte à vœux. Celle-ci à été élaborée avec le sceau de « MahaMaitri » en son intérieur. Ce sceau est très puissant. Il vous suffit d’écrire votre vœu (un seul à la fois) sur un petit morceau de papier et de le mettre à l’intérieur de la boîte. Foi et prières accompagneront votre vœux jusqu’à sa pleine réalisation. Quand celle-ci arrive, prenez le morceau de papier, brûlez-le et remerciez la Divinité pour son accomplissement. A présent, vous pouvez « faire un nouveau vœux ».   

     

    Le bracelet Shamballa est un bijou précieux qui complète efficacement une pratique spirituelle. Il habille les poignets aussi bien des hommes que des femmes, ouvre la conscience spirituelle et établit un lien entre la terre et le ciel.

     

    Les Bracelets Shamballa ou Shambhala déclenchent l’intérêt et inspirent à l’ouverture d’esprit. Shamballa Signifie « Conscience Spirituelle » et « énergie de création ». Ce bracelet vient à l’origine du Tibet. Il à comme pouvoir de promouvoir votre bien être. En portant un bracelet Shamballa vous augmentez la possibilité que votre corps et votre esprit se rappelle à l’essentiel.  Dans la mythologie bouddhique, Shamballa désigne en Sanskrit un « Instant de bonheur éternel ».

     

    L'Apprentissage Shamballa donné dans les Centres Shambhala fut fondé en 1976 par Chogyam Trungpa Rinpoché (1939-1987). Nommé d'après le royaume mythique de Shambhala, il propose une voie séculière de la pratique de la méditation et offre des enseignements fondés sur la vision qu'il existe en chacun de nous une source de sagesse éveillée - ou « bonté fondamentale » - que l'on peut découvrir, cultiver et manifester dans notre environnement.

     

    Il est dit que « Shamballa » est le Chakra situé dans le cœur de tous les êtres sensibles. La philosophie des bijoux de Shamballa est d’assembler différentes sphères «Terre spirituelle». Elles symbolisent « L'étoile et le coup de foudre » l'énergie créatrice féminine de l'univers ainsi que la puissance de feu masculine au service de la création, qui ensemble font accueil à la mémoire de notre amour infini ainsi qu’à la compassion profondément enracinée en nous et envers les autres. 

     

    Aucun Shamballa ne ressemble à un autre car aucune pierre n'est identique. Nos cotons cirés, nos boîtes à vœux, nos perles en pierre semi-précieuse et en bois précieux diffèrent suivant les arrivages de nos fournisseurs. Nos Shamballas sont fabriqués en France, puis bénis et placés immédiatement dans leur écrin, afin de préserver les bénédictions dont ils sont porteurs.

     

    Le Shamballa « Bienveillance » et sa boîte à vœux sont déposés sous la marque UAB et ne peuvent être copiés.

     

    L'achat d'un Shamballa "Bienveillance" où d'un autre article, d’un montant minimum de 30 euros, donne droit immédiatement à une adhésion à l’association UAB et à une carte de membre pour l'année en cours. L'association vit uniquement du fruit des adhésions, des dons, des produits et articles qu'elle propose gracieusement. Alors, merci d’avance pour votre immense générosité, pour votre bienveillance salutaire, pour vos partages altruistes et pour votre compassion éclairée.

     

    Tous nos remerciements à « Stewie Wonder » notre photographe pour toute la sensibilité affective qu’il à mise dans la réalisation des photos de nos Shamballas. Son savoir-faire, sa dextérité et son immense compréhension, ont réussit à sublimer nos produits au-delà de toutes nos espérances.

     

     

    Le présidente Véronique-Arlette le 26 novembre 2014

     

    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires
  •  

    1 - Shamballa « Amour Universel »

     

    Shamballa "Amour Universel"

     

    Code produit : S - 1 

    Tarif 50,00 euros TTC 

    Disponibilité en stock

     

    Pour passer votre commande, imprimer le bon de commande et le bon d'adhésion.

    Et envoyez-nous les deux formulaires accompagnés de votre règlement.

    L'adhésion et les frais de port sont gratuits pour tout achat supérieur à 30,00 euros.

    Télécharger « Bon d'adhésion UAB.pdf »

    Télécharger « bon de commande UAB.pdf »

     

      

    Le bracelet Shamballa « Amour Universel » est un bracelet pour vous aider à retrouver l’origine de votre Amour Universel. Il à été créé pour représenter la première vertu de la Charte d’éthique « Maitriyo ». Celle-ci est : l’Amour Universel est le plus pur des sentiments humain.

     

    Les perles sont enfilées sur trois fils symbolisant les trois consciences. « Conscience matérielle », « conscience de l’espace » et « conscience des cieux ». Le tissage est en coton ciré rose. Les perles semi-précieuses sont en Rhodochrosite et les perles en bois sont des perles en bois précieux.

     

    La Rhodochrosite représente l’Amour Universel, la Compassion et l’altruisme. Elle élargit la Conscience, intègre le spirituel aux énergies matérielles. C’est une excellente pierre pour le cœur et les relations, spécialement pour les gens qui ne se sentent pas aimés. Cette pierre améliore les relations entre enfants et parents. Mentalement vivifiante, la Rhodochrosite encourage une attitude positive, consolide les états de rêve et la créativité. Symbole de repos de paix et de sérénité pour l’âme, elle représente la béatitude et la contemplation spirituelle.

     

    Votre Bracelet Shamballa est livré dans une boîte à vœux. Celle-ci à été élaborée avec le sceau de « MahaMaitri » en son intérieur. Ce sceau est très puissant. Il vous suffit d’écrire votre vœu (un seul à la fois) sur un petit morceau de papier et de le mettre à l’intérieur de la boîte. Foi et prières accompagneront votre vœux jusqu’à sa pleine réalisation. Quand celle-ci arrive, prenez le morceau de papier, brûlez-le et remerciez la Divinité pour son accomplissement. A présent, vous pouvez « faire un nouveau vœux ».   

     

    Le bracelet Shamballa est un bijou précieux qui complète efficacement une pratique spirituelle. Il habille les poignets aussi bien des hommes que des femmes, ouvre la conscience spirituelle et établit un lien entre la terre et le ciel.

     

    Les Bracelets Shamballa ou Shambhala déclenchent l’intérêt et inspirent à l’ouverture d’esprit. Shamballa Signifie « Conscience Spirituelle » et « énergie de création ». Ce bracelet vient à l’origine du Tibet. Il à comme pouvoir de promouvoir votre bien être. En portant un bracelet Shamballa vous augmentez la possibilité que votre corps et votre esprit se rappelle à l’essentiel.  Dans la mythologie bouddhique, Shamballa désigne en Sanskrit un « Instant de bonheur éternel ».

     

    L'Apprentissage Shamballa donné dans les Centres Shambhala fut fondé en 1976 par Chogyam Trungpa Rinpoché (1939-1987). Nommé d'après le royaume mythique de Shambhala, il propose une voie séculière de la pratique de la méditation et offre des enseignements fondés sur la vision qu'il existe en chacun de nous une source de sagesse éveillée - ou « bonté fondamentale » - que l'on peut découvrir, cultiver et manifester dans notre environnement.

     

    Il est dit que « Shamballa » est le Chakra situé dans le cœur de tous les êtres sensibles. La philosophie des bijoux de Shamballa est d’assembler différentes sphères «Terre spirituelle». Elles symbolisent « L'étoile et le coup de foudre » l'énergie créatrice féminine de l'univers ainsi que la puissance de feu masculine au service de la création, qui ensemble font accueil à la mémoire de notre amour infini ainsi qu’à la compassion profondément enracinée en nous et envers les autres. 

     

    Aucun Shamballa ne ressemble à un autre car aucune pierre n'est identique. Nos cotons cirés, nos boîtes à vœux, nos perles en pierre semi-précieuse et en bois précieux diffèrent suivant les arrivages de nos fournisseurs. Nos Shamballas sont fabriqués en France, puis bénis et placés immédiatement dans leur écrin, afin de préserver les bénédictions dont ils sont porteurs.

     

    Le Shamballa « Amour Universel » et sa boîte à vœux sont déposés sous la marque UAB et ne peuvent être copiés.

     

    L'achat d'un Shamballa "Amour Universel" où d'un autre article, d’un montant minimum de 30 euros, donne droit immédiatement à une adhésion à l’association UAB et à une carte de membre pour l'année en cours. L'association vit uniquement du fruit des adhésions, des dons, des produits et articles qu'elle propose gracieusement. Alors, merci d’avance pour votre immense générosité, pour votre bienveillance salutaire, pour vos partages altruistes et pour votre compassion éclairée.

     

    Tous nos remerciements à « Stewie Wonder » notre photographe pour toute la sensibilité affective qu’il à mise dans la réalisation des photos de nos Shamballas. Son savoir-faire, sa dextérité et son immense compréhension, ont réussit à sublimer nos produits au-delà de toutes nos espérances.

     

    Le présidente Véronique-Arlette le 26 novembre 2014

     

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Shamballa « Maitriyo »

     

     

    Shamballa « Maitriyo »

     

    Code produit : S - 0

    Tarif 30,00 euros TTC

    Disponibilité en stock

     

    Pour passer votre commande, imprimer le bon de commande et le bon d'adhésion.

    Et envoyez-nous les deux formulaires accompagnés de votre règlement.

    L'adhésion et les frais de port sont gratuits pour tout achat supérieur à 30,00 euros.

     Télécharger « Bon d'adhésion UAB.pdf »

     Télécharger « bon de commande UAB.pdf »

     

    Bas du formulaire

     

    Le Bracelet Shamballa "Maitriyo" est un porte bonheur. Il représente le lien qui unit tous les êtres sensibles entre eux par l'amitié bienveillante et fraternelle. Le "Maitriyo" est le bijou porté par tous les membres de l'association UAB. 

     

    Le Shamballa "Maitriyo" est une représentation symbolique de la Charte d'éthique "Maitriyo". Il manifeste les 19 vertus de celle-ci à développer en « soi », un peu comme une intention sous-jacente en devenir, propice à l’épanouissement général de l’être. Porteur de cette signification en lui, il guide dans la bonne direction, en protégeant comme un talisman.

     

    Les perles sont enfilées sur trois fils symbolisant les trois consciences. « Conscience matérielle », « conscience de l’espace » et « conscience des cieux ». Le tissage est en coton ciré de 7 couleurs suivant votre choix, bleu marine, violet, argent ou blanc, doré ou jaune, rose, bleu ciel, et vert. Orné de trois pierres semi-précieuses, une turquoise intégrale non reconstituée, un quartz rose et un cristal de roche. Les pierres sont de très grandes et très hautes qualités.

     

     

    Shamballa « Maitriyo »

     

     

    Signification des 7 couleurs de coton ciré du Shamballa "Maitriyo":

     

    Bleu marine: "Prises de conscience" majeures en vue d'apaisements, de détente et de sérénité. Profondeur, maternité, enveloppement sont synonymes de détachement, de douceur, et de tranquillité d'esprit.

     

    Violet: Méditation et solitude en vue d'attention, de contemplation, et de concentration. Inspiration, créativité, et réflexion sont synonymes de recueillement, d'épanouissement et d'accomplissement.

     

    Blanc ou argent: Prière et Foi en vue de guérison, de purification, où de régénérescence. Clarté d'esprit, pureté et luminosité sont synonymes d'élévation, de croissance et d'éveil.

     

    Jaune ou doré: Développement des qualités et vertus en vue d'une meilleure énergie vitale, d'un affranchissement,  et d'une transcendance. Volonté, action, et motivation sont synonymes de chaleur, de joie de vivre, et de bonheur.

     

    Rose: Amour universel et compassion en vue d’affirmer sa bienveillance, son amour et son humanité. Partage, fraternité satisfaction et engouement sont synonymes de générosité, d'ouverture de cœur et d'abondance.

     

    Bleu ciel: Joie bonheur et plaisir de vivre en vue de libération, d'allégresse et de félicité. L'enchantement, le rêve et l'expansion sont synonymes de satisfaction, de légèreté et d'aboutissement.

     

    Vert: Végétarisme et écologie en vue de résurrection, de réhabilitation, et de renaissance. Jeunesse, espérance et fluidité sont synonymes de préservation de l'espèce comme de la terre, d’éternel recommencement et de perfectionnement.

     

    Signification des pierres-semi-précieuses:

     

    Le cristal de roche: Le cristal de roche est un symbole de divination, de sagesse et de pouvoirs mystérieux accordés à l'homme. Sa transparence est le plus bel exemple des contraires, car il est à la fois visible et invisible: masse matérielle aux contours définis, lorsque la lumière du soleil le traverse, ses rayons en effacent les contours et rendent le cristal comme sans limite. On dit que le cristal ne serait rien d'autre qu'un fragment détaché du trône de l'être suprême. On l'appelle aussi "Pierre de lumière". On attribut au cristal de roche, le pouvoir de favoriser la vision et la transe. Enfin le cristal dans d'innombrables civilisations à toujours symbolisé le rêve et il à été décrit dans de nombreux contes et légendes, comme une substance magique et mystérieuse."Autour du cristal, le cercle parfait que formaient les devins ne vit pas ce qui s'offrait réellement à leur regard, mais ils perçurent dans ces guerriers d'un autre monde ce qui étaient en eux, leur âme, leur pureté et ils surent que la prophétie s'accomplirait: parmi eux était l'Elu".

     

    La turquoise: Une vieille légende Navajo affirme que la paix universelle n'existera que le jour où tous les hommes porteront une turquoise au poignet gauche. Pierre des sentiments nobles et profonds, elle est le symbole de la paix universelle. Dans toutes les traditions culturelles, qu'elles soient du nouveau monde où de l'ancien, la turquoise est considérée comme une pierre sacrée qui est tombée sur terre. Elle apporte la richesse matérielle et protège du mauvais-œil. Gage d'amitié, de confiance en soi, de fidélité dans les relations solides, elle stabilise l'affectivité. C'est une des pierres les plus positives, à la fois pierre du Ciel et pierre de la Terre. De tous temps, la turquoise à été, une protection qui éloignait l'influence des puissances obscures ou maléfiques et protégeait contre elles. La turquoise à toujours été considérée comme une pierre de vie et de bonne fortune qui à même des propriétés curatives. La turquoise était employée comme un médicament par les indiens.

     

    Le quartz rose: Le quartz rose est la pierre de l'Amour universel et de la créativité. Il donne de la douceur, une tendresse infinie et la paix intérieure. Il guérit les blessures affectives les plus profondes, et toutes les douleurs du cœur. Cette pierre sensibilise aux joies et compense les carences de l'enfance. Le quartz rose favorise la communication et l'Amour. C'est la clef de voute des initiations. Il est souvent appelé "rubis de bohème". C'est un emblème de sagesse très puissant, de discernement et d'organisation fraternelle. Sa couleur secondaire, émanant du blanc et du rouge, lui confère un pouvoir Divin, celui d'épurer l'âme, de protéger le corps et l'esprit des perversions de toutes natures. Lors de la méditation, on utilise le quartz rose, sur le chakra solaire, car il ouvre l'esprit et amène la compassion et l'humanisme. C'est la pierre par excellence du bonheur conjugal. Elle adoucit les personnes trop sévères, développe l'activité spirituelle en apportant de la compréhension.

     

    Votre Bracelet Shamballa est livré dans une boîte à vœux. Celle-ci à été élaborée avec le sceau de « MahaMaitri » en son intérieur. Ce sceau est très puissant. Il vous suffit d’écrire votre vœu (un seul à la fois) sur un petit morceau de papier et de le mettre à l’intérieur de la boîte. Foi et prières accompagneront votre vœux jusqu’à sa pleine réalisation. Quand celle-ci arrive, prenez le morceau de papier, brûlez-le et remerciez la Divinité pour son accomplissement. A présent, vous pouvez « faire un nouveau vœux ».

       

    Le bracelet Shamballa est un bijou précieux qui complète efficacement une pratique spirituelle. Il habille les poignets aussi bien des hommes que des femmes, ouvre la conscience spirituelle et établit un lien entre la terre et le ciel.

     

    Les Bracelets Shamballa ou Shambhala déclenchent l’intérêt et inspirent à l’ouverture d’esprit. Shamballa Signifie « Conscience Spirituelle » et « énergie de création ». Ce bracelet vient à l’origine du Tibet. Il à comme pouvoir de promouvoir votre bien être. En portant un bracelet Shamballa vous augmentez la possibilité que votre corps et votre esprit se rappelle à l’essentiel.  Dans la mythologie bouddhique, Shamballa désigne en Sanskrit un « Instant de bonheur éternel ».

     

    L'Apprentissage Shamballa donné dans les Centres Shambhala fut fondé en 1976 par Chogyam Trungpa Rinpoché (1939-1987). Nommé d'après le royaume mythique de Shambhala, il propose une voie séculière de la pratique de la méditation et offre des enseignements fondés sur la vision qu'il existe en chacun de nous une source de sagesse éveillée - ou « bonté fondamentale » - que l'on peut découvrir, cultiver et manifester dans notre environnement.

     

    Il est dit que « Shamballa » est le Chakra situé dans le cœur de tous les êtres sensibles. La philosophie des bijoux de Shamballa est d’assembler différentes sphères «Terre spirituelle». Elles symbolisent « L'étoile et le coup de foudre » l'énergie créatrice féminine de l'univers ainsi que la puissance de feu masculine au service de la création, qui ensemble font accueil à la mémoire de notre amour infini ainsi qu’à la compassion profondément enracinée en nous et envers les autres. 

     

    Aucun Shamballa ne ressemble à un autre car aucune pierre n'est identique. Nos cotons cirés, nos boîtes à vœux, nos perles en pierre semi-précieuse et en bois précieux diffèrent suivant les arrivages de nos fournisseurs. Nos Shamballas sont fabriqués en France, puis bénis et placés immédiatement dans leur écrin, afin de préserver les bénédictions dont ils sont porteurs.

     

    Le Shamballa « Maitriyo » et sa boîte à vœux sont déposés sous la marque UAB et ne peuvent être copiés.

     

    L'achat d'un Shamballa "Maitriyo" où d'un autre article, d’un montant minimum de 30 euros, donne droit immédiatement à une adhésion à l’association UAB et à une carte de membre pour l'année en cours. L'association vit uniquement du fruit des adhésions, des dons, des produits et articles qu'elle propose gracieusement. Alors, merci d’avance pour votre immense générosité, pour votre bienveillance salutaire, pour vos partages altruistes et pour votre compassion éclairée.

     

    Tous nos remerciements à « Stewie Wonder » notre photographe pour toute la sensibilité affective qu’il à mise dans la réalisation des photos de nos Shamballas. Son savoir-faire, sa dextérité et son immense compréhension, ont réussit à sublimer nos produits au-delà de toutes nos espérances.

     

    Véronique-Arlette présidente de l'UAB le 22 Novembre 2014 

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur Créateur

     

     

    Exercice de méditation (Décembre 2014)

     

    Exercice méditatif décembre 2014

     

     

    Exercice sur l’Air et l’Ether

     

    Concentration et respiration transforment l’air en éther.  La concentration est le complément de la respiration, ensemble ils deviennent un « Pouvoir » qui accompagne l’être sur le chemin de la réussite et une « énergie »  qui guide le méditant sur les hauteurs spirituelles. Quand le matériel s’unit au spirituel l’être s’épanouie dans le bonheur et la considération.

     

    La concentration joue un rôle extrêmement important dans toute notre vie. Se concentrer demande de focaliser toute notre énergie sur un seul et unique point précis. Cette force de la volonté est mise à disposition des buts que nous souhaitons atteindre dans notre vie. C’est elle qui va faire que nous réussirons nos objectifs où pas. C’est pourquoi, il convient de développer notre concentration le plus possible afin qu’elle devienne un « pouvoir » ou plutôt un outil indispensable à la réalisation de nos objectifs. Cette aide indéniable fera toute la différence entre nous et les autres. Prendre conscience du besoin de développer cette qualité de l’esprit est une prise de conscience majeure dans l’existence d’un être sensible.    

     

    La respiration est le premier « souffle vital » du nouveau né. Par cet acte, la vie prend la forme du corps, puis donne du corps aux sentiments, puis des sentiments à notre vie et devient un élément indispensable à notre bien-être. Le souffle vital est l’énergie qui nous tient en vie et qui nous relie aux autres et à l’Univers. Le corps de la respiration est une machine bien huilée qui fonctionne toute seule. Prana est la montée, quand le souffle gonfle les poumons et que la cage thoracique s’agrandit vers les hauteurs. Apana est la descente, quand l’air est chassé en dehors des poumons et que la cage thoracique s’affaisse vers le bas. Vyana est la distribution, la circulation et la rétention du souffle. Udana est le bruit de l’énergie du souffle, la cohésion entre les énergies matérielles et subtiles, la transformation de la nourriture en énergie. Samana récupère ses énergies transformées en quelque chose de plus subtil, soit l’air de la respiration transmuter en Ether.

     

    La qualité de l’air, la qualité de la concentration et la qualité de la liaison des deux sont aussi importante l’une que l’autre. Savoir respirer est un facteur, de bien-être, de joie et de bonheur. L’attention, la persévérance et la maîtrise de soi fixent ensemble l’esprit sur un point précis et le maintiennent dans la durée, jusqu’à l’aboutissement du projet.

     

    La méditation devient alors un travail qui développe la puissance de l’esprit. Transformer « l’air » en « éther » c’est devenir aussi puissant qu’un fakir. Cette énergie est capable de beaucoup, comme  de soulever un « yogi » si elle est contrôlée et dirigée dans un but précis. Celui qui sait utiliser sa respiration, transformer l’air en éther et fixer cette énergie sur un point précis,  sans la laisser dévier, sans rien perdre de cette précieuse énergie, décuple sa puissance d’action et multiplie ce rayonnement par mille. 

     

    Dans les exercices de respiration, l’étudiant recherche tout d’abord la relaxation et la détente du corps. Mais le corps de la respiration va passer par plusieurs stades, passer de la respiration abdominale, puis relâcher le diaphragme et s’inverser.  La respiration abdominale normale favorise la relaxation du haut du corps. En méditation la respiration doit être fluide, calme, régulière, profonde, comparable au "déroulement d'un fil de soie". On harmonise au maximum la respiration, en contrôlant l’inspire et l’expire. L'expiration dans certains moments peut être longue et profonde pour évacuer l'air. Puis, l’inspiration sera très courte et saccadée pour une bonne ventilation. La régulation de la respiration à pour but d'augmenter la détente corporelle pour un échange interne plus profond.

     

    Exercice pratique

     

    Apprendre à se « concentrer » sur le « corps de respiration », à se retirer « ici » sur ce point précis, afin de transformer l’air en éther.  L’énergie qui en découlera purifiera le corps, le cœur et l’esprit du méditant dans un premier temps, puis servira pour d’autres choses ensuite. Réaliser cet exercice méditatif tous les jours pendant 1 mois.

     

    Exercice/ Allier sa respiration et sa concentration dans un même objectif, celui de réussir sa vie.

     

    Ajuster votre coussin de méditation afin d’être installer relativement droit et détendu. Vos mains sont rassemblées délicatement sur vos cuisses, main droite dans la main gauche, les deux pouces se touchent.  Relâchez vos épaules afin que votre poitrine soit dégagée. Ajustez l’angle de votre tête pour que la nuque soit détendue. Votre menton sera légèrement rentré. Fermez délicatement les yeux, et détendez chaque partie de votre corps l’une après l’autre, afin que votre corps soit complètement décontracté. Vous êtes maintenant prêt à entreprendre votre méditation.

     

    Laissez-vous absorber dans le va et vient du souffle, en gardant une respiration naturelle et détendue. N’essayez pas de contrôler votre respiration, laissez-vous plutôt absorber en elle. Concentrez-vous sur cette respiration libre de toute volonté. L’air entre par votre nez, passe dans l’arrière gorge, traverse votre cage thoracique, passe par le diaphragme, puis arrive dans votre ventre, dans votre centre, dans votre grotte intérieure. Vous sentez votre abdomen se remplir complètement.  Ici, il y a un temps d’arrêt, l’air prend possession du lieu puis une inversion se produit, et l’air repart en sens inverse, remonte à travers le diaphragme, et franchit toutes les étapes antérieures. Quand il arrive en haut, il y a un autre temps d’arrêt, l’air est comme suspendu en l’air, puis il repart en sens inverse.

     

    Dans ce corps de respiration, l’air monte et descend le long d’un fil invisible. Ce fil maintient votre corps accroché avec les forces spirituelles subtiles.  Gardez bien votre concentration sur ce fil invisible, sur votre respiration, sur cette machine qui vous maintient en vie. Voyez cela sans essayer de contrôler, juste en observant, les respirations courtes, celles qui sont longues, et cette machine parfaitement huilée qui fonctionne parfaitement. Votre respiration est indépendante de votre volonté, elle vous calme et vous relaxe au plus profond de vous-même. Elle est en train de transformer votre air en éther beaucoup plus aérien et vous élève inexorablement vers d’autres horizons beaucoup plus subtils, beaucoup plus spirituels, beaucoup plus imperceptibles. Votre perception augmente en même temps que votre corps de respiration augmente aussi. Gardez bien votre concentration sur votre corps de respiration qui augmente aussi. Devenez ce corps de respiration qui s’intensifie. Votre énergie augmente en même temps que votre concentration. Votre ventre monte et descend et votre énergie augmente avec. Maintenez votre concentration ici, dans cet espace, dans votre ventre, dans votre grotte intérieure, là où vous n’êtes plus que de l’énergie vitale. Restez ici autant que vous le pouvez, puis sortez de cet espace en paix et en harmonie avec l’univers.

     

    La respiration et la concentration sont la base d’une vie saine et épanouie. Tout ce que vous avez besoin est en vous. Un puit inépuisable est à votre disposition, une source énergétique extrêmement puissante est à développer. Cet exercice vous aide à développer votre concentration, à retrouver des sensations d’enfant et des émotions naturelles et saines. La vie est en vous, un précieux cadeau, une énergie vitale à maintenir en vie. Le gage de votre réussite réside ici.   

    Commencez cet exercice pendant 15 minutes minimum. Puis augmentez de 5 minutes chaque semaine. A la fin du mois, vous atteindrez les 30 minutes et votre « air » se transformera inévitablement en « éther » plus subtil.


    Très bonne méditation 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté 

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice « Conscience» (Décembre 2014)

     

     

     Illusion et vérité

     

    C’est en prenant Conscience du mensonge et de l’illusion, que nous prenons Conscience de la vérité. 

     

    Quand certaines personnes veulent donner une image d’elle-même qu’elles sont loin de détenir, pendant que d’autres affichent leurs vérités en pleine lumière sans peur du « quand dira t-on », nous comprenons que l’illusion et la vérité se côtoient à l’intérieur même du même monde.  Si nous sommes profondément honnêtes, nous nous sentons perdu avec ceux qui alimentent un besoin constant de cacher leur propre vérité derrière une façade flamboyante. Cette mascarade prend tout son sens, quand elle est dans l’air du temps, comme une illusion de réussite qu’il convient d’afficher largement, avant même d’y être parvenu. Afin de devenir quelqu’un, les stratagèmes offrent l’opportunité de raconter une histoire et d’alimenter la polémique, en vue de devancer cette fameuse prospérité sociale. Mais, cette apparence trompeuse peut-elle donner l’illusion jusqu’au bout ? La vérité ne risque telle pas de se montrer un jour où l’autre et les autres ne risquent-ils pas d’être déçus par ce mensonge plus que grossier ? Pourquoi, certaines personnes ont-elles besoin de se montrer « autre chose » que ce qu’elles sont en réalité ? Ne risquent-elles pas de se perdre dans les illusions ? Le problème majeur n’est-il pas qu’a force d’illusion, elles nous imaginent une vie qui ne serait pas comme elles voudraient la voir elles-mêmes ? Il est vrai que notre vie peut parfois engendrer des fantasmes dans la tête des autres. La masse d’information est parfois tellement grande, chacun projetant ses désirs sur le monde, les attentes sont aussi de plus en plus colossales, que la vérité est difficile à démasquer.  L’espérance se transforme en féérie, l’amusement en enchantement, les fantasmes en aveuglement, la fantaisie en fiction, le charme en trompe l’œil, l’irréel en leurre, la manipulation en magie, le songe en hallucination, et le mythe en imposture. Chacun à un degré très précis d’attente et de reconnaissance, et tout le monde imagine sa vie vers un futur flatteur à souhaits. Les apparences sont si importantes dans ce monde où l’argent, la réussite et le statut social sont des valeurs en constante progression, que l’être est outrageusement exposé comme un trophée, et guidée vers un chemin ascensionnel. Le malheur c’est que tout le monde n’est pas engagé sur cette voie ascensionnelle et que les désillusions frappent les êtres en plein cœur. Le voyage s’arrête ici pour eux et la mascarade prend le relais. La beauté n’est plus qu’une question de dollars, de flambant, et de clinquant surtout. Les gens ne retiennent de vous que votre tête, en tête des sondages, et si vous ne faites rien d’autres pendant tout le reste de l’année, ils ne veulent pas le savoir. Seul, le succès en matière de chiffres sonnants et trébuchants leur parle. C’est pourquoi « l’illusion » est si souvent utilisée. Jusqu’au jour où le masque tombe et que les gens découvre autre chose que ce qu’ils avaient imaginés. L’actualité est là pour remettre les compteurs à leur juste place.  Les êtres aiment vivre en réussissant financièrement, ils aiment qu’on parle d’eux avec des éloges et ont une très haute opinion d’eux la plus part du temps. Mais qu’en est-il des autres. Ceux qui restent sur le carreau, au chômage, au RSA, et sans vraie situation personnelle ? Ceux là n’ont pas besoin d’illusion, la vérité est déjà bien assez difficile à vivre.

     

    Alors d’autres préfèreront le cache-cache, qui est une autre manière de vivre heureux et tranquille, dans son propre monde loin de toute cette esbroufe. Pour eux, le besoin de vérité est plus fort que tout le reste. Leur vie ne ressemble pas à celle de Monsieur tout le monde. Leur vérité n’est pas celle des autres parce qu’ils sont tout simplement unique en leur genre. Tout est une question de niveau de conscience. La plus part du temps, cette vérité là n’aime pas se dévoiler, elle se cache derrière un habit blanc pour vivre sa vie en toute liberté. Comme on dit, la lumière n’a nulle besoin d’illusion, elle ne craint pas l’ombre ni les obscurcissements, en cela elle n’est que pure vérité. La nature est naturelle, vraie, authentique et surtout véridique en « soi », c’est la clef de la joie et du bonheur.  

     

    Alors essayez de vivre constamment éclairé par la lumière de la vérité tout en vous préservant de la bêtise de la tromperie. De toute façon, il n’y aurait que vous pour payer les pots cassés.

     


     

    Exercice

     

    Prendre conscience des choses est un exercice pour ouvrir notre esprit sur des choses qui lui sont totalement étrangères. Mais cette ouverture peut se produire de multiples façons. Parfois cette prise de conscience est facile et salutaire,  mais la plupart du temps, elle est difficile et obligatoire.  Notre conscience individuelle ou collective à parfois besoin d’éclaircissements violents pour résoudre les adéquations de la vie. Il faut dire que la conscience n’est pas dualitaire mais qu’elle essaie toujours de trouver l’unité dans toutes les circonstances.  En préparant notre conscience, en la guidant sur le chemin de la découverte et de l’évolution, en l’aidant avec des exercices appropriés, nous l’éduquons. Ainsi les prises de consciences deviennent beaucoup plus douces, et beaucoup plus adaptés à notre mode de vie.

     

    Voici les questions

     

    Lisez toutes les questions et laissez les agir en vous pendant quelques jours. Puis, faites un résumé de 10 lignes minimum pour répondre à chaque question.  Laissez mariner quelques jours, puis relisez-vous, pour comprendre ou vous en êtes, dans la prise de conscience de cet exercice. Vous pouvez refaire cet exercice dans quelques mois, pour voir ou en est votre évolution. Quand on ouvre une porte à l’esprit, il continue sa progression dans toute la pièce, souvent à notre insu.   

     

    1/ Quelle est votre manière de vivre ? Préférez-vous la pleine lumière de la vérité sur vous, sur votre vie et sur votre mode de vie ? Vivez-vous en pleine lumière sans rien à cacher ?

     

    2/ Que pensez-vous de l’illusion ? L’utilisez-vous vous-même pour masquer certaines choses de votre personnalité ou de votre vie ? Vivez-vous dans l’illusion de certaines choses ?

     

    3/ Croyez-vous que vous vous imaginez plein de choses merveilleuses et extraordinaires sur la vie de ceux que vous aimez et sur les stars en général ? Croyez-vous qu’ils sont plus heureux et dans le bonheur que vous ? Pensez-vous qu’ils ont des choses épouvantables à cacher ?

     

    4/ Êtes-vous de ceux qui alimentent un besoin viscéral de révélations, de scandales, de découvertes sur la vie des grands de ce monde ? Pensez-vous qu’ils sont comme nous,  plus simples qu’on ne le croit ? 

     

    5/ Que pensez-vous des personnes qui vivent complètement dans l’illusion ? Sont-ils très malheureux et quels sont leurs problèmes selon vous ?

     


     Très bon travail 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté  

      

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images 

      

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Module proposition d’étude de texte sacré (Décembre 2014)

    Les 5 poisons du Bouddhisme

     

    Textes sacrés Décembre 2014

     

     

    Dans le Bouddhisme, les cinq sagesses dont nous avons parlé le mois dernier, correspondent aux cinq poisons où souillures de l’esprit. Ce qu’il faut comprendre ici, c’est que le simple fait que « l’esprit » se penche dans une direction où une autre, est un facteur de perturbation de l’esprit d’éveil. Les cinq poisons sont le désir, la colère, l’orgueil, la jalousie, et l’ignorance. Ces souillures sont considérées comme des émotions qui agitent l’esprit. Quand  l’esprit de l’être est agité par l’un où l’autre de ces cinq poisons, il produit inévitablement du karma négatif. Quand l’être travaille à redresser ses penchants, il produit un Dharma positif. Le but de la méditation, du yoga, où de la pratique d’une discipline spirituelle est d’aller contre les mauvaises tendances, de devenir plus participatif, plus volontaire, plus résistant, pour redresser donc devenir plus droit, en accompagnant son esprit dans une discipline spirituelle. Celle-ci nous permettant de « sortir » en quelque sorte du négatif. Entrer dans un nouvelle discipline et maintenir cet apprentissage demande un investissement certain et du temps. Développer ses qualités grâce aux antidotes neutralise les cinq poisons. L’emprise des impuretés sur l’esprit est anéantie par une discipline spirituelle régulière, l’utilisation des antidotes dans la vie quotidienne, et une expérimentation journalière. L’entraînement est toujours gage de réussite.

     

    Les Cinq poisons qui souillent l’esprit humain sont : 

     

    1.  Le désir où attachement, sa couleur est le rouge, sa direction est l’Ouest, son antidote est la méditation sur la dépendance.

    2.  La colère où haine, sa couleur est le bleu, sa direction est l’Est, son antidote est la méditation sur l’Amour compatissant.

    3.  L’orgueil où Amour-propre, sa couleur est le jaune, sa direction le Sud, son antidote est de donner de l’importance aux autres.

    4. La jalousie où Ombrage, sa couleur est le vert, sa direction est le Nord, son antidote est de se réjouir de la réussite et du bonheur des autres.

    5. L’Ignorance où Non-savoir, sa couleur est le blanc, sa direction le Centre, son antidote est la méditation sur les 12 causes interdépendantes.

     

    Pour l’enseignement du Bouddha, les cinq émotions perturbatrices sont considérées comme des « Sagesses » qu’il convient de purifier complètement afin d’accéder à l’éveil parfait. Ses émotions ne doivent pas « être refoulées » mais au contraire assainies afin de retrouver leur nature primordiale. C’est pourquoi, elles seront toutes acceptées en « soi » par l’aspirant, donc reconnu comme telles à l’intérieur même de chacun. C’est alors qu’un travail de déracinement profond permettra leur éradication complète.

     

    A chaque poison correspond donc une sagesse à développer ou retrouver en « soi ».

     

    1.    Le désir devient un « besoin » ou plutôt une dépendance douloureuse pour quelque chose d’extérieur afin de se sentir bien. Par exemple, un besoin d’amour de l’autre, un besoin de tendresse, de compliments, de reconnaissance, de drogue, d’alcool, de sexe, de consommation, afin de se sentir exister, etc. La sagesse qui lui correspond est la sagesse de l’Amour, de la compassion, et de l’empathie. Bref, une sagesse qui prend en compte son « manque » d’amour et son « manque » de connaissance. Cette ignorance (vide intérieur) franchie et reconnue en « soi », agit comme une évidence, et facilite l’ouverture envers tous les autres êtres sensibles. En effet, chaque être humain est en quelque sorte en « manque d’amour » et en « manque de connaissance » sur bien des sujets. L’être ne peut pas avoir toute la connaissance en lui tout seul. Cette connaissance est partagée entre nous tous et nous en détenons tous une parcelle. Ensemble nous formons l’univers. C’est cette « prise de conscience » qui permet à l’Amour et à la Compassion d’émerger en nous. Nous sommes tous UN, à la fois unique et tous semblables. Nous dépendons les uns des autres, nous sommes relier entre nous et ensemble nous formons l’humanité. Nous trouvons notre chemin grâce à notre solitude mais nous ne sommes pas « seul » pour y arriver. Autour de nous, les autres nous aident en cela, comme nous aidons les autres aussi. Chaque « vide existentiel » trouve sa solution grâce à l’aide des autres. la Sagesse du Dharmadhatu représente la pureté intérieure primordiale de chacun et du tout. Elle était là avant nous et sera encore là après nous. Elle remplie le cœur existentiel de tous les êtres sensibles, les aides à évoluer dans leur vie, sur le chemin de l’Amour, de la compassion et de l’empathie. Elle permet d’aimer, de comprendre et de remplir notre mission de vie ici sur terre. La sagesse du Dharmadhatu est ce centre vers lequel nous devant retourner, le lieu d’origine de toutes les autres sagesses, le point d’éveil et de libération de l’être.

     

    2.    La colère devient un moyen d’imposer son point de vue, de contrôler, d’avoir l’emprise sur, de s’indigner, de refuser, de s’opposer, de se protéger surtout, etc. Comme l’être est en pleine construction intérieure, il n’est pas encore très solide, souvent il a du mal à imposer ses propres choix, et vivre avec les avis des autres et les pressions extérieures sont « difficiles ». Son noyau propre est en train de se structurer, de se renforcer, et de se solidifier. En même temps, il apprend à affirmer sa personnalité, à développer ou retrouver son savoir, à acquérir de la technicité et doit évaluer et partager ce « savoir faire » avec les autres. Alors ici, les egos s’affrontent et les prises de « pouvoir » s’intensifient. Entre « connaissances », l’amour et la compassion ne sont pas toujours au rendez-vous et la coexistence est ardue. Vivre ensemble s’apprend tous les jours, l’espace est vaste et il y a de la place pour tout le monde malgré que certain pensent le contraire. Vivre et s’affirmer au milieu des autres est un chemin plein d’embûches. Chacun à ses propres problèmes à résoudre, chacun à des revendications à formuler, et tout le monde doit faire un effort d’intégration au sein du groupe. Les conflits aident les êtres sensibles à devenir plus aimant, plus compatissant, plus autonome, et plus sociable. En trouvant des solutions à leurs problèmes, les êtres sensibles grandissent au cœur du monde en privilégiant l’amour, la joie de vivre et le bonheur. La Sagesse semblable au miroir les aide en cela puisqu’elle leur offre l’opportunité de profiter de cette vie pour s’élever spirituellement. La colère correspond à la passion qui se transforme, au discernement qui se développe en toutes circonstances, à la vivacité intellectuelle qui se développe et s’intensifie dans le perfectionnement et surtout à un engagement indispensable au maintient de l’équilibre et de l’harmonie sur tous les plans. Le détachement découle progressivement, et la colère laisse la place au calme intérieur.

     

    3.    L’orgueil devient une parade pour masquer un manque, soit d’amour, soit de compassion, soit de travail sur « soi ». Par manque d’intérêt, d’investissement, de développement,  de connaissance, de qualité, etc. La personne refuse de se sentir inférieure à, moins forte que, moins grande, moins compatissante, plus ignorante, etc. Son manque de confiance en elle, vient de ce « manque » qui est en train de se manifester de plus en plus. A force, elle comprend qu’elle doit faire quelque chose pour remplir ce déficit. Mais surtout, elle apprend à se servir de cette faiblesse comme une béquille pour changer. Reconnaître en « soi » un défaut, un vide ou encore une déficience n’est pas facile. Mais c’est seulement quand cette faiblesse est reconnue, qu’elle peut être acceptée, puis dépassée. Reconnaître que les autres sont plus que nous, c’est accepter consciemment d’être dépassé par plus vaste que « soi ». Mais c’est aussi et surtout profiter de ces immenses connaissances misent à notre disposition pour évoluer. La sagesse est surtout une question d’élégance, de partage, et d’Amour du tout. C’est là que la Sagesse de l’égalité et de l’identité propre à chacun intervient.  Nous sommes tous des êtres extraordinaires, nous sommes tous égaux dans l’apprentissage, tout en ayant une identité propre et personne ne peut remettre en cause cette affirmation. De cette prise de conscience naît une grandeur d’âme extraordinaire et aussi vaste que l’infini. Nous nous enrichissons mutuellement, nous progressons sur la voie grâce à notre ouverture sur les autres, nous nous élevons ensemble grâce aux uns et aux autres si nous acceptons de partager nos trésors. Ici, la sagesse de l’égalité et de l’identité prend toute sa dimension dans le fait de « donner » de l’importance aux autres, de les accueillir en « soi », de les chérir, de les comprendre, de les écouter, de leurs donner des outils pour développer leurs qualités,  de recevoir tout ce qu’ils ont à donner, de mettre en lumière leurs « dons », leurs efforts, leurs savoirs et de soutenir leurs actions. Cette sagesse est dans le partage des connaissances, des savoir-faire, des savoir-être, des savoir vivre. Nous ne sommes pas supérieurs aux autres, il ne doit y avoir aucun mépris envers les autres êtres sensibles dans notre nature propre, dans nos démarches et dans nos actions. La confiance en « soi » est une question d’éducation, le résultat d’un travail conséquent sur nous-mêmes, mais également d’un investissement honorable auprès des autres.

     

    4.    La jalousie est une question d’ombrage ou plutôt un besoin inconsidéré d’occuper l’espace conquit par soi-même. L’être ne supporte pas d’être remis en cause dans ses propres fondations, sur son terrain, dans ses convictions profondes, par quelqu’un d’autre. Il à réussit à construire sa base tout seul et sans aucune notice et maintenant il entend bien progresser pour arriver tout en haut. Alors, il est prêt à tout et parfois à dégommer les audacieux  qui voudraient en découdre avec lui. Il n’apprécie pas ceux qui voudraient passer devant lui ou s’accaparer ses biens. Son efficacité, son action graduée, sa pratique, et son réalisme doivent maturer tous les jours davantage afin de dépasser la peur, les doutes, et le scepticisme. Sa confiance et son courage ont déjà réalisé tant de choses aux prix de nombreux sacrifices alors il entend maintenir son espace coûte que coûte. Pourtant le détachement est obligatoire pour avancer plus en avant sur la voie de l’éveil. Celui-ci doit être complet et entier, et la jalousie n’est qu’un attachement supplémentaire dont il convient de s’affranchir. C’est ici que la Sagesse discriminante intervient en cela qu’elle unifie l’être fragmenté en une seule et unique chose. L’individu doit s’ouvrir sur l’infini, et devenir « UN » avec tout l’univers tout en conservant son individualité. Cette connexion est un passage sur une autre dimension beaucoup plus subtile. Dans l’invisible, une autre manière d’être et d’aimer est demandée. Ce partage est indispensable à l’évolution spirituelle de chacun. L’audition, la réflexion et l’expérience personnelle viennent finaliser le développement de la finesse de cet esprit là.  La sagesse discriminante n’a nulle besoin de prendre toute la place pour s’épanouir et exister complètement. Elle se dissout dans le tout comme dans une scène à l’œuvre parfaite. L’être trouve finalement sa place au cœur du puzzle qu’est l’univers sans perdre son identité propre. Savoir se fondre dans la masse au point de faire partie intégrante du tableau, en pleine contemplation de  cette unité, tout en comprenant la diversité de chacun.  

     

    5.    L’ignorance est une question de non savoir, une absence de connaissance, un blanc sur l’intellectuel. Ce n’est pas de la débilité où de la bêtise, mais simplement un vide à combler. Toutes les choses sont interdépendantes et reliées entre elles. L’ignorant ne sait pas cela, il ne peut pas en parler, ni défendre son point de vue sur le sujet car il méconnait cette vérité. Alors, il se moque, plaisante, émet des doutes, s’intéresse à autre chose, ou passe son chemin. Ne pas « savoir » n’est pas une tare, mais juste un manque d’information. Souvent, certains êtres ont honte de ne pas avoir toute la connaissance qu’il souhaiterait obtenir. L’humilité est gage de sagesse. Pourtant c’est en reconnaissant ce manque de connaissance sur un sujet bien précis que ceux qui savent nous éclairent immédiatement de leur chandelles. C’est pourquoi nous devons toujours nous entourer avec des êtres qui nous sont supérieurs, qui sont plein de sagesse, qui ont une connaissance étendu et qui souhaitent la partager avec le plus grand nombres d’êtres sensibles. C’est ici qu’intervient la Sagesse toute accomplissante, celle qui nous encourage à « offrir » notre propre savoir aux autres. Se vouer au bien-être des autres, vouloir leur élévation matérielle et spirituelle, souhaiter qu’ils deviennent autonome, aspirer à leur accomplissement, est un bien pour l’humanité toute entière. Cette sagesse agit naturellement, avec spontanéité, libre de toute attache, elle trouve des moyens habiles pour favoriser la compréhension de tous les êtres sensibles, elle les aide à franchir les obstacles, guide leur avancement sur la voie, parce qu’elle souhaite le bonheur et l’éveil de tous.  Elle sait au fond d’elle-même que c’est dans un ensemble que le monde avance. Dans la contemplation de tous et grâce à la méditation, cette sagesse œuvre en permanence pour le bien universel. Ses champs de conscience sont vastes et variés, car ils sont complètement purifiés et unifiés. Elle voit spontanément tout ce qui doit être fait et élève tout ce qu’elle peut jusqu’à la source de l’inconditionné.

     


     

    L’étude des textes sacrés est le véhicule de la compréhension.

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯ •°*”˜”*°•.¸ 

     

    Très bon travail

    Par l’étude le disciple oriente son esprit dans la bonne direction, celle de la sagesse suprême. 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Méditation Vijranavadin

    Être un cœur créateur

     

    Pleine lune du 6 décembre 2014

    De 21h à 22h (heure française)

     

    Mantras et chants universels de 11h à 12h (Heure Française)

     

    Méditation Vijranavadin 6 décembre 2014

      

    Cette méditation collective/mondiale est ouverte à tous les êtres,  débutants ou confirmés. Peut importe votre religion puisque nous sommes tous frères et sœurs. Peut importe si vous n’êtes d’aucune religion, si votre cœur déborde d’amour, soyez les bienvenus. Elle débute par 30 minutes de préparation, puis 30 minutes de méditation. Vous pouvez la raccourcir ou la prolonger si vous le souhaitez. Dans un souci de purification et de pureté, il est conseillé de s’habiller en blanc, car cette couleur exprime la « pureté » libre de tous les voiles de l’esprit.  Elle s’adresse à tous les êtres sensibles et se pratique  seul ou en groupe, ou que vous soyez sur la planète terre. C’est le simple fait d’être connecter tous ensemble au même moment qui augmente l’envergure de nos possibilités.

     

    L’Amour Inconditionnel, la Bienveillance, le Partage, et la Fraternité sont les outils indispensables à cette méditation. Mais une seule de ces quatre qualités suffit pour entreprendre et participer à cette initiative collective.

     

    Vijranavadin ou Voie de la « Conscience Universelle »

     

    Le méditant de la Conscience Universelle est un cœur créateur, un porteur de lumière, qui brille dans le monde entier, pour éclairer, guider et guérir tous les êtres sensibles. C’est avec son Amour Bienveillant qu’il illumine chaque être sans discrimination, distribuant une grande quantité d’Amour à travers chaque pensée, chaque geste et chaque action. Cette affection chaleureuse irradie naturellement comme « mille soleil » à travers lui,  fruit d’une « pratique » intensive et régulière.

     

    Cette « méditation de la Conscience Universelle » permet d’ouvrir pleinement les portes du cœur, pour laisser s’exprimer tout le potentiel qui existe à l’intérieur de chaque être. L’« éveil » est un état d’être qui s’éveille doucement à la Conscience, grâce à une purification complète du cœur et un contrôle du mental, pour atteindre à la source de son « être ». Un éclaircissement s’effectue graduellement sur les différents niveaux de Conscience, puisque le méditant travaille à nettoyer son mental des pensées négatives. De plus et en même temps, il développe la culture de l’Amour Inconditionnel et la compassion envers tous les autres êtres.  En entraînant son cœur  régulièrement dans la vibration intensive de cette forme d’amour, il décrasse  son mental des souillures de l’esprit  et éclaire son être dans des « prises de conscience » clarifiées, extrêmement vives. Au bout d’un certain temps, une ouverture se produit alors à l’intérieur du cœur, résultat d’un cheminement en pleine conscience, et fruit d’une libération épanouissante. En parallèle, se profile une acceptation des conditions de tous les êtres, qui cheminent tous dans la même « souffrance». Assez rapidement, la compréhension s’installe d’elle-même et le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres, des choses et de l’univers tout entier, prend Conscience qu’il dispose du « moyen/remède », pour sauver son « être » et tous les autres « êtres » de cette servitude commune. Cette perle miraculeuse est L’Amour universel caché dans chaque cœur, dans chaque être, et dans chaque parcelle de tout l’univers. L’être peut « voir » que cet Amour est présent dans chacun de ses gestes, dans chacun de ses actes et dans chacune de ses pensées, pour autant que l’être souhaite « Aimer » et non « blesser ». Mais l’Amour du méditant doit encore devenir « Inconditionnel » et se purifier de toutes traces et  de toutes projections de désirs d’exclusivités, d’attentes personnelles et d’espérances démesurées. C’est en arrivant à vivre sa relation avec l’autre ou avec les autres, sans émettre aucun de ses propres reflets sur l’autre, que cet Amour devient véritablement «  inconditionnel ». Ici, il est enfin pur de toute attente et libre de tout attachement. Mais en attendant d’atteindre à cet absolu, il va pouvoir grandir sous la houlette des plus grands experts, puisque cette méditation rassemble tous les êtres du monde entier, dans la Conscience Universelle. C’est ainsi qu’il peut compter sur son expérience et sur celle des autres pour atteindre à cet Amour Inconditionnel. Ici il n’y a pas de petit, ni de grand, tous s’unissent pour faire grandir la Conscience Universelle. Le cœur du méditant de la Conscience Universelle, peut ainsi s’ouvrir pleinement dans tous les niveaux de la conscience individuelle et profiter de l’augmentation du champ vibratoire de toute la Conscience Universelle.  Suite à cette fabuleuse « prise de Conscience collective » de plus en plus d’êtres s’unissent ensemble pour partager et fraterniser dans un grand élan d’amour planétaire. Cette connexion enrichissante s’intensifie alors, distribuant à chacun tout l’Amour dont il à besoin, pour guérir des blessures du cœur et de l’Âme dans toute leur innocence. Une purification salutaire acceptée et ressentie par tous, commence alors à prendre véritablement forme dans toute sa splendeur, aidant chacun à grandir vers la guérison. C’est ainsi que la nouvelle « Conscience Universelle » s’instaure, sur le cœur et les formes pensées de tous les êtres « ré-unit » ! Cet éveil collectif est une aspiration à la « vraie vie » qui passe par le réveil individuel de tous. En bref, toutes les lois naturelles, morales et cosmiques sont  contenues dans l’individuel comme dans l’universel.  En créant des tensions dans l’individuel, elles créent des tensions dans l’universel. En ré-harmonisant l’universel, elles créent l’harmonie individuelle. C’est tout « l’art de la réalisation du Soi » que le méditant de la Conscience Universelle propose en « changement », pour développer la culture de l’Amour Bienveillant, comme sujet de « développement spirituel » dans ce nouveau monde qui nait.

     

    Développement spirituel de la Conscience.

    C’est en développant son action sur « trois fronts simultanés » que le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres, des choses et de l’univers tout entier place principalement ses actions.

    1/ Il travaille à la recherche de la vraie nature du « soi »  avec honnêteté et dans un pur esprit d’innocence.

    2/ En répondant sincèrement à la nature des élans de son « cœur », il vérifie continuellement la véracité de son Amour.

    3/ En contrôlant son mental, il se détache progressivement de tous les liens qui entrave sa progression.

    Ainsi en œuvrant sur tous les niveaux de Conscience à son propre développement spirituel, il contribue aussi à celui des autres.

     

    La trinité des lois Individuelles et universelles :

    Les lois naturelles, les lois morales et les lois cosmiques sont la représentation de la totalité de la Conscience Universelle. En calquant son action individuelle sur cette trinité, le Méditant travaille dans le sens de cette trinité et devient en quelque sorte un reflet à la mesure de cette trinité. En agissant de cette manière, il grandit dans le moule et ne ressent donc aucunement la vie comme une dualité, mais bien comme une unité avec les trois plans naturel, moral et cosmique. Cette harmonisation est vécue bien à l’abri à l’intérieur même de sa propre Conscience Individuelle, sous le reflet harmonieux de la Conscience Universelle. Le centrage de l’une dans l’autre se réalise le plus naturellement du monde, puisqu’il n’y a pas de déviance. En bref, sans fard ni mensonge, centré dans le cœur et éclairé par la lumière de sa conscience individuelle, il marche en toute innocence avec confiance et sans peur, très loin de tout doute. Ainsi au centre de cette trinité, il est à l’abri de toutes formes d’orgueil, puisque le cœur ne pense pas. La fonction naturelle du cœur étant juste d’aimer. Il accepte essentiellement de répondre à cet Amour là ou il se trouve, sans prétention quelconque. L’Amour n’a pas d’exigence, il se suffit à lui-même. C’est un tel bonheur pour le méditant de la Conscience Universelle, que d’aimer tout simplement et sans retenue, juste en donnant ce qui lui est offert des mondes supérieurs, qu’il ne saurait décliner ce privilège. Refuser de donner cet Amour reste pour lui le pire des sacrilèges.  

     

    La première triade des « lois naturelles » : 

    Le « Soi », la  pensée et la discrimination sont la base matérielle du méditant. Cette trinité représente là ou il en est actuellement dans son évolution. Sa conscience individuelle matérielle reflète très exactement « qui il est » réellement. En bref, son corps est le reflet de son existence en pensées qui discrimine ou pas. Accepte t-il en totalité tous ses sentiments, yin yang et neutres ? Y’a-t-il dualité ou pas dans ses pensées, dans son corps, et dans son « soi » ? Le corps n’est en quelque sorte qu’une boîte dans laquelle il exprime ses pensées. Celles-ci sont, soit négative discriminante et dualitaire ou harmonieuse emplie d’unicité et de neutralité. Le « soi » du méditant n’est que l’habitant illusoire de cette boîte, qui guide son âme à travers l’expérience terrestre, dans une prise de conscience perpétuelle. Est-il plus ou moins englué dans cette expérience ou souhaite t-il transcender cette matérialité, pour s’ouvrir et comprendre d’autres niveaux de conscience ? Une ouverture d’esprit est-elle déjà réalisée ou en voie de réalisation ?

     

    La deuxième triade des « lois morales » :

    Les lois morales sont un tampon entre la réalité matérielle et la réalité cosmique. Ici la « vérité » prend toute sa mesure, parce qu’elle est très importante pour « pouvoir » passer de l’autre côté, c'est-à-dire du côté des lois cosmiques. C’est un SAS pour évaluer la réussite ou l’échec des passages importants concernant la transformation du méditant. C’est une manière douce de protéger son confort intérieur du monde extérieur, ou de protéger le monde extérieur contre son intériorité, suivant sa propre évolution. La vérité est-elle bien là ou il croit qu’elle se trouve. Sa propre moralité est-elle un appui sur lequel il peut construire et maintenir sa recherche de la vérité ? La vie est-elle un rêve ou est-ce le rêve qui est la vraie réalité. Pour ne pas se perdre dans cette démesure, l’être humain est protégé par les lois morales. Mais les lois morales sont aussi et surtout une vérification de « qui vous êtes ». Votre « soi » matériel illusoire (qui vous êtes dans la vie) correspond t-il en profondeur avec votre « soi » spirituel (celui qui restera après la mort).  Épreuve de vérité ultime avant le passage dans la triade supérieure, celle qui demande d’être pure en son cœur !

     

    La troisième triade des « lois cosmiques » :

    Les lois cosmiques sont le but à atteindre, la pureté qui retourne à la pureté, pour se dissoudre totalement dans l’absolue. Ici seul demeurent les degrés de pureté qui sont vraiment réalisés. C’est le passage entre le vrai et le faux de l’existence, le passage entre l’intuition et la vision direct, le passage entre l’être et le non-être.  C’est le reflet de la vérité dans toute sa pureté. Êtes-vous aspiré par une activité spirituelle importante ou pas ? A quelle degrés cette activité est t-elle développée ? Etes-vous disponible pour le Plan Divin, pour manifester des actions de Pure Conscience et œuvrer dans des plans d’envergures pour l’humanité ? Parce que là exactement, vous travaillez en toute conscience au service d’êtres exceptionnels, vous collaborer avec des êtres de lumières, et vous édifier avec le Plan Divin la construction d’autres mondes. Dans cette triade, vous devez transcendez pratiquement tous les niveaux de Conscience et dépassé toutes les formes de méchanceté, d’égoïsme, de confusion mentale, de jalousie, de colère et d’orgueil. Vous devez être prêt à tout moment, à aider tous les êtres à comprendre ou ils en sont, à les aimer coûte que coûte, et parfois à retourner contre eux les armes qu’ils déploient contre la société, afin d’endiguer et garroter certaines pratiques immorales. 

     

    Devenir un Serviteur du Monde divin :

    En acceptant de devenir un serviteur  pour tous ceux qui ont besoin d’Amour et de Compassion, vous œuvrez pour le Plan Divin et  vous devenez un « porteur de lumière » qui éclaire le monde. Ce don de « Soi » vous place dans la ligné de la trinité et vous fait bénéficier d’avancement rapide dans la voie.  Le flot de l’Amour circule largement à travers tout votre être, installe  progressivement votre épanouissement spirituel personnel  et bloque la porte à toute pensée et acte négatif. En ouvrant votre cœur complètement pour laisser passer l’Amour, vous créez un pont entre le Divin et le Matériel et ce « SAS » peut rester ouvert grâce à vous.  

     

    Tout en sachant que :

     

    L’assemblage entre tous les intervenants, Maîtres de Sagesses, êtres de lumières, et tous les méditants concernés, avec également notre belle planète « Terre » est amorcée depuis déjà quelques mois. Simplement, devons-nous ne pas confondre toutes les initiatives qui sont apportées par un très grand nombre de diversités pleines de bonnes intentions. Nous devons juste nous respecter mutuellement et favoriser l’échange de flux positif qui est très largement déployé. Nous sommes tous à juste titre, très impliqué dans des actions pour soutenir et aider à la reconstruction d’une civilisation très éprouvée et en bout de course. Il y a donc de la place pour toutes les énergies positives et collectives qui se créent. Chacun est libre d’y participer ou de montrer son intérêt dans ce sens.

     

    Sujet de la méditation

     

    Ou qu’il soit sur la planète terre, le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres, des choses, et de l’Univers tout entier, prend pleinement Conscience qu’il fait partie intégrante du « Changement ». Avec un profond respect envers chaque « être » et une grande compréhension de la race humaine, il se dévoue avec compassion et tout l’Amour qui brille dans son cœur, à redresser l’esprit général de la collectivité. Que se soit dans cette méditation ou dans son action quotidienne, le méditant favorise continuellement cette démonstration bienveillante envers tous les êtres, sans rien attendre en retours. Cette ouverture d’esprit fondée sur la vérité absolue, sur la justice pour tous, actionne en lui une réceptivité maximum. En souhaitant l’égalité pour tous, il actionne le joyau le plus précieux qui soit, la fraternité des êtres entre eux.  Cette coopération exemplaire et capitale est un partage universel qui nivelle tous les niveaux de Conscience. A savoir que tout le monde recevra une rétribution de cette action d’une manière ou d’une autre.

     

    Réfléchir sur :

     

    Que représentent pour vous la Conscience Individuelle et la Conscience Universelle? Souhaitez-vous instaurer un monde plus juste et plus respectueux des égalités ? Le monde actuel véhicule beaucoup de souffrances et d’agressivité partout sur la planète. Les comprenez-vous ? Ou vous situez-vous personnellement par rapport à ces constatations ? Souhaitez-vous changer profondément la société ou/et votre manière personnelle de réagir ? Etes-vous déjà impliqué depuis longtemps dans des mesures drastiques pour changer votre mode de fonctionnement ? Souhaitez-vous participer pleinement à l’édification de ce nouveau monde que tout le monde espère ? Êtes-vous prêt pour ce réveil collectif ?

     

     Préparation de 30 minutes juste avant la méditation

     Au choix :

     

    • Penser à quelqu’un que vous aimez d’un Amour non porteur de souffrance. Celui de l’amour d’une mère pour son enfant est vraiment « bien » pour autant qu’il ne soit pas trop possessif.
    • Prier ou lire des versets de textes sacrés pour vous imprégner avec l’Amour Inconditionnel et la Bienveillance.
    • Ecouter une musique de relaxation pour calmer votre intériorité et laisser votre Amour s’exprimer naturellement.

     

    Méditation de 30 minutes :

     

    Cette méditation est la même que le mois dernier, une méditation sur 8 points.

     

    1. Elle est très simple à mettre en place parce qu’elle tient compte de la spatialité et de l’Universalité.
    2. Même les plus débutants peuvent participer facilement.
    3. Pour débuter cette pratique « bien centré dans le cœur », laissez vos sentiments s’exprimer et « être » du début jusqu’à la fin. Vous pouvez « prier » ou « penser » à cette vie, à cette terre ou à l’univers que vous aimez, ou « écouter » la vibration de votre cœur qui aime naturellement.
    4. Premièrement, le méditant étend sa Compassion et son Amour Inconditionnel pour tous les êtres, dans les quatre directions principales que sont l’est, l’ouest, le sud et le nord.
    5. Ensuite il continue sa progression vers les quatre directions intermédiaires, que sont le sud-est, le nord-ouest, le nord-est et le sud-ouest.
    6. En agissant ainsi, le méditant s’unit par le cœur et avec sa pensée créatrice, avec tous les autres méditants de la Conscience Universelle ainsi que la planète « terre ».
    7. Cette réunion faite de Compassion et d’Amour nous relie tous ensemble les uns avec les autres tout autour de la terre, dans un seul et unique « Cœur créateur ».
    8. Nous brillons tous ensemble comme mille soleils d’un amour complètement purifié et en harmonie avec la terre et tout l’univers.
    9. Le méditant doit bien rester centrer dans son cœur et sentir celui-ci battre à l’unisson avec tous les autres cœurs de l’univers. Cette « observation » attentive crée l’équilibre Âme/Cœur/Corps pour un centrage parfait.
    10. N’essayez pas d’être trop grand ou de partir dans tous les sens, l’important est de rester « centré » dans votre cœur. Votre brillance trouvera les autres brillances « symbole » de la vibration harmonieuse du « AUM » sacré.
    11. L’Amour est une mélodie qui vibre au « son » de l’harmonie. C’est la douce note du « AUM » sacré qui vibre au rythme de l’Univers, en résonance avec votre propre mélodie intérieure. Alors « lâchez-vous, c’est le moment » !!

     

    Quand vous atteignez cette belle « spatialité universelle d’Amour » au rythme du « AUM » sacré, vous pouvez demeurer dans cet espace aussi longtemps que vous le souhaitez.

     


     

    Très bonne méditation et au mois prochain.

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

    Module apprentissage de la charte d’éthique (Décembre 2014)

     

     

     

    Charte d'Ethique décembre 2014

     

     

    Le Maitriyo est un code moral de conduite personnelle et de base spirituelle pour toute personne qui s’engage sur la Voie de l’Amour Fraternel. Que ce soit par adhésion à cette éthique ou tout simplement pour évoluer en conscience, ou encore pour solidifier une pratique spirituelle,  le « Maitriyo » est une référence incontournable.

     

    Cette charte d’éthique  comporte 19 vertus morales à développer, que chaque adhérent est tenu d’observer dans sa pratique quotidienne.  Tous les membres qui adhèrent, s’engagent à respecter ce code comme éthique, en famille, avec leurs amis, et dans tous leurs rapports de vie. Ils doivent faire preuve d’Amour Fraternel envers toutes les races, toutes les ethnies, et toutes les religions, sans discrimination, dans le respect, la joie et la bonne humeur.

     

    Le Maitriyo est perpétué par tous les êtres qui développent des qualités fraternelles, par les adhérents et toutes les personnes désireuses d’avancer sur la  voie de l’Amour Fraternel et de la Paix. Chaque personne qui adhère à ce code devient un ambassadeur du Maitriyo et porte « le bracelet de distinction » en signe d’adhésion.

     

    Code moral du Maitriyo 

     

    1/ L’Amour Fraternel est le plus pur des sentiments humains

    2/ La bienveillance  est la richesse du cœur

    3/ La bonté se dévoue pour être généreuse

    4/ La convivialité sereine est un partage harmonieux

    5/ La sincérité affectueuse exprime ses sentiments sans artifice

    6/ La confiance mutuelle est une conquête de chaque instant

    7/ La politesse est une vallée respectueuse et impartiale

    8/ L’aide et l’entraide s’aident entre elles

    9/ La tolérance est une conquête sur « soi »

    10/ L’égalité des chances est une chance d’égaliser

    11/ La solidarité est l’unité qui fait la force

    12/ La moralité se construit sur l’exemple

    13/ La compréhension est une prise de conscience effectuée en douceur

    14/ La patience prend son temps

    15/ La liberté n’a pas de maître

    16/ L’honneur est une distinction qui cache bien ses trésors

    17/ La méditation cherche son âme dans les profondeurs intérieures

    18/ L’humilité est un écrin de douceur pour l’âme

    19/ L’espoir apaisant réunit chemin et but dans l’instant présent

     

     

    Développement de la septième vertu

     

     

    Charte d'Ethique décembre 2014

     

     

    7/ La politesse est une vallée respectueuse et impartiale

     

     

    Le respect est un sentiment de considération, d’égards, ou de vénération que l’on montre envers tous les autres êtres sensibles. Cela se manifeste par une attitude qui consiste à ne porter atteinte à personne. C’est considérer les autres et les traiter en conséquence, avec une véritable bonne intention. Ce respect est le fondement de la paix sociale et des relations interpersonnelles. Cette valeur éthique fondamentale est le piédestal de la politesse puisse qu’elle place tous les êtres  sur un même plateau, celui de l’estime de « soi ».

     

    L’impartialité est juste et équitable en tous points et en toutes circonstances. Elle ne favorise pas une chose plutôt qu’une autre,  elle est objective, et conserve son intégrité.  Elle sait faire preuve de détachement pour comprendre et discerner les êtres sans porter de jugements préconçus.

     

    La politesse est un ensemble de règles et de courtoisies entre les êtres d’un groupe, instaurant un code de bonne éducation et de bienséance. Ses bonnes manières sont écrites et recueillies dans un manuel de savoir vivre.

     

    Le respect et l’impartialité sont des bases fondamentales sur lesquelles la politesse peut afficher une identité commune sécurisante pour tous. Avoir les mêmes fondations fraternelles et universelles rapproche les êtres entre eux. Chacun à droit à un respect minimum. L’impartialité devient garante de ce fondement. Être unit et ensemble quoi qu’il arrive est un gage précieux. Le sentiment commun d’égalité est la première règle qui est posée. Le respect du sacré en « soi » est le premier devoir d’un Maitriyo, sa toute première civilité à l’égard des autres, autant que de lui-même.  La force de cette identité humaine sacrée est très puissante.

     

    Le contraire de la politesse respectueuse impartiale est l’incivilité irrespectueuse et fanatique,

    Mais cela peut-être aussi les grossièretés cyniques, les vulgarités arrogantes, les défis insolents, les désinvoltures désobéissantes, les partis- pris et autres mufleries dédaigneuses, la vulgarité partiale, la transgression effrontée ainsi que toutes les manifestations de moqueries désobligeantes.

     

     
    Très bon travail

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

      

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice philosophique/symbolique (Décembre 2014)

     

     

    Symbolique Décembre 2014

     

     

    Symbolique de Ciel

    Brahman signifie spirituel. Le ciel est une représentation divine de ce qui nous élève et nous unis tous ensemble. Le ciel nous relie à la terre qui nous relie au ciel.

     

    Le ciel est un symbole quasi-universel par lequel s’exprime la croyance en un Être divin céleste, créateur de l’univers et garant de la fécondité de la terre (grâce aux pluies qu’il déverse). De tels êtres sont doués d’une préscience et d’une sagesse infinies ; les lois morales et souvent les rituels du clan ont été instaurés par eux pendant leur bref séjour sur la terre ; ils veillent à l’observance des lois et l’éclair foudroie celui qui les enfreint.

     

    Le ciel est une manifestation directe de la transcendance, de la puissance, de la pérennité, de la sacralité ; ce que nul vivant de la terre ne peut atteindre. Le seul fait d’être élevé, de se trouver en haut, équivaut à être puissant (au sens religieux du mot) et à être comme tel saturé de sacralité….La transcendance divine se révèle directement dans l’inaccessibilité, l’infinité, l’éternité et la force créatrice du ciel (la pluie).  Le mode d’être céleste est une hiérophanie inépuisable. Par suite, tout ce qui se passe dans les espaces sidéraux et dans les régions supérieures de l’atmosphère – la révolution rythmique des astres, la poursuite des nuages, les tempêtes, la foudre, les météores, l’arc en ciel – sont des moments de cette même hiérophanie.

     

    En tant que régulateur de l’ordre cosmique, le ciel à été considéré comme le père des rois et des maîtres de la terre. En Chine, l’empereur sera fils du ciel. Le passage de la transcendance à la souveraineté forme un ensemble classique, ciel – dieu créateur – souverain, qui a pour correspondant l’ensemble non moins classique : empire – fils de Dieu – bienfaiteur – roi. La hiérarchie terrestre s’organise sur le modèle de la hiérarchie céleste : le haut devient le maître ; le dispensateur de biens s’arroge le droit de dominer. Servir devient asservir. On connait l’inscription du sceau de Genghis Khan : Un Dieu au ciel et le Khan sur la terre. Le sceau du Maître de la terre. Le schéma se renversera dans l’histoire, suivant un processus de perversion qu’ont connu tous les symboles ; le maître sera appelé bienfaiteur, même s’il ruine les autres ; père, même s’il tue ; céleste, même s’il rampe dans le vice. Mais cette corruption du symbole n’ôte rien à sa force originelle.

     

    Le ciel est le symbole complexe de l’ordre sacré de l’univers, qu’il révèle par le mouvement circulaire et régulier des astres et qu’il cache en suggérant seulement l’idée d’ordres supérieurs au monde physique, invisibles, l’ordre transcendant du divin et l’ordre immanent de l’humain.

     

    Le ciel est souvent figuré par une cloche, une coupe renversée, une coupole, un dais, un parasol, une ombrelle, une colombe, un parapluie pivotant sur son axe, ou par le cœur de l’homme.

     

    Le ciel est universellement le symbole des puissances supérieures à l’homme, bienveillantes ou redoutables : le caractère chinois t’ien (ciel) représente ce que l’homme a au-dessus de sa tête. C’est l’insondable immensité, la sphère des rythmes universels, celle des grands luminaires, l’origine donc de la lumière, le gardien peut-être aussi de la destinée. Le ciel est le séjour des Divinités ; il désigne parfois la Puissance divine elle-même. Il est aussi le séjour des Bienheureux. On considère souvent sept (ou neuf) cieux ; ainsi du Bouddhisme à l’Islam et de Dante à la Chine. Il s’agit manifestement alors d’une hiérarchie d’états spirituels qui seront gravis un par un.

     

    Sous un autre aspect, le Ciel est, avec la Terre le résultat de la polarisation première, la moitié supérieure le l’Œuf du Monde. Tel il apparait, en particulier, dans la Chândogya Upanishad et dans l’architecture hindoue. Même quand ce symbole n’est pas exprimé avec précision, la notion d’un lien primitif entre le ciel et la terre, qui fut ultérieurement rompu, est presque universelle. La polarité s’exprime avec une netteté particulière en Chine : le Ciel est le principe actif, masculin, s’opposant à la Terre, passive et féminine. Ciel en action, puissance suprême, dit le Yi-king à propos de l’hexagramme céleste t’ien. Le Ciel n’est donc pas le principe suprême, mais le pôle positif de sa manifestation : le Ciel est l’instrument du Principe, écris Tchouang-Tseu ; le Principe est le Faîte du Ciel (T’ien-ki). 

     

    Par l’action du Ciel sur la Terre, tous les êtres se produisent. La pénétration de la Terre par le Ciel est donc envisagée comme une union sexuelle. Le produit en est soit l’homme, fils du Ciel et de la Terre, soit, dans le symbolisme particulier à l’alchimie interne, l’embryon de l’Immortel. Le mythe du mariage du Ciel et de la Terre s’étend de l’Asie à l’Amérique en passant par la Grèce, l’Egypte, et l’Afrique noire. L’expression fils de Ciel et de la Terre appartient aux mystères orphiques, ainsi qu’aux livres chinois. Le véritable fils du Ciel et de la Terre, celui dont le Yi-king dit qu’il est leur égal et que, par sa suite il n’est pas en opposition avec eux, c’est l’homme véritable et positivement, l’empereur : lez caractère wang qui le désigne, exprime exactement cette médiation, dont on trouve aussi mention dans la table d’Emeraude hermétique (il monte de la Terre au Ciel et redescend du Ciel en Terre…)

     

    L’alchimie chinoise, avons-nous noté, transfère le Ciel à l’intérieur du microcosme humain. Bien que d’une manière différente, il arrive à l’ésotérisme islamique d’en faire autant : le Ciel, écrit Abû Ya’qûb, est à l’intérieur de l’âme, et non l’inverse. C’est la raison pour laquelle l’homme lit les choses utiles dans le ciel. Nous avons ici une motivation spirituelle de l’astrologie digne d’intérêt.

     

    Contrairement à la tradition chinoise, le ciel en Egypte est un principe féminin, source de toute manifestation. En Egypte ancienne, en effet, c’est la déesse Nout, courbée en forme de voûte, qui figure le ciel. Un relief d’un sarcophage de la XXXe dynastie la représente inclinée en forme de portique roman, les mains touchant le sol à l’Orient, les pieds à l’Occident. A l’intérieur du portique se dessine une mappemonde, avec divers pays de la terre, le séjour souterrain des dieux inférieurs et un soleil irradiant. Cette déesse enveloppe dans sa courbe semi-circulaire, parcourue par le soleil, le cosmos tout entier avec ses trois niveaux. Personnifiant l’espace céleste qui englobe l’univers, Nout est appelée la mère des dieux et des hommes. Son image est gravée sur maints sarcophages ; un papyrus du Louvre la décrit, s’exprimant pour un défunt, comme une mère pleine de tendresse. Ta mère Nout t’a reçu en paix. Elle place ses deux bras derrière ta tête chaque jour ; elle te protège dans le cercueil ; elle te sauvegarde dans la montagne funéraire ; elle fait ses protections sur tes chairs excellemment ; elle se fait toute protection pour la vie et toute intégrité de santé. On la représente aussi dans un sycomore versant aux âmes l’eau céleste qui les renouvelle. Elle est censée avoir épousé la terre, le dieu Geb, et, supérieures aux étoiles et aux planètes, avoir donné naissance au soleil, le dieu Rê : le ciel a épousé la terre et le dieu Rê ; le ciel à épousé la terre et le soleil est né.

     

    Dans la tradition biblique, le ciel est identifié à la divinité, chroniqueurs et prophètes évitant systématiquement l’emploi du nom divin. Ainsi le Ciel remplace l’expression Dieu du ciel, qui était une désignation courante à l’époque perse. On lit par exemple dans I Macchabées : Le ciel nous garde d’abandonner loi et observances. Plus loin, dans II Macchabées : l’écrivain sacré attribue également au ciel les attentions particulières à Yahvé.

     

    Dans le Nouveau Testament, l’expression Royaume des cieux, propre à l’Evangile le plus judaïsant, celui de Matthieu, répondra à la préoccupation juive de remplacer le Nom redoutable par une métaphore (Note B.J sur Matth.3, 2 : Royaume des cieux est tout proche). L’expression est répétée plus loin, 4 17, manifestant que : la Royauté de Dieu sur le peuple élu, et par lui sur le monde, est au centre de la prédication de Jésus.

     

    Dans l’Apocalypse, le ciel est la demeure de Dieu, mode symbolique pour désigner la distinction du Créateur et de sa créature. Le ciel entre alors dans un système de relation entre Dieu et les hommes. Que ces relations changent, après l’incarnation rédemptrice par exemple, le système change complètement et l’on peut parler d’un ciel nouveau. C’est ainsi que l’auteur de l’apocalypse peut s’écrier : …Je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle – le premier ciel, en effet, et la première terre ont disparu…Et je vis la Cité sainte Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu…Voici que je fais l’univers nouveau. Le nouveau ciel symbolise ici le renouvellement universel, qui inaugure l’ère messianique. Les rapports de la création avec son Dieu sont entièrement transformés.

     

    Le ciel ne joue pas de rôle déterminant dans la symbolique celtique, qui n’y place pas le siège ou la résidence des dieux. Les langues modernes distinguent bien le ciel religieux du ciel atmosphérique, mais on n’a aucune preuve d’une telle distinction pour l’époque celtique préchrétienne où, à vrai dire, elle n’était pas nécessaire. Le ciel atmosphérique semble avoir été compris en général comme une voûte : c’est ainsi qu’on peut expliquer la crainte des Gaulois que le ciel ne leur tombe sur la tête, ou encore le serment irlandais par les éléments.

     

    A l’époque historique (environ 1000 ans avant J.-C.) les Mexicains croient à neuf cieux, symbolisés dans l’architecture sacrée par les neufs étages de leurs pyramides. Ils croient également à neuf mondes inférieurs. Les Aztèques remplacèrent cette cosmologie à étages par un système de couches et distinguèrent treize cieux et neufs mondes inférieurs.

     

    Douze cieux chez les Algonquins, chacun d’eux étant habité par un Manitou, et le douzième par le Créateur, puissance suprême, Grand Manitou.

     

    Les treize cieux des Aztèques, selon l’Historia de los Mexicanos por sus pinturas cité par Soustelle (SOUM), avaient les caractéristiques suivantes :

    1/ pays des étoiles ;

    2/ Pays des Tzitzimime, monstres à l’aspect squelettique, qui se déchaineront sur le monde lorsque le soleil périra ;

    3/ Pays des 400 gardiens des cieux ;

    4/ Pays des oiseaux qui descendent sur terre (sans doute les âmes des élus) ;

    5/ Pays des serpents de feu, météores, et comètes ;

    6/ Pays des quatre vents ;

    7/ Pays de la poussière ( ?) ;

    8/ Pays des dieux ;

    Les cieux 9 à 13 sont habités par les Grands Dieux, le soleil résident dans le 12e, les puissances nocturnes dans le 10; le couple divin primordial réside au 13 e et dernier. Le 13e est également le pays d’où viennent les enfants et où retournent les enfants mort-nés. Il y existe un arbre de lait (SOUM).

     

    Sept cieux s’étagent chez les Bambaras :

    - Le premier ciel est impure ;

    - Le deuxième, frais, partiellement purifié, est le pays des âmes des hommes et des animaux ;

    - Le troisième, ciel noir, est le lieu de repos des génies, intermédiaires entre les dieux et les hommes ;

    - Le quatrième ciel est le miroir des trois premiers. Le démiurge Faro, maître de l’eau et du verbe, responsable de l’organisation du monde dans sa forme actuelle, y tient sa comptabilité : il suit dans son miroir les faits et gestes de sa création ;

    - Le cinquième ciel est rouge. C’est le ciel de la justice divine, ou Faro édicte ses sentences à l’égard des hommes qui ont enfreint des interdits. C’est aussi le ciel de la guerre et des combats. Il est le pays du sang, du feu, des vents, chauds et nuisibles. Les Bambaras lui offraient des sacrifices propitiatoires avant d’entreprendre une guerre. Le 5e ciel – pays de la sécheresse – est habité par des génies qui tentent d’arrêter la chute de ses eaux ; ils sont combattus par les génies Kwore, cavaliers montant des coursiers ailés, qui habitent le 3e ciel. L’éclair, le tonnerre, la foudre résultent de ces combats ;

    - Le sixième ciel est celui du sommeil. Les secrets du monde y sont conservés. Les âmes des hommes et des génies vont s’y purifier, pour recevoir en songe, les instructions du dieu faro ;

    - Le septième ciel est le royaume du dieu faro, et le réservoir des eaux qu’il dispense à la terre, sous forme de pluies fécondantes et purificatrices.

     

    Il y a tantôt sept, tantôt neuf cieux dans l’image du monde des peuples ouralo-altaïques. Ces différentes couches célestes sont figurées par autant d’encoches sur le pieu, ou le bouleau sacré par lequel le chaman matérialise les étapes successives de son ascension. On parle parfois en maints endroits de ciel à douze, seize, voir dix-sept couches (d’après Katanov et Radloff). L’étoile polaire joue un rôle particulier dans cette organisation céleste. Selon Anokhin, elle constitue le cinquième obstacle de l’ascension chamanique et correspond en conséquence au cinquième ciel ; selon Bogoraz, les Tchoukche se figure que l’ouverture du ciel par laquelle on peut passer d’un monde à l’autre se trouve près de l’étoile polaire. Tous les mondes, ajoute Bogoraz, sont reliés entre eux par des ouvertures situés près de l’Etoile polaire. Les chamans et les esprits les utilisent dans leurs courses d’un monde à l’autre. Les héros de diverses légendes, à cheval sur un aigle ou un oiseau des tempêtes, peuvent également les traverser.

     

    Les Tatars de l’Altaï et les Teleoutes placent la lune dans le sixième ciel et le soleil dans le septième.

     

    Les mêmes populations situent le troisième ciel le Paradis des Bienheureux, demeure de Jajyk-Khan, le Prince du Déluge, divinité protectrice des hommes et médiatrice entre ceux-ci et le dieu suprême. Du troisième ciel également proviennent les âmes des enfants à naître, que Jajyk envoie sur la terre.

     

    Le livre Ouïgour Koudatkou Bilik, écris vers1069, place les sept astres dans l’ordre suivant en commençant par le ciel supérieur : Saturne, Jupiter, Mars, Soleil, Vénus, Mercure et Lune. Cette disposition est celle qui a toujours été adoptée par les astrologues et occultistes européens.

     

    Selon Uno Harva la disposition du ciel en neuf couches serait incontestablement une idée plus récente que sa disposition en sept couches, non seulement chez les peuples de la famille turque, mais aussi chez les autres peuples asiatiques où l’on rencontre cette représentation. Cet auteur poursuit ainsi : les derniers adorateurs de Mithra commencèrent par parler de neuf ciels à l’époque de Julien l’Apostat. C’est d’après neuf cercles stellaires que les Sabéens avaient organisés leur clergé du temple. Les neufs planètes, qui correspondent chacune à un métal et qui sont mentionnées dans le recueil juridique hindou Yaajnavalkya, sont expliqué par Bousset comme étant d’origine persane tardive.

     

    Dans le Paradis dantesque on compte, outre les sept cercles planétaires, au-dessus d’eux : huitième, le ciel des étoiles fixes, et neuvièmement, le primum mobile.  L’idée des neuf ciels s’est répandue au moyen Age jusque dans les pays nordiques et elle a laissé des traces dans les formules magiques finnoises.

     

    Le ciel est aussi un symbole de la Conscience.

     

    Le mot est fréquemment employé pour signifier l’absolu des aspirations de l’homme, comme la plénitude de la quête, comme le lieu possible d’une perfection de son esprit, comme si le ciel était l’esprit du monde… On comprend que la foudre – déchirure éclatante du ciel – ait été propre à symboliser cette ouverture de l’esprit qu’est la prise de Conscience.

     

    (Dictionnaire des symboles-Robert Laffont)


     

    Exercice pratique

     

    Cet exercice est un travail philosophique pour ouvrir votre réflexion sur votre relation avec la Divinité. C’est un entrainement pour vous « observer » vous-même.  Pour « observer » votre environnement intérieur et extérieur, pour vous défaire des contraintes et prendre conscience de certaines corrélations qui existe entre vous, les autres et le spirituel. Tout est lié.

     

    L’exercice consiste à faire une retranscription d’au moins une page sur le regard que vous avez sur vous-même, sur votre mode de penser et votre mode de fonctionnement personnel. Ici les fautes d’orthographes, de français et de grammaire, n’ont aucune importance, puisque seul demeure l’expérience de l’élève et de son cheminement personnel. Ce n’est pas un exercice intellectuel, mais un exercice pour faire connaissance avec son « soi ». Soyez vrai, droit et sincère avec vous-même, avec votre cœur, avec vos pensées, et dans vos écris. N’essayez pas de mentir, de minimiser, ou d’augmenter, juste d’être vous-même, juste de vous accepter tel que vous êtes, pour vous donner la possibilité de vous découvrir en profondeur. Une retranscription simple et véridique, de « qui vous êtes » et « ou vous en êtes » aujourd’hui. Ce travail vous aide à faire « connaissance » avec vous, avec les autres, et avec le monde qui vous entoure. Grâce à cette réalisation, vous pourrez aborder « là ou vous en êtes » en toute sérénité et avancer avec un « plan de restructuration » en fonction des découvertes que vous observerez.

     

    Voici les questions:

     

    1/ Que représente pour vous la symbolique du ciel et de la terre ? Quelle est votre relation avec la terre et avec le ciel ? Y’a-t-il une corrélation entre eux ? Concrètement, que pouvez-vous expliquer sur  votre aspect matériel et sur votre aspect spirituel ? Quelles relations entretenez-vous avec la Divinité ? Quelle place accordez-vous au Divin dans votre vie en général? Combien de temps en heure et par semaine, passez-vous avec ou auprès du Divin ? Priez-vous ? Pourquoi ? Cela a-t-il un bon impact sur vous et sur votre entourage ? Pensez-vous que la religion est une philosophie, ou un état d’esprit ou encore quelque chose dont vous devez « prendre conscience » ? Pourquoi ? Souhaitez-vous cultivez une part de Divinité en vous et quels sont les moyens que vous utilisez pour mettre cette culture en place ? 

     

    2/ Pensez-vous que votre vie personnelle est plutôt vécue sous l’influence d’un karma ou plutôt sous l’influence d’un dharma ? Pensez-vous que  votre lien avec la Divinité ait un effet purificateur sur vous, sur les autres et sur votre environnement ? S’il n’existe pas de lien, pensez-vous que cela changerait votre vie, si vous faisiez une démarche dans ce sens ?

     

    3/ Pensez-vous avoir de la « chance », avoir eu des protections, et des événements inexplicables dans votre vie ? Quand et Lesquelles ? Ou pensez-vous plutôt n’avoir pas de chance, pas de soutien, pas d’aide, pas de compréhension de la part de votre famille, de vos amis et de votre entourage ?

     

    4/ Maintenant, observez votre fonctionnement avec les autres, et reprenez toutes ces questions et voyez de quelle manière vous avez « aidez » votre entourage. Porter-vous « chance » aux autres ? Les encouragez-vous à aller vers le positif, ou plutôt le contraire ? Quel regard avez-vous sur les personnes qui ont un lien Divin ? Acceptez-vous les liens avec la divinité qui sont différents des vôtres ? En bref, que représentent les autres religions pour vous ? 

     

    5/ Pensez-vous que tous les chemins qui conduisent vers le Divin amènent tous à la même conclusion ? Pensez-vous que la Divinité soit représentative de l’unité et une marque d’unité entre vous et les autres ? Selon vous, qu’est-ce qui favorise le plus votre épanouissement personnel et celui des autres ? Développez l’argumentation générale de cette  cinquième partie.

     

    Conclusion :

     

    Le ciel est une représentation de la divinité. C’est une allégorie à la sacralité, à la foi des êtres sensibles, aux religions, et à la philosophie spirituelle. Le ciel est semblable à une échelle graduée qui nous permet de pénétrer dans les mondes célestes et de transcender la matérialité. Grandir afin de s’élever à travers les grades pour obtenir des avantages, des dons, des bannières et des biens suivant notre ascension personnelle. Le but ultime était la libération, même si les récompenses antérieures sont aussi appréciées au moment où elles arrivent sur le chemin du pèlerin. Le ciel est un vaste domaine où la sagesse à toute sa place.

     

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯¸.•°*”˜”*°•. 

     

     

    Que la philosophie dégagée par les symboliques éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière.

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice de prière (décembre 2014)

     

     

     

     

    L’eau est primordiale à notre survie

     

    La prière nous relie d’une certaine manière aux quatre éléments que sont l’eau, la terre, l’air et le feu. Nos prières sont transportées au travers des quatre éléments grâce à nos actions répétées. Elles se solidifient avec l’élément terre, nourrissent l’amour avec l’élément eau, s’élèvent vers le ciel avec l’élément feu et se transforme avec l’élément air.

     

    Ce mois-ci, nous allons commencer par l’eau qui est à la fois source de vie, moyen de purification et centre de régénérescence. Apprendre à avoir une bonne relation avec l’eau est un savoir ancestral. La prière et l’eau sont très liantes.  Elles sont à la fois élément de baptême de l’origine à la manifestation, élément d’assainissement, de guérison, d’édification et symbole de fertilité matérielle ou spirituelle. Elles incarnent la pureté, la sagesse, la grâce et la vertu.

     

    Vous pouvez demander à l’eau, des guérissons, des purifications et des bénédictions.  

     

    Rituel de l’eau

     

    Si vous souhaitez vous guérir ou participer à la guérison de quelqu’un, purifier votre cœur ou participer à la purification de quelqu’un, ou vous bénir ou participer à la bénédiction de quelqu’un, voici le rituel.

     

    1/ Ecrivez votre prière et votre vœux sur un joli papier, avec votre plus belle écriture. 

    2/ Prenez une coupelle et mettez-y de l’eau de source. Faites le signe de la croix au-dessus en partant du haut et en disant :

     

     (En haut)Je te bénis source de vie,

    (En bas) Toi qui es pure et éternelle,

    (A gauche) Toi qui es amour et fluidité,

    (A droite) Toi qui enlève tous les obstacles.

    (Joignez vos deux mains au niveau du cœur) Merci de ta générosité.

     

    3/ Placez votre prière dans la coupelle pendant, 3 jours et 3 nuits. Puis retirez là de la coupelle, enterrez là et versez délicatement l’eau dans la terre, en la remerciant aussi. Votre prière appartient à l’eau et à la terre.

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜¯`(*◠‿◠✿)

     

     

     Exercice du mois

     

     

    Récitez cette prière tous les matins et tous les soirs pendant 1 mois et voyez ce qui change dans votre vie.

     

     

     

    Prière de l’eau sacrée

     

     

    prière de l'eau sacrée

     

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu rempli la coupe de mon corps

    Comme une substance précieuse et pure

    Tu es la source de toute vie

    Bénie sois tu à la fois purificatrice et régénérescente.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu rempli mon cœur d’émotions

    Comme une promesse de bonheur intense

    Tu es la source bienfaisante

    Bénis sois-tu à la fois salvatrice et vivifiante.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu rempli la coquille de mon âme

    Comme un océan sans rivage

    Tu es le bain, le baptême et l’initiation

    Bénis sois-tu à la fois substance et manifestation.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es la fontaine de jouvence de tous les êtres sensibles

    Comme tes actions fluides, homogènes et enveloppantes

    Tu es soumise à la puissance cosmique

    Bénis sois-tu à la fois fertile et pure.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es l’élément principal de mon corps sous tous les plans

    Comme l’eau primordiale et universelle

    Tu es le breuvage saint de l’immortalité

    Bénis sois-tu à la fois simple boisson et  nectar divin.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es la représentation de la liberté sans attache

    Comme la mesure de la connaissance suprême

    Tu es l’aspersion et l’ablution immaculée

    Bénis sois-tu à la fois rédemptrice et émancipatrice.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es eaux claires, fontaines, rivières, étangs, océans et pluies du ciel

    Comme une toilette physique ou rituelle

    Tu es l’abondance et l’opulence virginales

    Bénis sois-tu à la fois abyssale et eaux ignées.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es le symbole des vœux et des engagements

    Comme une promesse d’évolution et d’achèvement

    Tu es la beauté et la vérité clarifiées

    Bénis sois-tu à la fois connaissance et richesse suprême.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es le pouvoir de l’amour et des émerveillements

    Comme un serment de satisfaction qui renouvelle les êtres

     Tu es l’abreuvoir de la croissance

    Bénis sois-tu à la fois pure offrande et bénédiction.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es l’hospitalité des rencontres fertiles

    Comme une oasis de paix et de lumière

    Tu es le tremplin de la création

    Bénis sois-tu à la fois terrestre et divine.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es Ondines Sirènes et Maître de l’eau vive

    Comme une renaissance saine et tonique

    Tu es la guérison spontanée et inespérée

    Bénis sois-tu à la fois miraculeuse et sacrée.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es les eaux calmes et sécurisantes

    Comme un baume sur les plaies béantes

    Tu es la douceur caressante et apaisante

    Bénis sois-tu à la fois prière et révélation.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es la liberté jaillissante

    Comme un trop plein débordant de joie

    Tu es la vie fécondante

    Bénis sois-tu à la fois graine et germination.

     

    Toi l’eau cristalline, gracieuse et ondoyante

    Tu es chargée de vertus mystérieuses

    Comme une fleur adamantine invisible

    Tu es le miracle subtil

    Bénis sois-tu à la fois inconsciente et sublimée.

     

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜¯`(*◠‿◠✿)

     

     

    Que la foi grandisse dans votre cœur

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Mahamaitri le PLAN en action

     

    Notre mutation grâce aux 7 plans

      

    Action 1 : L’Amour Universel et la conscience

    Soyez joyeux que les autres soient heureux, même s’ils ne le sont pas encore, ils le deviendront, parce que vous créez ce bonheur pour eux. Comme un sillon dans la Conscience Universelle, ils viendront tout naturellement se poser dans ce lit douillet, que vous créez juste pour eux, par Amour et par Bienveillance. Vous pouvez aussi effacer leurs soucis, dissoudre leurs malheurs, soigner leur santé,  les sortir de leurs dépendances où de leurs péchés, juste en les aimant et en « croyant » en eux. Le cœur l’amour et la bienveillance peuvent créer tant de choses. La conscience est la petite lumière qui éclaire le cœur afin de guider les êtres sensibles dans le bon sens, celui de l’évolution et de l’éveil. Quand la conscience est pleinement éclairée, l’être fait toujours les bons choix.  

     

    Action 2 : Cultiver le détachement et la méditation

    Il y a dans chaque journée des moments heureux, des moments malheureux, et des moments neutres pour tout le monde. Il faut juste les reconnaitre au moment « où ils sont présents », puis les laisser passer sans s’y accrocher. Parce qu’ils font partie intégrante de la vie, et qu’ils ne sont rien de plus que des sentiments passagers. La tristesse ne dure pas sauf si on la ressasse continuellement, et le sentiment de joie ne peut durer éternellement. Si vous souhaitez ne vivre que des moments heureux, vous voulez vivre dans l’illusoire et dans l’impossible. La vérité est ailleurs, pour celui qui accepte de vivre la vie telle qu’elle est, juste une suite fortuite de moment, de méditation en méditation, afin de comprendre son esprit. Par le détachement, l’être devient de plus en plus « sage », un océan de « sagesse » qui le fera vivre très heureux.

     

    Action 3 : L’Unité du Yin et du Yang, de la foi et de la confiance en soi

    Cette capacité d’écoute, d’attention, de tendresse, d’unité spirituelle et d’enveloppement dont l’être est dépositaire en tant qu’énergie « féminine » ou élément yin, c’est le moment de l’exprimer dans toute sa grâce. C’est le moment de se déployer à travers toute la créativité dont l’esprit féminin sait si bien exprimer toute la valeur symbolique régénérante. Un moment pour chaque être sensible, de montrer aux autres, que l’élément yin, est un élément fondamental de toute la création universelle. Ensemble, soyons en Conscience dans un seul et même cœur, celui de la foi et de la confiance en soi, celui du Yin et du Yang rassemblés côte à côte dans l’unité. Les hommes et les femmes sont invités à célébrer la part de yin qui réside en eux-mêmes.

     

    Action 4 : Egalité, justice fraternelle et développement des qualités

    Il y a ici et maintenant beaucoup d’êtres qui valorisent aiment et soutiennent humblement l’être humain, sans se préoccuper du venin des critiques, ni des oppositions. Il n’y a pas plus merveilleux que de se construire une vie, sans focus négatif sur soi ou sur les autres. Juste en créant sa propre vie, en étant juste « soi », juste au bon moment, juste pour « aimer » les autres, juste en développant ses plus belles qualités, tout en acceptant nos imperfections, cherchant la perfection « parfaite ». En vivant notre vie comme un souffle, du début jusqu’à la fin, dans une mélodie universelle, celle de l’Amour, de l’égalité, de la justice fraternelle et du développement des qualités humaines. Le perfectionnement est une émulation qui rapproche les êtres entre eux.

     

    Action 5 : Les groupes de partage dans l’amour universel et la bienveillance mutuelle

    Nous sommes tous créateur, mais nous pouvons devenir des co-créateurs utiles, en acceptant tout simplement de partager, un mot, une image, une musique, une recette, une découverte, nos ressources, nos biens, et nos mystères, par Amour pour l’humanité toute entière. Quand cette création devient fraternelle comme aujourd’hui, cela s’appelle de la « co-création consciente ». Soyons Conscient d’être ensemble la guérison, et soignons-nous mutuellement, par la responsabilisation commune de tous nos actes. En choisissant de soutenir des causes « nobles », de construire des nouvelles structures communautaires respectueuses de chacun, nous mettons en place des projets d’envergures ou les groupes pourront vivre en totale autonomie. Ainsi nous participons activement à la construction d’un monde nouveau, beaucoup plus propre et beaucoup plus juste pour tous.

     

    Action 6 : Les plaisirs simples de la joie et du bonheur

    Dans le jardin de votre cœur, il existe une perle appelée « contentement » construite sur la simplicité. Si de l’autre bout de la planète et très certainement juste à côté de vous, il existe des enfants qui ne mangent pas à leur faim, qui ne reçoivent aucun soin médicaux par manque de ressources, qui n’ont pas un toit au-dessus de leur tête pour les protéger pendant leur sommeil, c’est parce que nous sommes tous responsable de cet échec. Alors, réveillons-nous, ouvrons notre cœur et laissons la perle du « contentement » revenir vers des plaisirs plus simples et plus authentiques. Arrêtons de nous plaindre, battons-nous pour tous ceux qui sont en droit d’exiger le minimum et partageons nos ressources, afin que chacun puisse vivre dans la dignité. La joie et le bonheur se cultive dans le cœur en se réjouissant des petits bonheurs simples et quotidiens de chacun.

     

    Action 7 : Vivre végétarien et écologiste

    Être végétarien est un excellent régime alimentaire, qui permet d’être spirituel dans un monde matériel. La terre nous offre généreusement tout ce dont nous avons besoin, sans faire de mal à personne. Être végétarien et être « écologiste » parce que nous ne demandons rien à la terre, que ce qu’elle est prête à nous offrir. Il n’y a pas de culture excessive, ni d’élevage intensif. C’est une autre manière de manger, pour se nourrir en énergie vitale, qui va évidemment, avec une autre manière d’être, de penser, et de vivre. Mais vous pouvez devenir végétarien petit à petit, un jour par semaine, 2 jours par semaine, puis totalement en devenant en même temps « écologiste » et « spirituel ». La spiritualité est dans le cœur, dans le corps, dans l’âme et dans les actions. Une manière d’être en harmonie avec le grand « TOUT ». Avoir une spiritualité parfaite c’est manger végétarien en vivant une vie matérielle « écologiste ».

     

    Les 7 Plans de « Maitri » ont été publiées en 2010 et demandent du temps et une grande patience pour s’installer dans le cœur de tous les êtres sensibles……..C’est avec une pratique constante et un effort de tous que nous vaincrons!!!

     

     

    Que votre vie s’installe avec abondance sur cette nouvelle terre que nous créons ensemble.

     

    Extrait du livre "MahaMaitri la Grande Bienveillance Universelle"©Véronique-Arlette 2013

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜"*°•**•°*"˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Module proposition d’étude de texte sacré (Novembre 2014)

    Les 5 Sagesses du Bouddhisme

     

    Texte Sacré Novembre 2014

     

     

    En ce moment, nous entendons beaucoup parler d’enseignements spirituels. Quelques-uns ont comme approche relationnel, comme mode d’expression, et comme sujet de communication la soi-disant « Conscience ». Certains ont comme principal sujet d’enseignement, le miroir relationnel. Ils considèrent que « l’autre », celui qui est en face d’eux, leur renvoient ce qu’ils sont eux-mêmes où qu’il convient de «  juste renvoyer » sans essayer de comprendre. Il y a beaucoup de confusion dans les esprits actuellement. En rajouter sur le sujet ne fait qu’empirer les choses. C’est pourquoi, j’aimerais encourager votre évolution un peu plus loin sur la voie. Dans cette alternative, je porte à votre connaissance les 5 sagesses essentielles du Bouddhisme, qui sont toutes très explicites. Chaque sagesse représente un élément, un monde, une couleur, une direction, un défaut à surmonter et une qualité à développer. Elles élèvent toutes l’esprit, accompagnent sur le chemin de la spiritualité et guident toujours plus loin. Les sagesses sont considérées comme des « portes de délivrance » que le disciple emprunte pour purifié son cœur et atteindre l’éveil.  

     

    Ether / La première sagesse est la Sagesse du Dharmadhatu et symbolise le royaume du Cosmos.  Au commencement, nous sommes tous semblable, parfaitement au centre de la neutralité et de la paix intérieure, symbolisé par l’élément Ether. Cette sagesse représente l’universalité primordiale et englobe la totalité du monde intérieur, celui du devoir spirituel, et de tous les éléments qui la constitue. C’est la sagesse sur laquelle « tout » repose éternellement, la conscience transparente et lumineuse, complètement purifiée des voiles de l’illusion. C’est un champ immense, un fil qui nous relie tous ensemble. Elle est à la fois le fondement et l’aboutissement de toutes les activités, puisqu’elle est l’étincelle qui deviendra soleil, grâce à la méthode, à la pratique, et à la maîtrise. C’est la prise de conscience de l’ignorance qui est l’élément déclencheur. Grace à cette prise de conscience fondamentale, l’être entreprend une activité spirituelle. Dans cette sagesse, il y a la forme, les phénomènes et  l’espace appelé vacuité. Ce vide est de l’ordre de la nature ultime de toute chose.  Cette sagesse est la base de toutes les autres sagesses, puisqu’elle est à la fois l’étincelle de lumière primordiale, plus toutes les autres couches qui viennent englober cette vérité fondamentale. C’est l’interdépendance de la chaine conditionné ou chaque partie conserve son identité propre. C’est la lumière pure de la conscience qui pénètre tout. Cette sagesse libère de la sphère des Dieux, car l’être prend conscience des choses, et entreprend une véritable démarche de pacification. Elle enseigne l’attitude juste et l’émotion saine qui élève vers les hauteurs. Sa couleur est le blanc parce que le désir d’illumination est la base causale de cette sagesse. Notre origine est un prétexte à la vie, un formidable parcours qui nous oblige à remonter vers la source de cette même vie, pour en comprendre pleinement l’utilité. Au cœur de cette sagesse, les quatre autres sagesses fonctionnent sur deux axes, l’un  horizontal qui va de l’est vers l’ouest se rapporte au domaine de la connaissance et l’axe vertical qui va du sud au nord correspond à l’affectivité et à l’action. Quand l’être éveillé reste bien centré au cœur du Dharmadhatu et déploie sa compréhension des autres sagesses autour de cet axe central, le but final est l’illumination. C’est la croix de l’Amour qui tisse la Sagesse, ou la spirale ascensionnelle de l’homme qui devient par la force de son activité un surhomme.

     

    Eau / La deuxième sagesse est la Sagesse Semblable au miroir. L’être devient un miroir qui réfléchit tout ce qui existe sans s’y attacher. C’est l’eau adamantine, tous les niveaux en relation avec l’eau, juste au dessus de la boue, et qui conduit inexorablement vers un effet d’éclaircissement. C’est l’esprit vif de la curiosité, l’organisation, la précision,  les purifications,  les guérisons, les éclaircissements et l’indestructibilité des conceptualisations. Ici l’esprit se clarifie, il voit dans les profondeurs de l’eau transparente aussi nettement qu’un miroir, avec une grande précision de tous les détails, sans commentaire. La projection de l’autre retourne à lui-même sans mauvaise intention. Cette sagesse purifie de la haine et de la colère. Mais, il faut cultiver le tranchant du détachement, ne pas fixer les images qui passent, et accepter de changer de positionnement. Si l’être reste calme, posé et concentré sur l’instant présent, il ne solidifie pas les images, et continue sa progression vers plus de clarté. Si les images se figent, l’être devient le miroir de lui-même, ou le miroir de l’autre, dans un face à face destructeur. Attention donc, à l’aversion et à la répulsion qui sont des distorsions, avec une intention de nuire, avant  même d’être inquiété réellement. Cette sagesse enseigne l’impassibilité, l’immuabilité et aide à devenir inébranlable devant l’adversité, la colère et le mépris. Elle libère de la sphère des états infernaux de la négativité, du monde des enfers, et de la fixation intellectuelle. Sa direction est l’est et sa couleur est le bleu symbole de l’eau. En effet, l’eau peut-être nébuleuse et turbulente est donc de nature agressive et défensive comme la colère, ou peut-être claire et limpide et de nature éclatante et précise comme le miroir. L’acuité du miroir doit être sans ambages, sans détour, sans intention, et sans déplacement. Tout est dans la détermination de l’esprit (aspect masculin) qui cherche la vérité dans la vacuité (aspect féminin). Le miroir doit être purifié de tout désir, de tout ressentiment, de tout but, pour être transparent et sans projection personnelle.

     

    Terre / La troisième sagesse est la Sagesse de l’égalité ou de l’identité. L’être brille avec son amour et sa compassion sur « tout » le grand et le petit, sur le bon et le mauvais, au travers de l’expérience terrestre. C’est la sagesse qui considère tout le monde comme son propre « soi ». Cela arrive quand l’eau à purifié ses poisons, qu’elle ne subit plus aucun trouble, et qu’elle maintient cet équilibre avec une égalité d’âme propre à tous. Consciente de son implication avec les autres au cœur de la terre mère, elle œuvre avec bonté pour tous. De cette sagesse ressort une certaine sérénité faite de générosité continuelle. Il y a une forme de dépassement de l’orgueil et de l’avidité qui ouvre sur une sagesse réalisée matériellement à partir de l’expérience du « don de soi ». Ce joyau porte l’égalité avec impartialité et reconnait l’esprit Divin en chacun. Cette sagesse permet de voir la nature universelle des êtres et d’entrer en communication avec cette richesse. Les sentiments sont complètement ouverts et en attente d’épanouissements. L’émerveillement s’enrichir de ce contact, sans chercher à se hisser au dessus des autres. La valorisation n’est que dans l’envahissement d’être enfin « soi-même ». Cette sagesse symbolise la pureté de l’esprit qui clarifie complètement le cœur. C’est l’Unité avec la Divinité, avec l’enseignement, les frères et les sœurs de lumière.  C’est l’accomplissement d’un vœu offert à toute l’humanité, du souffle vital au niveau du nombril, à la vision de l’œil divin. Il y a concrétisation au travers d’un vœu, évaluation à l’autre sans mépris, au travers de l’expérience terrestre de l’enseignement. Cette sagesse est de couleur jaune, sa direction est le sud, son élément est la terre, elle libère de la sphère des humains, avec une nécessité de prendre ses distances avec le monde, pour emprunter une voie beaucoup plus spirituelle. L’orgueil est la racine de toutes les émotions perturbatrices. En aiguisant notre attention et notre patience, cette sagesse apaise notre désir d’arrogance et de supériorité.

     

    Feu / La quatrième sagesse est la Sagesse toute discriminante. C’est voir l’unité des choses, leur diversité et les deux à la fois en même temps. Cette sagesse vainc toutes les formes de passion comme la convoitise, la cupidité, les besoins maladifs et les désirs sexuels. Elle règne sur l’élément feu et transmute la chaleur de la passion en chaleur de compassion. C’est la connaissance de l’observation analytique, le dépassement du désir passionné, et l’affranchissement de la satisfaction, qui coupent l’attachement. Il n’y a plus d’espérance, ni d’insatisfaction, quand le désir est éteint, l’esprit se retire progressivement dans la matrice, pour se développer et s’épanouir pleinement dans la Divinité. Cette sagesse génère la lumière infinie et l’éveil jusqu’aux confins de l’univers. C’est le déploiement spirituel dans sa plus grande sublimation, au travers de la profondeur de la méditation. Le mental est complètement concentré sur l’objet, il ne fonctionne plus et est hors de portée de la conscience. La pureté dégagée par ses hauts états méditatifs est une protection contre les influences extérieures. Arrivé à ce terme, l’être est immunisé contre tous les serpents même les plus vénéneux, contre tous les poisons et autres souillures de l’esprit. Il brille d’une parfaite lumière sur tout, car il y a union entre spirituel et matériel. L’éclaircissement total est dans la contemplation. C’est l’élixir de l’immortalité, le nectar de la délectation suprême. C’est le désir intense qui nous conduit vers l’Amour véritable et Inconditionnel. Cette sagesse est de couleur rouge, et nous libère de la sphère des esprits avides, de l’avarice et des appétits insatiables. Le royaume de la félicité est situé à l’ouest, c’est un quartier très favorable pour atteindre l’éveil rapidement. De façon plus significative, cette sagesse est un lieu immense, c’est le champ d’Amour bienveillant dont nous avons tous besoin pour transformer, notre désir intense en amour inconditionnel. L’Amour est un océan immense ou l’immersion dans ce champ de mérites, est un partage qui profite à tous.

     

    Air / La cinquième sagesse est la Sagesse toute accomplissante. L’être se voue au bien-être de tous les êtres. C’est la sagesse qui avance invariablement vers son but, le conquérant tout puissant qui accomplit pleinement son destin, dans des actes emprunt de discernement. C’est la subtilité de l’air dans toute son activité, du souffle vital, à la traversée de la naissance à la mort, de la compréhension des rivières sacrées de samsara la roue de l’existence. C’est l’élément Air, le vent de l’été et la force accomplissante qui surgit au bon moment. La persévérance du perfectionnement aboutie à un jugement et une action infaillible. L’esprit à une connaissance pratique innée, et de cela nait une solution spontanée. C’est la félicité que rien ne peut venir ternir, ou aucun sentiment de frustration ou d’inhibition n’existe. C’est la force tranquille, légère et efficace qui avance inexorablement. C’est l’union des opposés, la croix formée par l’Amour qui rencontre la Connaissance et l’union sacrée entre le féminin et le masculin. C’est le dharma qui s’accomplit dans la franchisse, l’authenticité et la justesse d’esprit. Il n’y a aucun contrôle, pas de désir et d’attachement, pas de manipulation dans cette finalité, mais juste une simple réjouissance à aider les autres. C’est une pensée vers tous les êtres qui doivent être délivrés de leurs peines et conduit au véritable bonheur. Ici, la peur est intrépide parce qu’elle est entièrement transcendée. C’est l’état d’homme à l’état de surhomme. Cette sagesse est située à l’ouest, est de couleur verte et libère de la sphère des anti-Dieux, de la haine, du ressentiment et de la vanité. Dans ce monde particulier ou la jalousie et l’envie dominent, beaucoup aimeraient s’emparer de « l’Arbre accomplissant tous les souhaits », mais cette sagesse les encourage à rechercher plutôt la connaissance de la paix intérieure, que la puissance et l’argent.

     

    L’Amour et la sagesse liés ensemble sont le résultat de l’éveil qui se produit dans l’être. Il se tisse l’un avec l’autre et sont la trame de fond de toute notre existence. Chacun d’entre nous possède en lui-même un aspect féminin et un aspect masculin, dont il lui convient de réaliser l’union sacrée à l’intérieur de lui-même. Dans notre vie, si nous sommes un homme ou une femme, nous recherchons inconsciemment la perle qui équilibrera parfaitement notre part féminine et notre part masculine. L’équilibre de notre communication avec l’autre, de la beauté de notre mode relationnel, réside ici même. Si nous ressentons de la frustration ou de l’unité, dans cette recherche, c’est parce que le mystère n’a pas encore dévoilé tous ses secrets. Savoir nous ouvrir et recevoir l’autre ou au contraire savoir être ferme et plonger dans l’autre pour le pénétrer, sont des apprentissages plein de richesse et de sagesse. Ils ne conviennent pas seulement à un homme ou à une femme mais à un être désireux de trouver l’harmonie relationnelle. L’équation de cette résolution est une question de complémentarité entre les forces du yin et du yang, et de l’équilibre entre ses deux polarités.  Trop de yang engendre des conflits, des luttes et de la colère. Trop de yin engendre beaucoup de laisser-aller et de la négligence. Un être bien équilibré utilise ses deux énergies suivant ce qu’il a besoin de faire dans son quotidien. Il peut-être complètement soumit ou complètement dominant, sa souplesse d’esprit à une grande capacité d’adaptabilité. S’il cherche à vivre en couple, ou un partenaire professionnel, ou relationnel,  il recherchera cette même stabilité chez son partenaire.  S’il est très équilibré, aura-t-il réellement besoin de quelqu’un d’autre, ou préfèrera t-il plutôt sa solitude ? La vérité de notre unité n’est pas chez l’autre, mais bien en nous même. La sexualité n’est qu’un moyen qui nous aide à comprendre cette dualité homme femme, cette différence entre deux énergies opposées, cette unité entre les forces yin et yang. Donner des conseils et guider les êtres est une source de toute beauté ou le respect de chacun doit être préservé. Avant d’offrir notre connaissance, avant de renvoyer systématiquement vers l’autre, avec peut-être un effet miroir destructeur, peut-être devrions-nous avoir expérimenté l’éveil. Peut-être devrions-nous d’abord être bienveillant et fraternel, essayer de comprendre véritablement le tourment et le problème que traverse l’autre, afin d’éviter de lui causer une souffrance supplémentaire. L’Amour et la patience sont en cela des vues de l’esprit qui élargissent notre Conscience. Ce sont des moyens essentiels à notre portée, qui nous aident à « prendre du temps » pour AIMER malgré nos différences et prendre du recul pour observer et affiner notre compréhension. C’est après une longue maturité, que nous comprenons que « renvoyer » n’est souvent pas la bonne solution. Il vaut mieux aimer pleinement, observer pour voir si le problème demeure, être patient avec l’autre, pour favoriser sa progression sur la voie. L’Amour est un soutien incroyable, un tuteur de guérison, et un pouvoir évolutif. De cet Amour Bienveillant peut naitre une « envie de devenir semblable », de grandir dans les pas du Maitre, et d’atteindre le bonheur suprême de l’esprit Universel. La force qui jaillit de cette unité est mystérieuse et incommensurable. L’absence de dualité entraine un équilibre riche de simplicité, d’humilité et de libération. C’est pour cette raison que nous pouvons l’utiliser sans modération.

     


     

     

    L’étude des textes sacrés est le véhicule de la compréhension.

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯ •°*”˜”*°•.¸ 

     

    Très bon travail

    Par l’étude le disciple oriente son esprit dans la bonne direction, celle de la sagesse suprême. 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice philosophique/symbolique (Novembre 2014)

     

    Symbolique Novembre 2014

     

     

    Symbolique du chiffre « 5 »

    « Il y a quelque chose qui change dès l’apparition du chiffre cinq »

     

     

    La philosophie est un exercice spirituel qui prépare et ouvre sur la sagesse. Elle est surtout une discipline créative, une réappropriation de concepts, pour une reformulation beaucoup plus objective. Cette nouvelle discipline de l’esprit,  qui nous pousse à voir les choses autrement, avec un esprit neuf et ouvert, s’appelle « l’éveil des Consciences ». Tous les exercices qui permettent cette ouverture sont considérés comme « éveilleurs ».  

     

    Le nombre 5 tire son symbolisme de ce qu’il est, d’une part, la somme du premier nombre pair et du premier nombre impair (2+3) ; d’autre part, le milieu des neufs premiers nombres. Il est signe d’union, nombre nuptial disent les Pythagoriciens ; Nombre aussi du centre, de l’harmonie et de l’équilibre. Il sera donc le chiffre des hiérogamies, le mariage du principe céleste (3) et du principe terrestre (2).

     

    Il est encore symbole de l’homme (bras écartés, celui-ci paraît disposé en cinq partie en forme de croix : les deux bras, le buste, le centre –abri du cœur- la tête, les deux jambes). Symbole également de l’Univers : deux axes, l’un vertical  et l’autre horizontal, passant par un même centre ; symbole de l’ordre et de la perfection ; finalement, symbole de la volonté divine qui ne peut désirer que l’ordre et la perfection.

     

    Il représente aussi les cinq sens et les cinq formes sensibles de la matière : la totalité du monde sensible.

     

    L’harmonie pentagonale des Pythagoriciens laisse sa marque dans l’architecture des cathédrales gothiques. L’étoile  à cinq branches, la fleur à cinq pétales est placée, dans le symbole hermétique, au centre de la croix des quatre éléments : c’est la quint-essence, ou l’éther. Le 5 par rapport au 6 est le microcosme par rapport au macrocosme, l’homme individuel par rapport à l’homme Universel.

     

    En Chine également, 5 est le nombre du centre. On le trouve dans la case centrale de Lo-chou. Le caractère wou (cinq) primitif est précisément la croix des quatre éléments, auxquels s’ajoute le centre. Dans une phase ultérieure, deux traits parallèles s’y adjoignent : le ciel et la terre, entre lesquels le yin et le yang produisent les cinq agents. Aussi les anciens auteurs assurent-ils que sous le ciel, les lois universelles sont aux nombre de cinq : il y a cinq couleurs, cinq saveurs, cinq tons, cinq métaux, cinq viscères, cinq planètes, cinq orients, cinq régions de l’espace, et bien entendu cinq sens. Cinq est le nombre de la terre : il est, somme des quatre régions cardinales et du centre, l’Univers manifesté. Mais il est aussi la somme de deux et de trois, qui sont la terre et le ciel dans leur nature propre : conjonction, mariage du yin et du yang de T’ien et de Ti. Aussi est-ce le nombre fondamental des sociétés secrètes. C’est cette union que symbolisent les cinq couleurs de l’arc en ciel. Cinq est aussi le nombre du cœur.

     

    Dans le symbolisme Hindou, cinq est encore conjonction de deux (nombre femelle) et de trois (nombre mâle). Il est principe de vie, nombre de Civa transformateur. Le pentagone étoilé, également symbole çivaïte, est considéré comme étant un pentagone simple entouré de cinq triangles de feu rayonnants qui sont des linga. Civa qui, en tant que seigneur de l’Univers, domine aussi les cinq régions, est parfois représenté à cinq faces et vénéré, notamment au Cambodge, sous la forme de cinq linga. Toutefois, la cinquième face, celle qui regarde vers le haut, s’identifie à l’axe et n’est généralement pas figurée.

     

    Dans le bouddhisme japonais de la secte Shingon, on distingue également cinq orients (les quatre points cardinaux plus le centre) ; cinq éléments (terre, eau, feu, vent, espace) ; cinq couleurs ; cinq qualités de connaissances, celles que possédait le Bouddha suprême et que l’adepte de l’ésotérisme Shingon doit s’efforcer d’acquérir progressivement pour accéder au niveau de l’éveil. Cinq se révèle ici comme le nombre de la perfection intégrée.

     

    Cinq est le nombre des provinces d’Irlande réparties en quatre provinces traditionnelles : Ulad (Ulster), Connacht (Connaught), Munster (Mumu) et Leinster (Lagin), et une province centrale, Midhe (Meath), constituée par le prélèvement d’une parcelle des quatre autres provinces. Le nom de la province est en Irlandais moyen coiced, littéralement cinquième. Cinq est encore le nombre des dieux fondamentaux du panthéon  celtique, soit un dieu suprême, polytechnicien, Lug (lumineux) assimilé à Mercure en Interpretatio romana, et quatre dieux dont il transcende tous les aspects : Dadge (dieu bon), Jupiter ; Ogme (le champion) et Nuada (le roi), Mars ; Diancecht (médecin) et Mas Oc (le jeune homme), Apollon ; Brigit (brillante mère des dieux, mère des arts et des techniques, de Goibniu, le forgeron), Minerve. Le schéma est confirmé par César qui, dans le de bello Gallico énumère Mercure, Jupiter, Mars apollon, Minerve. Toutefois, chez l’auteur latin les théonymes romains désignent, non des divinités, mais des fonctions ; ce qui explique que certaines correspondances celtiques soient doubles. Cinq serait aussi un symbole de la totalité : totalité du pays d’Irlande, totalité du panthéon celtique ; mais une totalité obtenue par un centre qui ressemble et qui intègre quatre et dont les quatre participent.

     

    Dans la plupart des textes irlandais médiévaux cinquante, ou son multiple triple cent cinquante (tri coicait : littéralement trois cinquantaines) est un nombre conventionnel indiquant ou symbolisant l’infini. On compte rarement au-delà. Mais le système de numération celtique est, encore actuellement dans les langues modernes, archaïque et d’emploi malaisé.

     

    En Amérique centrale, cinq est un chiffre sacré. Dans la période agraire, c’est le symbole numéral du dieu du maïs. Dans les manuscrits comme dans la sculpture Maya, il est fréquemment représenté par une main ouverte. Selon Girard, la sacralisation du chiffre cinq serait liée au processus de germination du maïs, dont la première feuille sort de terre, cinq jour après les semailles. Les Jumeaux Dieux du Maïs, après leur mort initiatique, ressuscitent des eaux de la rivière cinq jours après que leurs centres y ont été jetées (Popol-Vuh). Le mythe précise qu’ils apparaissent d’abord sous forme de poissons, puis d’hommes-poissons (sirènes) avant de devenir des adolescents radieux (solaires). Aussi le glyphe maya du nombre cinq, couramment constitué par une main, se rencontre-t-il aussi sous les trait d’un poison. De nos jours encore les Chorti, descendant des Mayas, associent le nombre cinq au maïs et au poisson. Dans la suite de leur histoire, les Jumeaux se différencient en Dieu Soleil et Dieu Lune. C’est le Dieu Lune qui conserve le Cinq comme symbole numérique (d’où l’analogie avec le poisson symbole lunaire).

     

    Chez les Chorti également, le cycle de l’enfance, pour les mêmes raisons (analogie homme-maïs) est de cinq ans, le Dieu du Maïs est le patron des enfants qui n’ont pas atteint l’âge de raison, c'est-à-dire âgés de moins de cinq ans.

     

    Selon les croyances des Maya, Dieu hale le mort par la corde, qui est son âme, le cinquième jour, de même que le maïs termine sa période de gestation et sort de terre halé par Dieu, après cinq jours. La tige du maïs est également appelée corde ou âme.

     

    Dans la tradition mexicaine, Quetzalcóatl reste quatre jours en enfer avant de renaitre le cinquième jour. Le glyphe solaire des Maya se compose de cinq cercles, le Dieu du Maïs étant également dieu solaire.

     

    Cinq est aussi symbole de perfection chez les Maya pour qui e cinquième jour est celui des divinités terrestres. Selon ce même auteur, il est donc sans discussion, le jour du serpent qui envoie la pluie.

     

    Les quatre soleils successifs de la tradition aztèque représentent l’accomplissement d’un monde qui se trouve, avec le quatrième soleil, réalisé mais pas encore manifesté. C’est avec le cinquième soleil, signe de notre ère, que s’accomplit la manifestation. Nous avons vu que chacun de ces soleils – et de ces âges – correspondait à l’un des points cardinaux. Le cinquième soleil correspond au centre ou milieu de la croix ainsi dessinée. Il est l’éveil de ce centre, le temps de la conscience. Cinq est donc le chiffre symbolique de l’homme-conscience du monde. Les Aztèques assignent au soleil du centre la Divinité Xiuhtecutli, maître du Feu, représenté quelquefois par un papillon.

     

    Chez les Aztèques le dieu cinq (jeune maïs) est maître de la danse et de la musique. Cette fonction apollinaire l’associe à l’amour, au printemps, à l’aurore, et à tous les jeux. Le même dieu, appelé le chanteur est, chez les Huitchol, l’Etoile du matin.

     

    Reprenant l’interprétation du nombre cinq chez les anciens Mexicains, J. Soustelle met clairement en lumière l’ambivalence propre à ce symbole. Cinq, dit-il est tout d’abord le nombre du monde présent ( qui a été précédé de quatre premières ébauches de création) et du centre de la croix des points cardinaux. Par là, il symbolise le feu, mais sous sa double acceptation, d’une part, solaire, donc lié au jour, à la lumière, à la vie triomphante ; d’autre part, sous sa forme interne, terrestre, chthonienne, liée à la nuit, et à la course nocturne du soleil noir dans les enfers. Le héros Quetzalcóatl, dans ses successives métamorphoses, incarne par deux fois l’idée de sacrifice et de renaissance, assimilé d’une part au soleil, d’autre part à Vénus, qui tous deux disparaissent à l’ouest dans le domaine des ténèbres, pour reparaître – renaître – à l’est, avec le jour. En tant que Seigneur de la maison de l’aurore, Quetzalcóatl, renaissant sous la forme de Vénus étoile du matin, est représentée sur les manuscrits mexicains comme un personnage portant sur le visage le chiffre cinq, sous forme de cinq gros points, en quinconce. De ce fait, le nombre cinq a pour signification ésotérique, précise J. Soustelle, dans le symbolisme de la classe sacerdotale et guerrière, le sacrifice, ou plutôt l’auto sacrifice et la résurrection. Glyphe solaire, il incarne l’idée du triomphe solaire et de la vie ; mais il sous-tend aussi ces sacrifices des guerriers dont le sang versé, nourriture du soleil, conditionne le retour cyclique de l’astre, qui conditionne à son tour la vie. De même le centre du monde, représenté par le 5, est aussi le glyphe du tremblement de terre, du châtiment final, de la fin du monde, où des esprits maléfiques se précipiteront des quatre directions cardinales sur le centre pour anéantir la race humaine. Le centre du monde est ici le carrefour central, et, comme tous les carrefours, il est un lieu où se produisent des apparitions redoutables.

     

    Rappelons que c’est aux carrefours qu’apparaissent, cinq fois par an, la nuit, les femmes mortes en couches, et qui, divinisées comme guerriers morts au combat ou sacrifiés, accompagnent le soleil dans sa course diurne – ce qui rappelle analogiquement la pensée des Dogon quand à ce nombre. Enfin, toujours pour préciser le côté néfaste de ce symbole, il faut rappeler que 5, en tant que milieu de la série nocturne (9) est l’opposé de 7, milieu de la série diurne (13). Le cinquième Seigneur de la nuit, Mitlantecutli, Seigneur de la mort, s’oppose à l’heureuse déesse Chicomecoatl, 7e des 13 divinités diurnes ; il porte sur son dos un signe solaire : c’est le soleil des morts – le soleil noir – qui passe sous la terre pendant la nuit. Ainsi, conclut J. Soustelle, le nombre 5 symbolise, pour les Mexicains, le passage d’une vie à l’autre par la mort, et la liaison indissoluble du côté lumineux et du côté sombre de l’Univers.  

     

    Le précieux récit du père Francisco de Avila, De Priscorum Huarachiriensum montre le rôle capital que jouait e nombre cinq dans les croyances des anciens Péruviens : tout ce qui servait de nourriture mûrissait cinq jours après avoir été semé, et les morts ressuscitaient après cinq jours, raison pour laquelle ils n’étaient pas enterrés, mais exposés : le cinquième jour on voyait réapparaitre leur esprit, sous la forme d’une petite mouche. Dans les mythes relatifs à la fin des premiers âges, apparaissent un déluge, qui dura cinq jours, et une éclipse de soleil, qui plongea le monde dans les ténèbres également pendant cinq jours : alors les cimes des montagnes s’entrechoquèrent, les mortiers et les pierres a moudre se mirent à écraser les hommes. Le dieu Paryacaca, maître des eaux et de la foudre, naît de cinq œufs, sous la forme de cinq milans ; il est un en cinq ; l fait tomber la pluie simultanément de cinq endroits différents et il lance l’éclair des cinq régions du ciel.

     

    La conception de cinq humanités successives – la notre étant la cinquième – se retrouve dans les travaux et les jours d’Hésiode. Pour le poète de la cosmogonie, la terre fut successivement habitée par les hommes d’or, les hommes d’argent, les hommes de bronze et les demi-dieux – qui périrent au cours de la guerre de Troie- avant que survienne notre génération, celle des hommes de fer. Les hommes d’or sont devenus les bons génies de la terre, gardiens de la terre, dispensateurs des richesses ; leurs successeurs, les hommes d’argent, coupables d’une folle démesure ayant refusé de rendre le culte dû aux Immortels, furent ensevelis par Zeus ; ils devinrent ceux que les mortels appellent les Bienheureux des Enfers, génies inférieurs, mais que quelque bonheur accompagne encore ; les hommes de bronze, coupables, eux, non de l’orgueil luciférien de leurs prédécesseurs, mais de l’excès de leur force terrifiante, succombèrent sous leurs propres bras, et partirent pour le séjour de l’Hadès frissonnant sans laisser de nom sur la terre ; quand à la race divine des demi-dieux, elle habite, le cœur libre de soucis, dans les iles des Bienheureux, au bord des tourbillons profonds de l’Océan, c'est-à-dire à l’extrême Occident, près du jardin des dieux, gardé par les Hespérides. Il y a là aussi un curieux rapprochement à faire entre la tradition grecque et celle des cinq soleils ou cinq ères des aztèques.

     

    Dans les Dogon et les Bambara du mali, l’unique est exceptionnel, non comme un synonyme d’achèvement, de perfection, mais comme un synonyme d’erreur de la nature : c’est le nombre du chaos initial, deux étant celui du cosmos organisé. De ce fait, cinq, fait de l’association de quatre, symbole féminin, et de un, est lui-même un symbole d’incomplétude, d’impureté, d’inharmonie, d’instabilité, de création inachevée. C’est, de ce fait, un nombre considéré le plus communément comme néfaste : il est associé aux plus graves échecs – dont les fausses couches – et à la mort.  Cependant il peut être considéré comme un heureux symbole : les bambara parlent en effet d’un cinquième monde – à venir – qui serait le monde parfait, né de l’association non plus de quatre et de un, comme le monde actuel, mais de trois et de deux.

     

    Sainte Hildegarde de Bingen a développé toute une théorie du chiffre cinq comme symbole de l’homme. L’homme se divise dans la longueur, du sommet de la tête aux pieds, en cinq parties égales ; dans la largeur formée par les bras étendus d’une extrémité d’une main à l’autre, en cinq parties égales. En tenant compte de ces mesures égales dans sa longueur et de ces cinq mesures égales dans sa largeur, l’homme peut s’inscrire dans un carré parfait. Cinq carrés dans la longueur et cinq carrés dans la largeur, la poitrine étant le lieu de l’’intersection, forment une croix dans un carré. Si le carré est le symbole de la terre, l’homme est comme une croix en ce monde, ou ce monde est pour lui comme une croix.

     

    Outre ces cinq parties égales dans sa longueur et les cinq parties égales dans sa largeur, l’homme possède cinq sens, cinq extrémités (tête mains et pieds). Plutarque utilise ce nombre pour désigner la succession des espèces. Une telle idée peut se trouver dans la Genèse où il est dit que les poissons et les volatiles furent créés le cinquième jour de la création…Le nombre pair signifiant la matrice, car il est féminin, le nombre impair étant mâle, l’association de l’un et de l’autre est androgyne….Ainsi le pentagramme est l’emblème du microcosme et de l’androgyne. Dans les miniatures médiévales, l’homme microcosme est souvent représenté, bras et jambes écartés, afin de mieux indiquer les cinq pointes du pentagramme. Le nombre cinq régit donc bien la structure de l’homme.

     

    Cinq est chiffre faste pour l’Islam, qui lui voue une prédilection : le pentagramme des cinq sens et du mariage. Cinq est le nombre des heures, de la prière, des biens pour la dîme, des éléments du hajj (et des jours à Arafât), des genres de jeûne, des motifs d’ablution, des dispenses pour le vendredi ; c’est le quint des trésors et du butin ; les cinq générations pour la vengeance tribale, les cinq chameaux pour la diya, les cinq takbîr ou formules de prière : Dieu est grand ! Ce sont les cinq témoins de la Mubâhala (pacte), les cinq clefs coraniques du mystère. Ce sont aussi les cinq doigts de la main de Fatima.

     

    Contre le mauvais œil, on étend les cinq doigts de la main droite, en disant : cinq dans ton œil ou cinq sur ton œil. A Fez pour éviter le danger produit par l’admiration pour quelque chose ou quelqu’un, on dit : cinq et quinze. Le chiffre cinq est devenu ainsi un charme en lui-même. Le cinquième jour de la semaine jeudi, est sous le signe d’une protection efficace.

     

    Cinq dit Allendy est le nombre de l’existence matérielle et objective. Le psychanalyste et la tradition maya se rencontre ici, ainsi que les traditions orientales, pour faire de cinq le signe de la vie manifestée. Etant un nombre impair, il exprime non un état, mais un acte. Le quinaire est le nombre de la créature et de l’individualité. Il est remarquable en ce sens, que l’homme s’inscrive dans un pentagramme, qui à pour centre son sexe. C’est ce pentagramme qui est à l’origine du signe idéogramme chinois Jen, représentant l’homme. Si un homme est étendu bras et jambes allongés, le sexe servant de centre, sa partie supérieure est égale à sa partie inférieur ; et une circonférence peut être tracée par un compas, chacune de ces parties ayant la longueur d’un rayon. Une fois de plus, le cinq symbolise la manifestation de l’homme, au terme de l’évolution biologique et spirituelle.

     

    (Dictionnaire des symboles-Robert Laffont) 


     

    Exercice :

     

    Cet exercice est un exercice, pour vous aider à « prendre conscience » de vos réactions personnelles face à l’écoute, à la lecture, ou à la vision de certaines informations qui circulent. Il est très ciblé sur la peur et les réactions qu’elle engendre.

     

    Voici les questions

     

    1/ Ai-je eu des réactions de peur face à cette lecture ? Lesquelles ?

     

    2/ Ai-je peur en raison de ce qui existe véritablement ou de tout ce que j’ai peur qui arrive ?

     

    3/ Cette peur à t-elle un fondement dans mon passé ? Et ai-je peur que cela recommence ?

     

    4/ quelle est la raison de ma peur ?

     

    4/ Est-ce que j’ai réellement conscience de cette « peur » qui vit en moi et de tous les sentiments qu’elle véhicule avec elle ?

     

    5/ Et surtout quelle est ma manière de faire face à toutes mes peurs?

     

    Exercice : Faites une retranscription d’une page au moins, du ressenti de cette lecture et des peurs que cette lecture à soulever. Ici les fautes d’orthographe, de français, de grammaire, et autres, n’ont aucune importance, puisque seule demeure l’expérience de l’élève et de son cheminement personnel. Ce n’est pas un exercice intellectuel mais un exercice spirituel. Soyez vrai avec vous-même,  dans votre cœur, dans vos pensées et dans vos écris. N’essayez pas de « broder », de mentir, de minimiser, ou d’augmenter le phénomène. Juste une retranscription simple et véridique.

     

    Les questions posées ici ne sont pas pour justifier vos peurs, mais juste pour constater qu’elles existent. L’exercice est de les identifier, de les nommer si possible, parce qu’elles sont la racine de toutes vos souffrances.  Mais ces racines sont plus ou moins développées en vous, suivant vos propres dépassements personnels et individuels. Elles sont en fonction du déracinement ou plutôt du « détachement » que l’individu à déjà développer en lui.

     

    Conclusion : 

     

    La « peur » est un élément essentiel de la vie, en cela qu’elle véhicule inconsciemment et dirige une grande partie de votre vie. Elle est « la dérive du bateau » qui donne la direction dans laquelle  l’individu se meut et navigue.  L’appréhension de l’existence est entretenue en permanence par tous les sentiments que soulève la peur intérieure. En prenant Conscience d’elle, nous reconnaissons son existence et nous acceptons qu’effectivement, elle à une grande influence sur nous et sur les autres. Reconnaitre l’existence de la « peur » dans nos vies, c’est nous affranchir en douceur de cette servitude, pour la dépasser progressivement et la vaincre en toute Conscience par le détachement.

     

    Maintenant que vous avez identifié vos peurs, vous allez apprendre à « rire et sourire » devant leurs existences et travailler sur elles. Qu’elles soient psychologiques ou vitales, vous allez apprendre à les  observer « en Pleine Conscience », apprendre à les connaitre, à les définir, en portant votre attention sur « leur nature ». Par cette réaction, vous montrez que vous ne fuyez plus devant « elles », que vous ne cherchez plus à les éviter, mais que vous essayez de les résoudre. Certes, vous n’allez pas toutes les dissoudre en une seule fois, mais vous ne vivrez plus dans l’illusion que « tout va bien » dans le meilleur des mondes. Avec une fausse impression d’être « libre », alors qu’en réalité vous êtes complètement dépendant de toutes vos peurs.

     

    En déracinant complètement et définitivement toutes traces de « peur » l’homme créé sa liberté et s’envole au-delà du par-delà, vers le bonheur et la sérénité.

     

    La symbolique du chiffre 5, détient toute la vérité de la compréhension de l’aboutissement du 4 + 1 = 5.  Ce sont la réunion de la totale assimilation des 4 ensembles qui donne le 5ème élément « Ether ». Cette terminaison passe par des maturations, des germinations, des transformations et des transmutations importantes, avant qu’un discernement s’exécute dans une fusion complète des quatre qui donne le cinquième. Ne faire qu’UN en toute unité.

     

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯¸.•°*”˜”*°•. 

     

     

    Que la philosophie dégagée par les symboliques éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière.

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Module apprentissage de la charte d’éthique (Novembre 2014)

     

    Charte Ethique novembre 2014

     

    Le Maitriyo est un code moral de conduite personnelle et de base spirituelle pour toute personne qui s’engage sur la Voie de l’Amour Fraternel. Que ce soit par adhésion à cette éthique ou tout simplement pour évoluer en conscience, ou encore pour solidifier une pratique spirituelle,  le « Maitriyo » est une référence incontournable.

     

    Cette charte d’éthique  comporte 19 vertus morales à développer, que chaque adhérent est tenu d’observer dans sa pratique quotidienne.  Tous les membres qui adhèrent, s’engagent à respecter ce code comme éthique, en famille, avec leurs amis, et dans tous leurs rapports de vie. Ils doivent faire preuve d’Amour Fraternel envers toutes les races, toutes les ethnies, et toutes les religions, sans discrimination, dans le respect, la joie et la bonne humeur.

     

    Le Maitriyo est perpétué par tous les êtres qui développent des qualités fraternelles, par les adhérents et toutes les personnes désireuses d’avancer sur la  voie de l’Amour Fraternel et de la Paix. Chaque personne qui adhère à ce code devient un ambassadeur du Maitriyo et porte « le bracelet de distinction » en signe d’adhésion.

     

    Code moral du Maitriyo 

     

    1/ L’Amour Fraternel est le plus pur des sentiments humains

    2/ La bienveillance  est la richesse du cœur

    3/ La bonté se dévoue pour être généreuse

    4/ La convivialité sereine est un partage harmonieux

    5/ La sincérité affectueuse exprime ses sentiments sans artifice

    6/ La confiance mutuelle est une conquête de chaque instant

    7/ La politesse est une vallée respectueuse et impartiale

    8/ L’aide et l’entraide s’aident entre elles

    9/ La tolérance est une conquête sur « soi »

    10/ L’égalité des chances est une chance d’égaliser

    11/ La solidarité est l’unité qui fait la force

    12/ La moralité se construit sur l’exemple

    13/ La compréhension est une prise de conscience effectuée en douceur

    14/ La patience prend son temps

    15/ La liberté n’a pas de maître

    16/ L’honneur est une distinction qui cache bien ses trésors

    17/ La méditation cherche son âme dans les profondeurs intérieures

    18/ L’humilité est un écrin de douceur pour l’âme

    19/ L’espoir apaisant réunit chemin et but dans l’instant présent

     

     

    Développement de la sixième vertu

     

    Charte Ethique novembre 2014

     

     

    6/ La confiance mutuelle est une conquête de chaque instant

     

    La confiance est un sentiment de sécurité basée sur  quelque chose ou quelqu’un. Cette confiance  va se solidifier ou servir de tuteur pour développer des qualités, des savoirs, ou encore des techniques  afin de devenir autonome dans le futur. La droiture des autres  inspire une grande confiance et sert de support à l’établissement d’une valeur morale éthique ou culturelle. L’espérance est ferme avec un grand sentiment de sécurité intérieure et la foi en soi grandit dans le moule de cette autorité.

     

    La confiance mutuelle est un titre qui responsabilise les êtres entre eux. Petit à petit, la réputation de sérieux s’établit grâce à des échanges et partages confidentiels de plus en plus grands. Les missions sont guidées vers une découverte du « soi », et des véritables ressources de l’être, parce qu’elles sont l’assurance de son indépendance et de sa libération.

     

    Avoir confiance en « soi », en ses qualités, en son jugement, en sa bonne étoile, procure un sentiment de sécurité et d’harmonie. Ce partage n’a pas de prix. Etre un pilier pour l’autre est une preuve d’équité et un formidable moyen de construire l’autre et de construire un groupe ou une société.  L’intégrité et l’honnêteté sont des valeurs sures.  

     

    Avoir une confiance mutuelle faite de rectitude,  c’est croire sans discuter, sans critiquer, ou même émettre un avis particulier. C’est n’avoir aucun doute qui  vient obscurcir cette foi en celui qui nous aide à nous découvrir et à développer nos plus belles qualités.

     

    La rectitude est un aplomb entre terre et ciel qui ouvre tous les crédits, qui facilite toutes les ouvertures, qui guide les êtres dans une reconnaissance universelle, qui solidifie les êtres entre eux. La droiture unit les êtres les uns avec les autres et une grande force ressort de cette unité.

     

    Le contraire de la confiance Mutuelle est la crainte de l’abus,

    Mais cela peut-être aussi l’angoisse froide, l’appréhension dédaigneuse, le doute blasé, le découragement froid, la défiance égocentrique, la désespérance apathique, la méfiance intéressée, ou encore la suspicion narcissique.

     

     

    Très bon travail

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Méditation Vijranavadin

    Être un cœur créateur

     

    Pleine lune du 6 Novembre 2014

    De 21h à 22h (heure française)

    Méditation Vijranavadin  6 Novembre 2014

     

    Cette méditation collective/mondiale est ouverte à tous les êtres,  débutants ou confirmés. Peut importe votre religion puisque nous sommes tous frères et sœurs. Peut importe si vous n’êtes d’aucune religion, si votre cœur est plein d’amour soyez les bienvenus. Elle débute par 30 minutes de préparation, puis 30 minutes de méditation. Vous pouvez la raccourcir ou la prolonger si vous le souhaitez. Dans un souci de purification et de pureté, il est conseillé de s’habiller en blanc, car cette couleur exprime la pureté libre de tous les voiles ou distorsions de l’esprit.  Elle s’adresse à tous les êtres sensibles et se pratique  seul ou en groupe, ou que vous soyez sur la planète terre. C’est le simple fait d’être connecter tous ensemble au même moment qui augmente l’envergure de nos possibilités.

     

    L’Amour Inconditionnel, la Bienveillance, le Partage, et la Fraternité sont les outils indispensables à cette méditation. Mais une seule de ces quatre qualités suffit pour entreprendre et participer à cette initiative collective.

     

    Vijranavadin ou Voie de la « Conscience Universelle »

     

    Aujourd’hui chers méditants de la « Conscience Universelle », laissez-moi vous parler de la trinité et des 10 niveaux de la Conscience Universelle. Lors de notre dernière méditation, nous avons parlé des trois niveaux de Conscience principaux et de leurs modes de fonctionnement. Nous avons découvert ensemble, la source cachée de l’Amour Inconditionnel qui est l’atome germe de la Conscience Universelle. Celui-ci est dissimulé dans la grotte du cœur et permet de transcender tous les niveaux de Conscience. Unis par le cœur, dans la pensée de l’Amour Inconditionnel, nous avons évolué conjointement et collectivement vers une harmonisation mondiale en co-résonnance avec la terre et tous les êtres vivants de l’Univers.

     

    Aujourd’hui, il est temps d’aborder les « dix niveaux de la Conscience Universelle » qui seront développés aujourd’hui très superficiellement. Comme je vous l’avais expliqué le mois passé, tout est à l’image de la trinité divine ou de l’absolu. Les niveaux de Conscience fonctionnent également à l’image de cette trinité.

     

    Les niveaux de Conscience sont établit sur la trinité terre, espace et cieux, ou Bhur, Buvah, Svah.

     

    1/ La « Conscience matérielle » est fractionnée en 3 Consciences. Ces trois Consciences représentent « les lois naturelles » qui nous forment individuellement et émotionnellement.

    1. La « Conscience de l’égo » est le soi qui à une existence dans la forme.
    2. La « Conscience de la pensée » est le soi qui produit des pensées en réfléchissant.
    3. La « Conscience de la discrimination » est le soi qui à des sentiments, bons mauvais et neutre.

     

    2/ La « Conscience de l’espace » est fractionnée en 3 Consciences. Ici nous commençons à entrer dans l’espace intermédiaire entre la terre et le ciel.  Ces trois Consciences représentent « les lois morales » qui imprègnent le conscient, l’inconscient et le supra-conscient ou état méditatif. C’est en quelque sorte un tampon de bonne moralité qui marque une empreinte. Ici la mise à l’épreuve est vécue sous forme de jeu entre le soi et sa moralité. La vie est un jeu pour beaucoup d’âmes, et ici entre terre et ciel, les choses commencent à devenir sérieuses et la mise à l’épreuve commence réellement ! Le soi est donc mis en quelque sorte « en observation » et c’est la vraie moralité qui est mise en scène.

    1. La « Conscience de Veille » est un tampon réceptacle de la moralité consciente. Elle surgit spontanément sans prévenir pour surprendre. En bref c’est une Conscience qui veille et surveille ou en est la moralité.
    2. La « Conscience de Rêve » est un tampon réceptacle de la moralité Inconsciente. Elle reflète l’activité morale réelle et active en mettant le sujet en situation.  En bref le soi s’observe dans une expérience, pour vérifier sa vraie moralité en se servant du rêve.
    3. La « Conscience de sommeil » est le tampon réceptacle de la moralité supra-consciente. Ici le sujet accumule toute la moralité effective sur laquelle il n’est plus besoin de revenir.  Cette accumulation donne des bons points et ouvre les portes sur d’autres dimensions. C’est une Conscience qui veille à ne pas vous embarquer plus loin, tant que vous n’êtes pas réellement prêt et engagé dans une moralité saine. Ici il se passe beaucoup de choses même si vous avez l’impression de ne pas être Conscient, cette Conscience est bien là.

     

    3/ La « Conscience des cieux » est fractionnée en 3 Consciences. Ici c’est le passage vers l’au-delà, vers les choses qui s’expliquent et celles qui ne s’expliquent pas. Ces trois Consciences représentent « les lois cosmiques » et sont de l’ordre de l’intuition, de la dévotion et de la spiritualité :

    1. La « Conscience du témoin » est une Conscience intuitive et sensorielle qui est le réceptacle de toute la vie intérieure et de l’intuition qui en découle spontanément.
    2. La « Conscience de dévotion suprême » est une Conscience intuitive supérieure qui est le réceptacle de toutes les pensées et de tous les actes relatifs à la foi dévotionnelle et aux êtres supérieurs.
    3. La « Conscience Divine » est une Conscience Spirituelle et Transcendantale qui désigne la Conscience fondamentalement pure. Cette Conscience « EST » tout simplement purifié et éclatante de transparence. Elle « stimule le changement chez les autres êtres». C’est le niveau le plus haut auquel puisse aspirer l’être humain. Mais c’est aussi celui qui transforme la vie, qui aspire vers le positif, et le bon.

     

    Quand le méditant dépasse les trois états de « Conscience majeur » que sont la Conscience matérielle, la Conscience de l’espace, et la Conscience des cieux, il passe dans le « quatrième état » appelé Turiya, état transcendantal de « non pensée ». Mais pour atteindre à la pureté éclatante de la dernière conscience, il doit continuer de purifier les dernières traces résiduelles jusqu’à leur complète élimination.  

     

    Ces 9 niveaux répartis sous trois triades de Consciences, donne la « quatrième ou la dixième Conscience» celle du Un, de l’absolu Divin, de Brahman. C’est le petit chapeau ou la dixième marche, qui appartient à l’absolu, dans lequel tout est résorbé,  où seul le Maître des Maîtres règne. Cette dixième Conscience est la pureté absolue, le retournement à l’origine cosmique. Seul des êtres exceptionnels peuvent en saisir toute la quintessence.

     

    Sujet de la méditation

     

    Ces 10 niveaux de conscience, nous les vivons ensemble chaque jour, comme si nous étions tous baignés dans un grand océan commun. Certain sont très grands et ont la capacité de transcender les 9 états de Conscience. Certain en sont au 5ème ou 6ème état, alors que d’autres en sont seulement au 3ème état. Alors le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres, des choses et de l’Univers tout entier, médite et travail pour atteindre le 9ème état de Conscience. En attendant cette réalisation suprême, il « observe » les êtres avec beaucoup d’Amour. En réduisant sa négativité, grâce à l’Amour Inconditionnel et la Compassion, il se transforme progressivement et entraine avec lui tous ceux qui le côtoient.

     

    Réfléchir sur

     

    Tout le monde parle des « niveaux de Consciences » les voici. Réfléchir sur ses 10 états de conscience.

     

    Préparation de 30 minutes juste avant la méditation

     Au choix :

     

    • Penser à quelqu’un que vous aimez d’un Amour non porteur de souffrance. Celui de l’amour d’une mère pour son enfant est vraiment « bien ».
    • Prier, chanter des Mantras ou lire des versets de textes sacrés pour vous imprégner d’’Amour Divin et de Sagesse avant la méditation.
    • Ecouter une musique de relaxation pour calmer votre intériorité et laisser votre Amour se manifester.

     

    Méditation de 30 minutes :

     

    Cette méditation est une méditation sur 8 points.

     

    1. Elle est très simple à mettre en place parce qu’elle tient compte de la spatialité et de l’Universalité.
    2. Même les plus débutants peuvent participer facilement.
    3. Le méditant commence l’exercice en ce centrant dans le cœur, comme il l’a apprit avec les méditations précédentes.  
    4. Deuxièmement, le méditant étend sa Compassion et son Amour Inconditionnel vers tous les êtres, dans les quatre directions principales que sont l’est, l’ouest, le sud et le nord.
    5. Puis ensuite il continue sa progression vers les quatre directions intermédiaires, que sont le sud-est, le nord-ouest, le nord-est et le sud-ouest.
    6. En agissant ainsi, le méditant s’unit par la pensée et par le cœur, avec tous les autres méditants de la Conscience Universelle ainsi que GAIA la terre.
    7. Cette réunion faite de Compassion et d’Amour soulève un grand Changement et une gigantesque vague de spiritualité se soulève pour un nouveau monde fait d’Amour de Partage et de Fraternité.
    8. En créant cette dynamique « pure » faite d’Amour, de Compassion et d’Harmonie, le méditant stimule l’océan dans lequel demeurent tous les êtres vivants. 
    9. Avec sa Grande Compassion et son Grand Amour Inconditionnel, le méditant instaure inconsciemment un dialogue de compréhension entre tous les êtres sensibles.
    10. Avec une Grande Bienveillance envers tous, le méditant installe un climat d’Amour entre lui et tous les êtres sensibles.
    11. Ainsi  le méditant participe au bien-être de tous les êtres entre eux en les « aimant tous ».
    12. Tous les êtres Vivants reçoivent cet Amour dans leur cœur grâce à cette merveilleuse vague qui prend vie.

     

    Quand vous atteignez cette belle spatialité universelle d’Amour vous pouvez demeurer dans cet espace aussi longtemps que vous le souhaitez.

     

     

    Très bonne méditation et au mois prochain.

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

      

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice de prière (Novembre 2014)

     

    Exercice de prière Novembre 2014

     

    Ecrire des prières c’est créer

     

    Quand vous écrivez une prière et que vous l’accompagnez d’une intention, vous créer un espace où ce souhait pourra se manifester. C’est comme si vous plantiez une petite graine dans la terre et que vous l’entouriez d’amour. De cette manière, elle aura toutes les chances de son côté pour pousser dans les meilleurs conditions. Alors afin d’atteindre à cet objectif, il convient d’écrire le souhait et les prières comme si vous les tissiez solidement ensemble.

     

    La prière n’est pas un temps de repos, mais un travail spirituel. C’est un temps de service, et même un temps de combat contre la négativité. Cela ne contredit en rien le fait que la prière soit un don. Être en relation avec la divinité et embellir de grâce cette connexion est une collaboration, un engagement actif de notre liberté. Il faut savoir que nos demandes sont entendues, si nous savons les formuler de manière à être entendu.

     

    Sublimer notre demande, renouveler notre requête, et l’agrémenter de dons et d’offrandes est une belle manière de faire passer nos messages.

     

    Rituel des souhaits

     

    1/ Ecrire une prière 10 fois en accompagnant chaque prière de votre souhait. Choisir un joli papier, et un crayon doré, argenté, ou une couleur qu’il  vous plait d’écrire. Cela peut-être à la plume pour certain. L’exercice ne doit pas être fait en quatrième vitesse, mais avec une attention toute particulière et dans la tranquillité d’esprit. Placez-vous dans la prière, dans l’amour et dans le contentement. Ne voyez pas juste votre objectif, mais également le chemin qui vous conduit à cet objectif.  Peut importe combien de temps vous mettez pour écrire cette prière 10 fois de suite.  L’’essentiel est d’aller jusqu’au bout de l’exercice. Quand vous aurez terminé, vous devez faire un rouleau avec les dix prières, les relier entre elles avec un fil rouge et les planter dans la terre. N’oubliez pas de remercier la terre de sa participation active à la réalisation concrète de vos objectifs. La création est un « ensemble » où vous avez toute votre place, alors « prenez-là ».

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜¯`(*◠‿◠✿)

     

    Exercice du mois

     

    Récitez cette prière 15 minutes tous les matins et tous les soirs pendant 1 mois et voyez ce qui change dans votre vie.

     

     

     

    Être un Cœur Créateur

     

    Exercice de prière Novembre 2014

     

    Dans la demeure de mon cœur

    Je cultive l’Amour Inconditionnel

    Avec des pensées d’abondance

    Je plante les graines de la bienveillance

    Je suis la magie du Cœur Créateur

    Qui réalise tous les souhaits.

     

    Dans la demeure de mon cœur

    Je cultive la bonté

    Avec des pensées d’abondance

    Je plante les graines du partage

    Je suis la magie du Cœur Créateur

    Qui réalise tous les souhaits.

     

    Dans la demeure de mon cœur

    Je cultive la générosité

    Avec des pensées d’abondance

    Je plante les graines de la fraternité

    Je suis la magie du Cœur Créateur

    Qui réalise tous les souhaits.

     

    Dans la demeure de mon cœur

    Je cultive le bonheur de tous

    Avec des pensées d’abondance

    Je plante les graines de la réjouissance

    Je suis la magie du Cœur Créateur

    Qui réalise tous les souhaits.

     

    Dans la demeure de mon cœur

    Je cultive l’unité

    Avec des pensées d’abondance

    Je plante les graines de l’universalité

    Je suis la magie du Cœur créateur

    Qui réalise tous les souhaits.

     

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜¯`(*◠‿◠✿)

     

     

    Que la foi grandisse dans votre cœur

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur Créateur

     

    Exercice de méditation (Novembre 2014)

     

    Exercice méditatif novembre 2014

     

    Exercice sur « l’état méditatif »

     

     

    La méditation est une vertu qui consiste à développer en « soi » un état de détachement profond avec l’extérieur. Il convient d’être dans le recueillement à l’intérieur de « soi » afin de comprendre « qui nous sommes » exactement tout au fond de nous-mêmes. Pour se faire, nous devons nous couper de tout ce qui est extérieur, en effectuant un retournement sur « soi ». Puis nous nous servirons de tous nos outils de perception que sont nos sens, comme la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher, le goût, et nous les développerons dans l’autre sens, c'est-à-dire dans le sens intuitif et sensoriel. Comprendre la nature de l’être que nous sommes est une nécessité fondamentale, un voyage aux découvertes fantastiques, une quête identitaire indispensable à notre évolution. Lever les mystères cachés sous le verni de notre mental est un exercice de l’esprit. Savoir appréhender notre nature humaine, comprendre nos modes de fonctionnement, apprendre à lâcher-prise et à faire confiance, développe notre sagesse. Cette quête est décrite comme « l’état méditatif ».

     

    Ouvrir son espace méditatif n’est pas seulement réservé aux grands sages érudits. Nous pouvons faire cet exercice seul chez nous, en nous réservant un espace propre à cet effet. Le temps et les moyens que nous utiliserons pour développer notre pratique seront en fonction de la disponibilité de chacun. Sachez seulement qu’entrez en « soi » et comprendre sa nature profonde intrinsèque où « pure conscience » nécessite un certain investissement de notre part, comme de la régularité, de la concentration et de la rigueur. Notre volonté sera également mise à rude épreuve aussi, car l’état méditatif est un voyage qui peut durer une vie entière, voir plusieurs vies (réincarnation). L’objectif au départ est le bien-être, puis la récolte s’étoffe au cours du temps et du développement de votre être. 

     

    Le but de la méditation est d’aller au fond de « soi » découvrir notre esprit, notre âme, notre trésor sacré. Cette perle d’Amour est bien cachée sous le plancher de notre maison, c’est pourquoi nous devons descendre en nous pour la faire émerger, pour la sortir des brumes de la matérialité, pour la faire briller de ses mille feux sacrés. Notre beauté s’est terni au contact de la matière, elle doit retrouver son origine.

     

    Méditer consiste donc à devenir le témoin de notre vie en observant nos pensées, nos réactions, nos émotions, nos sensations, nos ressentis. Notre personnalité extérieure, celle que nous sommes dans la vie et la personne que nous sommes à l’intérieure, celle que nous sommes en « vraie ». Elles doivent se trouver et se rejoindre pour s’unir. C’est aussi simple que cela. Notre unité en dépend, notre bien-être et notre bonheur aussi. La souffrance est souvent le résultat  d’un écartèlement entre notre nature profonde et l’image que nous sommes extérieurement. Pourtant, il doit y avoir « congruence » entre elles, voir une certaine « assimilation », pour que le bien-être émerge enfin et que l’harmonie s’installe. Mais quand l’état méditatif est acquis dans toute sa majesté, l’être respire la liberté, le silence, et l’harmonie. L’ouverture d’esprit est une sensibilité qui affiche son bien-être, sa beauté, et son ardeur en toute vérité. Cela est la « pure conscience ».

     

     

    Exercice pratique

     

    Apprendre à s’installer dans « l’esprit méditatif », à être « soi », en retournant ses sens en « soi », en vue d’être en harmonie avec « sa nature profonde ». Réaliser cet exercice méditatif tous les jours pendant 1 mois.

    1. Ajuster votre coussin de méditation afin d’être installer relativement droit et détendu. Vos mains sont rassemblées délicatement sur vos cuisses, main droite dans la main gauche, les deux pouces se touchent.  Relâchez vos épaules afin que votre poitrine soit dégagée. Ajustez l’angle de votre tête pour que la nuque soit détendue. Votre menton sera légèrement rentré. Fermez délicatement les yeux.  
    2. Apprenez à vous concentrer sur le moment présent. 
    3. Respirez doucement et profondément 3 fois de suite. Maintenant, votre respiration est calme, régulière, douce et apaisée.  
    4. Ressentez votre corps pour mieux vous en détacher. Ressentez sa masse, sa lourdeur, sa gravité. Prenez « conscience » des endroits du corps qui font corps avec la terre. Laissez votre corps se détendre complètement. Vous n’avez plus aucun effort à faire, les tensions se relâchent complètement, votre corps prend son espace et devient UN avec la terre mère nourricière. Ainsi, il se ressource grâce à cette connexion. 
    5. La terre mère nourricière vous recharge en énergie. Ressentez votre énergie qui augmente, votre vitalité qui s’intensifie, votre bien-être qui s’éveille à la vie. Votre sang circule bien, votre corps est chaud, votre santé est ardente, votre cœur rayonne de lumière, votre énergie circule harmonieusement.  
    6. Concentrez-vous sur votre cœur, sur ses battements qui vous maintiennent en vie. Essayez de suivre ce rythme, d’être complètement à l’écoute de cette vie qui est « vôtre ». Juste être très attentif à votre « nature profonde » en suivant votre rythme cardiaque. Suivez sa force, sa régularité, sa profondeur. Soyez ce cœur qui bat à l’unisson.
    7. Quand votre « timer » sonne, essayez de maintenir cet « état méditatif ». Restez en « vous », levez-vous en douceur et faites vos autres choses, tout en demeurant « pleinement en vous » le plus longtemps possible.

     

    Continuez cet exercice pendant 15 minutes minimum. Puis augmentez de 5 minutes chaque semaine. A la fin du mois, vous atteindrez les 30 minutes et vos sens auront décrochés avec l’extérieur. 

     

     


     

    Très bonne méditation 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté 

       

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images 

      

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice « Conscience» (Novembre 2014)

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice Maitri Novembre 2014

     

    C’est en prenant Conscience de la force du Maître, que nous prenons Conscience de la souplesse d’esprit. 

       

    Actuellement et de tous temps, un Maître ou Instructeur qui travaille avec son élève, exerce sur lui une pression pour développer sa souplesse d’esprit et favoriser son lâcher-prise. Il sait que toutes les souffrances sont dues aux résistances, aux  tensions, aux attachements et aux multiples oppositions qui structurent chaque individu. En guidant l’initié sur la voie de la flexibilité mentale, souvent pour tester  sa résistance face à l’adversité,  le Maître conduit celui-ci sur la résolution de ses maux existentiels.  La souplesse d’esprit est une grande qualité aujourd’hui, car elle contribue aux nombreuses mutations que traverse l’être dans son évolution. Quand celui-ci possède une flexibilité d’esprit élargie, il s’adapte en permanence à tous les défis de l’existence, avec facilité et légèreté.  Que ceux-ci soient inattendus ou inespérés, provoqués ou imposés, violents ou subtils, il reçoit toutes ses particularités avec le même état d’âme. Au contraire, un manque de souplesse d’esprit donnera lieu à de nombreuses « peurs » et engendrera de nombreux conflits. Chaque exercice proposé par le Maître ou l’enseignant au travers de sa pédagogie  accroît l’ingéniosité et la malléabilité du disciple.  La qualité de soumission est une finesse d’esprit, une vertu élastique et subtile, un tunnel pour passer en dessous de certaines contraintes existentielles avec beaucoup d’adresse. 

      

    L’univers est notre Maître, au travers de nos parents, nos amis, et toutes les personnes que nous rencontrons chaque jour, parce que nous nous enrichissons de chaque expérience. Avoir une belle souplesse d’esprit, c’est accepter les leçons de vie, qu’elles soient agréables et porteuses de joies, de bonheurs et d’avancements ou désagréables est porteuse de difficultés, d’efforts, et d’affranchissements. Savoir accepter les défis sans se plaindre, affronter l’adversité sans discriminer, et utiliser ses moins pour les transformer en plus est de l’ordre de la force de l’adaptabilité.  Être flexible et obéissant devant les ordres de la vie, c’est s’éviter bien des malheurs. Avoir de l’adresse pour répondre favorablement aux impératifs à chaque instant, c’est être un virtuose qui relève invariablement son quotidien. Une aisance faite de sveltesse et d’agilité, qui bondit pour s’attaquer au travail avec un cœur chargé de positivisme. La force du Maître accroît notre souplesse d’esprit, comme un arc tendu à l’extrême, pour la faire jaillir au bon moment. Il est celui sur lequel notre « confiance » se pose pour grandir. Plus le Maître est adroit et précis dans son enseignement, plus l’adaptabilité du disciple est renforcée. Plus le maître est stable et immuable dans sa pédagogie, plus l’aspirant s’élève et grandit avec confiance. Plus le maître est détaché avec ce qu’il prône, plus l’adhérent se sent libre et respecté dans son évolution vers l'autonomie.

     


     

    Exercice

     

    Prendre conscience des choses est un exercice pour ouvrir notre esprit sur des choses qui lui sont totalement étrangères. Mais cette ouverture peut se produire de multiples façons. Parfois cette prise de conscience est facile et salutaire,  mais la plupart du temps, elle est difficile et obligatoire.  Notre conscience individuelle ou collective à parfois besoin d’éclaircissements violents pour résoudre les adéquations de la vie. Il faut dire que la conscience n’est pas dualitaire mais qu’elle essaie toujours de trouver l’unité dans toutes les circonstances.  En préparant notre conscience, en la guidant sur le chemin de la découverte et de l’évolution, en l’aidant avec des exercices appropriés, nous l’éduquons. Ainsi les prises de consciences deviennent beaucoup plus douces, et beaucoup plus adaptés à notre mode de vie.

     

    Voici les questions

     

    Lisez toutes les questions et laissez les agir en vous pendant quelques jours. Puis, faites un résumé de 10 lignes minimum pour répondre à chaque question.  Laissez mariner quelques jours, puis relisez-vous, pour comprendre ou vous en êtes, dans la prise de conscience de cet exercice. Vous pouvez refaire cet exercice dans quelques mois, pour voir ou en est votre évolution. Quand on ouvre une porte à l’esprit, il continue sa progression dans toute la pièce, souvent à notre insu.   

     

    1/ Avez-vous déjà reçu un enseignement par un Maître ou par un instructeur ? Si oui, expliquez votre expérience ? Si non, souhaiteriez-vous apprendre avec un Maître ? 

     

    2/ Pensez-vous avoir une grande souplesse d’esprit ? Donnez des exemples pour conforter votre position ?

     

    3/ Pensez-vous que la qualité de soumission est une vertu ou un handicap ? Pourquoi ?

     

    4/ Acceptez-vous facilement les leçons que vous fait la vie ou restez-vous figés dans une rancune explosive ?

     

    5/ Que pensez-vous de cette maxime « la vie est le plus beau des apprentissages » ?

     


     

    Très bon travail 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté  

      

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images 

      

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Méditation du premier quartier du 1er octobre 2014 :  de 21h à 22h (heure Française)

    Pour atteindre à cet état, le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres, des choses et de l’univers tout entier, prend connaissance du fonctionnement intérieur de la Conscience Individuelle. Tout d’abord et pour commencer, le méditant prend conscience que son corps n’est qu’une enveloppe temporelle, dans laquelle sa propre nature s’exprime en utilisant son mental. Rapidement, il prend Conscience intérieurement, aussi bien qu’extérieurement, des aspects négatifs, des aspects positifs et des aspects neutres, présent en lui et dans chaque objet d’observation. Il prend note mentalement que c’est encore avec son mental qu’il compare, place telle ou telle autre chose par catégories de convenances. Afin de façonner son « naturel »,  il cherche des solutions pour peaufiner, améliorer et équilibrer ses capacités. C’est donc sa « nature primaire » qui est « le fouet », qui donne la cadence et la direction, soit vers un asservissement par trop d’attachement, soit vers une délivrance progressive par le détachement.  Mais c’est « son mental » qui guide son cœur c'est-à-dire « sa nature primaire » et celle-ci qui effectue. Cet ensemble représente la machinerie et afin qu’elle s’active définitivement, intervient à ce moment précis et presque« miraculeusement » si je peux me permettre « la respiration ».

     

    Au départ, le corps n’a pas de Conscience,  il n’est qu’un amas de matière. Alors le Divin dépose à l’intérieur de lui, la trinité Divine, une parfaite représentation de lui-même. Dans le corps, il dépose le « souffle vital », le feu du principe de vie ou ego instinctif. Dans le mental, il dépose« la pensée », le feu de l’intellectuel et de la discrimination ou ego intellectuel. Dans le cœur, il dépose notre « nature propre » (notre « manière d’aimer » ou elle en est au moment de la naissance). C’est le joyau « feu de  l’amour » ou étincelle Divine. Ainsi équipé, le méditant de la Conscience Universelle fait de « sa vie » un champ d’application, ou les moyens d’actions sont « sa puissance ou force », et la recherche de la connaissance est « son guide ». En pratiquant l’ascèse et la méditation, le méditant de la Conscience Universelle va chercher l’élément « Éther» contenu en abondance dans le Divin, pour élever sa Conscience Individuelle vers la Conscience Universelle, faisant de cet élément son « Soi ».

     

    Voir lien vers cette page pour lire le sujet complet de la méditation Vijranavadin du mois (MCU du mois):

    http://veronique-arlette.eklablog.com/mcu-du-mois-c25232876

     

    Très bonne méditation 

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Module proposition d’étude de texte sacré (Octobre 2014)

     

    Les quatre incommensurables (partie 2)

     

    Texte Sacré Octobre 2014

     

    La joie et l’égalité d’âme sont des joyaux incommensurables

     

    Les quatre incommensurables sont quatre qualités de l’esprit, ou sentiments du cœur, qui peuvent être développées indéfiniment. Quand ses qualités deviennent immenses, elles deviennent des vertus.  Aussi profondes que l’océan primordial dans lequel nous baignons, qu’elles soient cultivées sans intention de quoi que ce soit, ou avec le souhait d’aider les autres, elles favorisent toutes les quatre, une renaissance dans le monde de Brahma, avec des conditions de vie qui seront de plus en plus favorables. Si elles sont développées avec une intention soutenue, de mener tous les êtres sensibles vers la libération ultime, alors elles en deviennent « incommensurables » et conduisent l’être vers l’éveil complet. Ses émotions positives très particulières favorisent le développement de l’être. En décuplant avec rapidité son avancement sur la voie, elles éclairent l’observation de l’étudiant et sa vision des choses se modifie, produisant des changements importants au cœur de son être. Les quatre incommensurables sont des qualités très favorables qui dévoilent une spiritualité emplie de Sagesse.  Pour devenir de plus en plus positif, être porté par une vague ascensionnelle, grandir et s’affranchir de tous les miasmes matériels, ses richesses du cœur sont à considérer comme des trésors enfouis. 

     

    Les quatre incommensurables sont : La bienveillance, la compassion, la joie et l’équanimité ou égalité d’âme. La bienveillance et la compassion ont été expliquées le mois dernier. Maintenant voici la joie et l’équanimité.

     

    3/La troisième Brahma Vihara est la joie sympathique ou joie altruiste. Cette attitude saine consiste à se réjouir des réussites, du bonheur, et des belles qualités dégagées par les autres êtres. Une joie profonde trouve son nectar dans le bien-être des autres plutôt que de nourrir des pensées envieuses et jalouses à leurs égards. Il convient d’être heureux de leur bonheur et de partager leurs plaisirs avec une joie intense. Quand nous voyons d’autres personnes heureuses, nous devions être heureux nous aussi. Pourtant, ce n’est pas toujours le cas. Il y a souvent un sentiment de jalousie ou d’injustice qui se soulève en nous. Nous souhaiterions presque, avec un brin de cynisme, que les mésaventures s’acharnent sur eux….. ! Ce sentiment est naturel mais il  occasionne en nous une prise de conscience importante. Nous devons faire l’effort d’aller contre cette mauvaise tendance. En nous  obligeant à réagir favorablement au bonheur et à la joie des autres, nous participons à notre bien-être et au bien-être collectif. Si nous ne sommes joyeux, que lorsqu’il nous arrive personnellement quelque chose de « bon »,  alors nous limitons nos moments de bonheur, nos instants de joies, et nos temps de satisfactions. Alors que si nous partageons les joies des autres, nous sommes continuellement aspirés dans le bonheur tout court.  La joie sacrée se définit par le souhait que tous les êtres connaissent le bonheur parfait dénué de toute souffrance. Cette réjouissance devant le bonheur général est une joie salvatrice. La joie sympathique est un antidote puissant contre toute forme de jalousie. En nous réjouissant du bonheur des autres, de leurs qualités, de leurs vertus, de leurs bonnes actions, de leurs possessions, et de leurs réussites, nous souhaitons que ce bonheur s’amplifie encore et encore. Cette joie nous délivre de l’envie, de la compétition et du dénigrement. Au fur et à mesure de ce travail sur la joie, celle-ci augmente et devient incommensurable quand elle est contemplative. Malheureusement, Il est vraiment difficile de trouver la joie, quand les circonstances sont particulièrement difficiles. Par exemple, quand quelqu’un que nous aimons meurt, ou que la guerre fait rage tout autour de nous, ou encore que l’agressivité domine un peu partout, nous avons beaucoup de mal à avoir envie de réjouissances ! Comment pourrions-nous trouver une satisfaction heureuse, avec des individus qui se comportent mal, qui sont beaucoup plus portés à persécuter, à blâmer, et qui trouvent leur plaisir dans la méchanceté ? Il faut beaucoup de caractère, de force intérieure et de volonté, pour aller chercher cette joie tout au fond de notre être. Grâce à la patience, et à la bienveillance, nous pouvons attendre des jours meilleurs pour solidifier notre structure et avancer sur le chemin du sourire, puis de la joie nouvellement retrouvée. Parfois la joie des autres est comme un remède sur nos plaies, elle est contagieuse, nous sort des ornières et nous éclabousse agréablement.  La joie sympathique est une bonté qui se partage généreusement, un tissu social qui lie les genres entre eux, et une excellente manière de faire connaissance avec les autres. Le contraire de la joie est le chagrin, la tristesse, et l’abattement. Il y a deux ennemis à la joie. L’euphorie qui est un attachement excessif à la satisfaction des expériences plaisantes. Et l’envie qui nous fait détester les joies et les bonheurs des autres.  Soyons donc vigilant à être toujours prêt à recevoir la joie des autres en nous. Soyons « heureux » de percevoir le côté plaisant des choses, le côté positif des autres,   et le côté distrayant et agréable de l’existence.

     

    4/ La quatrième Brahma vihara est L’égalité d’âme ou équanimité : L’équanimité est une valeur fondamentale qui consiste à considérer chaque créature avec le même regard. L’égalité d’âme est la source de la non-violence. Elle est également la source du végétarisme. Elle est surtout une disposition affective de détachement et de sérénité à l’égard de toute chose, de toute sensation, que cette chose soit bonne ou mauvaise. L’équanimité est essentiellement la résultante d’une pratique spirituelle importante, l’acceptation de soi-même, des circonstances, et du bien fondé de la vie. Le fruit du lâcher-prise progressif est guidé directement vers un apaisement intime de l’être.  Mais cette impartialité n’est pas de l’indifférence ou de la passivité. Seulement, l’équanimité  à beaucoup de  recul et une vision compréhensive des autres. L’égalité d’âme « voit » la totalité de la perfection de l’Univers, et cette sagesse l’oblige à contempler le « tout » d’une manière indifférenciée. Dans ce regard,  il y a une acceptation complète de ce qui est au moment même ou cela est, sans souci d’autre chose. Une large pièce de bienveillance soutient l’égalité d’âme, un peu comme si tout était indiscutablement à sa place, et que chaque partie du puzzle avait droit à la même chose, dans un souci d’unité parfaite. L’ouverture d’esprit est claire, précise et circonspecte. Elle ne désire rien changer, et n’essaie même pas de contrôler quoi que ce soit. Juste elle est en totalité. Il n’y a pas de résistance, aucune lutte, pas de rejet non plus, aussi bien, devant ce qui est agréable que devant ce qui est désagréable. En accueillant en soi, toutes les circonstances de la vie, l’équanimité ouvre son cœur à tout l’univers. Parce qu’elle ne peut pas changer celui-ci, elle accepte ce fait et décide consciemment que c’est elle qui doit se modifier. L’égalité d’âme est l’alternative d’une grande souplesse d’esprit. Elle sait comprendre intuitivement pourquoi, comment, quand et ou agir rapidement avec une fraîcheur renouvelée et  une présence d’esprit rapide. Parce que tout est impermanent dans ce monde et que rien ne saurait durer, elle choisit la paix du cœur, la stabilité de la pensée, et la simplicité de l’unité. En pratiquant le lâcher-prise elle relâche toutes les tensions et s’harmonise avec le « tout ». En étant conciliante, elle s’unifie avec les êtres et avec l’univers. En permettant aux choses d’être ce qu’elles sont, elle ressent un très grand bien-être et une grande paix intérieure. Quand l’équanimité domine chez quelqu’un, chaque instant qu’il vit est un instant normal en soi. La personne est arrivé à un stade ou tous les moments sont appréhender de la même manière. Cet être sait très bien que dans une journée, il y aura de tout, des moments de joie, des moments de fatigue, des moments de tristesse, des moments de tranquillité, des moments de tension, des moments de pure harmonie, des moments de tendresse, bref des moments de toutes sortes. Mais il sait très bien que ceux-ci ne dureront pas, alors ils les regardent passer sans s’y arrêter. C’est cela être équanime, regarder la vie avec beaucoup de détachement. C’est laisser passer les airs de musique sans vouloir les écouter 100 fois, ne pas s’arrêter sur un moment de vie particulièrement agréable en souhaitant qu’il dure toute la vie, ou essayez de fuir un moment de profonde tristesse en disant qu’on a jamais de chance. Parce que tous ses moments sont tout simplement passagers et qu’il est impossible de les contrôler.  Nous ne pouvons pas faire surgir les choses parce que nous les souhaitons ardemment, nous ne pouvons pas nous débarrasser rapidement des choses difficiles, mais nous pouvons être ouverts au « tout » de l’instant présent sans parti pris. Avec une pratique correcte, l’équanimité s’affine car la sagesse et la compréhension émergent tout naturellement. Une motivation sincère, un désir d’être captivé par l’instant présent, un sens de l’observation dans la retenue, une grande patience pour arroser généreusement ce travail d’intériorité, beaucoup d’amour envers les autres, alors l’intuition pourra surprendre en offrant ses meilleurs atouts. Quand toutes ses qualités sont pleinement développées, l’esprit devient lumineux, pur et léger, la joie surgit à chaque instant, la liberté s’envole  vers une paix réelle,  faite d’équilibre et d’harmonie en soi. Et personne ne peut venir déranger cette égalité d’âme parfaite.

     


     

     

    L’étude des textes sacrés est le véhicule de la compréhension.

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯ •°*”˜”*°•.¸ 

     

    Très bon travail

    Par l’étude le disciple oriente son esprit dans la bonne direction, celle de la sagesse suprême. 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Module apprentissage de la charte d’éthique (Octobre 2014)

    Charte d'éthique octobre 2014

     

     

    Le Maitriyo est un code moral de conduite personnelle et de base spirituelle pour toute personne qui s’engage sur la Voie de l’Amour Fraternel. Que ce soit par adhésion à cette éthique ou tout simplement pour évoluer en conscience, ou encore pour solidifier une pratique spirituelle,  le « Maitriyo » est une référence incontournable.

     

    Cette charte d’éthique  comporte 19 vertus morales à développer, que chaque adhérent est tenu d’observer dans sa pratique quotidienne.  Tous les membres qui adhèrent, s’engagent à respecter ce code comme éthique, en famille, avec leurs amis, et dans tous leurs rapports de vie. Ils doivent faire preuve d’Amour Fraternel envers toutes les races, toutes les ethnies, et toutes les religions, sans discrimination, dans le respect, la joie et la bonne humeur.

     

    Le Maitriyo est perpétué par tous les êtres qui développent des qualités fraternelles, par les adhérents et toutes les personnes désireuses d’avancer sur la  voie de l’Amour Fraternel et de la Paix. Chaque personne qui adhère à ce code devient un ambassadeur du Maitriyo et porte « le bracelet de distinction » en signe d’adhésion.

     

    Code moral du Maitriyo 

     

    1/ L’Amour Fraternel est le plus pur des sentiments humains

    2/ La bienveillance  est la richesse du cœur

    3/ La bonté se dévoue pour être généreuse

    4/ La convivialité sereine est un partage harmonieux

    5/ La sincérité affectueuse exprime ses sentiments sans artifice

    6/ La confiance mutuelle est une conquête de chaque instant

    7/ La politesse est une vallée respectueuse et impartiale

    8/ L’aide et l’entraide s’aident entre elles

    9/ La tolérance est une conquête sur « soi »

    10/ L’égalité des chances est une chance d’égaliser

    11/ La solidarité est l’unité qui fait la force

    12/ La moralité se construit sur l’exemple

    13/ La compréhension est une prise de conscience effectuée en douceur

    14/ La patience prend son temps

    15/ La liberté n’a pas de maître

    16/ L’honneur est une distinction qui cache bien ses trésors

    17/ La méditation cherche son âme dans les profondeurs intérieures

    18/ L’humilité est un écrin de douceur pour l’âme

    19/ L’espoir apaisant réunit chemin et but dans l’instant présent

     

     

    Développement de la cinquième vertu

     

     

    Charte d'éthique octobre 2014

     

     

    5/ La Sincérité Affectueuse exprime ses sentiments sans artifice

     

     

    La sincérité est une vertu philosophique parce qu’elle est le reflet fidèle de tous les sentiments réels. C’est la vérité à l’état pur,  déshabillée de toutes fioritures. L’être qui se dévoile sans peur dans toute son authenticité. Dans une transparence totale, la sincérité s’affiche naturellement. L’intention d’un cœur loyal dans toute la clarté éblouissante des sentiments,  des paroles et des actes. La sincérité n’ajoute rien, ne retranche rien non plus, mais reconnait simplement l’existence de ses propres qualités et défauts. Elle implique le refus total de l’utilisation du mensonge. Elle est une valeur sur, qui témoigne de la vérité absolue. Le contraire de la sincérité est la fausseté, l’hypocrisie, le déguisement, et la mauvaise foi.

     

    Etre Affectueux, c’est être avant tout « aimant » que ce soit par amour ou par amitié. C’est être attentionné à ceux que l’on aime, en choisissant d’être cordial, fraternel, et gentil. Il y a également des notions  de tendresse, de chaleur, et de douceur. Les rapports, échanges et partages se passent avec un désir d’harmonie, et de calme. Être affectueux témoigne d’une disposition bienveillante envers les autres êtres.

     

    La sincérité affectueuse consiste donc à être quelqu’un qui refuse de se mentir, ou de mentir à l’autre. L’être doit apprendre à ne pas déguiser ses sentiments, ni ses pensées et à accepter de reconnaître « qui il est en vérité ». Un peu comme quand il se regarde dans le miroir, s’il souhaite progresser, il doit être capable de voir la vérité. Parce que la première personne avec qui nous devons « être honnête » et véridique,  c’est nous-même. Nous devons être « notre meilleur ami », afin d’être le meilleur ami des autres. Mais cette « vérité » nous pouvons la voir avec affection, avec tendresse, avec respect et parfois même avec humour. Dans le calme et l’harmonie, la sincérité se dévoile, se montre fidèle à elle-même, sans peur d’être moquée, exposée ou trahie. C’est refuser que des fossés se creusent entre ce que l’on est en vérité, ce que l’on pense que l’on est,  et ce que l’on dit que l’on est.

     

    Le contraire de la sincérité affectueuse est la fausseté hypocrite,

    Mais cela peut-être aussi  le bluffeur cinglant, le cabotineur artificiel, le comédien simulateur, le sournois froid et calculateur, le haineux déloyal, le malveillant rusé, l’imposteur astucieux, et tous les déguisements  qui permettent d’abuser les autres pour arriver à ses fins. 

     

     

    Très bon travail

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

      

    Exercice philosophique/symbolique (Octobre 2014)

    Symbolique Octobre 2014

     

     

    Symbolique du miroir

     

    « Il y a une toute petite porte dans le miroir, qui ouvre sur le mystère de l’âme »

     

    Speculum (miroir) à donné le nom de spéculation : à l’origine, spéculer c’était observer le ciel et les mouvements relatifs des étoiles, à l’aide d’un miroir. Sidus (étoile) à également donné considération, qui signifie étymologiquement regarder l’ensemble des étoiles. Ces deux mots abstraits, qui désignent aujourd’hui des opérations hautement intellectuelles, s’enracinent dans l’étude des astres reflétés dans des miroirs. De là vient que le miroir, en tant que surface réfléchissante, soit le support d’un symbolisme extrêmement riche dans l’ordre de la connaissance.

     

    Que reflète le miroir ? La vérité, la sincérité, le contenu du cœur et de la conscience : Comme le soleil, comme la lune, comme l’eau, comme l’or, lit-on sur un miroir chinois du musée de Hanoi, sois clair et brillant et reflète ce qu’il y a dans ton cœur. Ce rôle est utilisé dans les contes initiatiques d’Occident, dans le rituel des sociétés secrètes chinoises, dans le récit de Novalis, Die Lehrlinge zu Sais, dans le poème de Mallarmé :

     

    O miroir !

    Eau froide par l’ennui dans ton cadre gelée

    Que de fois et pendant des heures, désolée

    Des songes et cherchant mes souvenirs qui sont

    Comme des feuilles sous ta glace au trou profond,

    Je m’apparus en toi comme une ombre lointaine,

    Mais, horreur ! des soirs, dans ta sévère fontaine

    J’ai de mon rêve épars connu la nudité !

    (Hérodiade)

     

    Quoique sa signification profonde soit autre, le miroir est également mit en rapport, dans la tradition nippone, avec la révélation de la vérité et non moins avec la pureté. C’est aussi dans la même perspective que Yama, le souverain indo-bouddhique du royaume des morts, utilise pour le jugement un miroir du karma. Les miroirs magiques, s’ils ne sont, sous une forme purement divinatoire, que les instruments dégénérés de la parole de Dieu, n’en possède pas moins une étonnante efficacité dans les diverses formes de Chamanisme – qui utilisent à cet effet le cristal de roche – et aussi chez les Pygmées d’Afrique. La vérité révélée par le miroir peut évidemment être d’un ordre supérieur : évoquant le miroir magique des Ts’in, Nichiren lui compare le miroir du Dharma bouddhique, qui montre la cause des actes passés. Le miroir sera l’instrument de l’illumination. Le miroir est en effet symbole de la sagesse et de la connaissance, le miroir couvert de poussière étant celui de l’esprit obscurci par l’ignorance. La Sagesse du grand miroir du Bouddhisme tibétain enseigne le secret suprême, à savoir que le monde des formes qui s’y reflète n’est qu’un aspect de la Shûnyâtâ, de la vacuité.

     

    Ces reflets de l’Intelligence ou de la parole céleste font apparaître le miroir comme le symbole de la manifestation reflétant l’Intelligence créative. Il est aussi celui de l’intellect divin réfléchissant la manifestation, la créant comme telle à son image. Cette révélation de l’Identité et de la Différence dans le miroir est l’origine de la chute luciférienne. Plus souvent elle est l’aboutissement de l’expérience spirituelle la plus haute. Ainsi dans Saint Paul et chez de nombreux spirituels chrétiens et musulmans. Le cœur humain, miroir reflétant dieu, s’exprime par exemple chez Angelus Silesius ; le miroir du cœur reflète, chez les bouddhistes, la nature de Bouddha ; chez les taoïstes, le Ciel et la Terre.

     

    L’intelligence céleste reflétée par le miroir s’identifie symboliquement au soleil : c’est pourquoi le miroir est souvent un symbole solaire. Mais il est aussi un symbole lunaire, en ce sens que la lune, comme un miroir, reflète la lumière du soleil. Le miroir solaire le plus connu est celui du mythe japonais d’Amaterasu : le miroir fait sortir la lumière divine de la caverne et la réfléchit sur le monde. Dans le symbolisme sibérien, les deux grands miroirs célestes reflètent l’univers, reflet que le chaman capte à son tour à l’aide d’un miroir. Le reflet de la perfection cosmique s’exprime également dans le miroir de Dévî et, au second degré, dans celui des Sarasundarî, qui sont ses messagères. Dans la tradition védique, le miroir est le mirage solaire des manifestations ; il symbolise la succession des formes, la durée limitée et toujours changeante des êtres.

     

    Forme après forme ;

    La forme propre on la trouve partout :

    Indra par ses magies, a maintes formes :

    Mille coursiers sont attelés pour lui !

    (Rig Véda, Grhyasutra 1, 6).

     

     La réflexion de la lumière ou de la réalité n’en change certes pas la nature, mais elle comporte un certain aspect d’illusion (la saisie de la lune dans l’eau), de mensonge à l’égard du principe. Il y a identité dans la différence, disent les textes hindous : la lumière se reflète dans l’eau, mais en fait ne la pénètre pas ; ainsi fait Çiva ; Ainsi la spéculation n’est-elle qu’une connaissance indirecte, lunaire. Par ailleurs, le miroir donne de la réalité une image inversée : Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, dit la table d’Emeraude hermétique, mais en sens inverse. La manifestation est le reflet inversé du Principe : c’est ce  qu’expriment les deux triangles inversés de l’hexagone étoilé. Le symbole du rayon lumineux se réfléchissant à la surface des eaux est le signe cosmogonique de la manifestation ; c’est Purusha agissant sur la passive Prakriti, le ciel vertical sur la terre horizontale. Toutefois, cette passivité, qui reflète les choses sans être affectées par elles, est, en Chine, le symbole de la non-activité du Sage.

     

    Symbole lunaire et féminin, le miroir est encore en Chine le symbole de la reine. Le miroir prend le feu du soleil. Il est par ailleurs le signe de l’harmonie, de l’union conjugale, le miroir brisé étant celui de la séparation (la moitié brisée du miroir vient éventuellement, sous la forme d’une pie, rendre compte au mari des infidélités de la femme). L’animal nommé p’o-king, ou miroir brisé, est en relation avec les phases de la lune ; l’union du roi et de la reine s’effectue lorsque la lune est pleine, le miroir reconstitué en son entier.

     

    L’utilisation taoïste du miroir magique est assez particulière : révélant la nature réelle des influences malfaisantes, elle les éloigne, les protège contres elles. Aussi place t-on, de nos jours encore, au dessus de la porte des maisons, un miroir octogonal portant les huit trigrammes. Le miroir octogonal -  qui est sans doute d’harmonie et de perfection dans le cas d’Amaterasu –est, en Chine, intermédiaire entre le miroir rond, (céleste) et le miroir carré (terrestre). Le reflet de l’homme ne lui est pas seulement rendu par le bronze poli où l’eau dormante ; témoin, ce texte des annales des T’ang utilisé par Segalen : L’homme se sert du bronze comme miroir. L’homme se sert de l’antiquité comme miroir. L’homme se sert de l’homme comme miroir. Au Japon le Kagami, ou miroir est un symbole de pureté parfaite de l’âme, de l’esprit sans souillure, de la réflexion de soi sur la Conscience. Il est aussi symbole de la déesse solaire (Amaterasu-Omi-Kami). Il y a un miroir sacré dans beaucoup de sanctuaires shintoïstes, comme il y a un crucifix dans les églises. C’est l’un des grands attributs du trône. Dans le Palais Impérial, le miroir sacré est conservé dans un bâtiment spécial.

     

    L’emploi du miroir magique correspond à l’une des plus anciennes formes de divination. Varron dit qu’elle venait de Perse.  Pythagore, selon une légende, avait un miroir magique qu’il présentait à la face de la lune, avant d’y voir l’avenir, comme le faisaient les sorcières de Thessalie. Son emploi est l’inverse de la nécromancie, simple évocation des morts, car il fait apparaitre des hommes qui n’existent pas encore ou qui accomplissent une action qu’ils n’exécuteront que plus tard.

     

    En vertu de l’Analogie eau-miroir, on rencontre fréquemment l’utilisation magique, chez les Bambaras, par exemple, de fragments de miroirs dans les rites pour faire venir la pluie.

    Le miroir, de même que la surface de l’eau est utilisé en divination, pour interroger les esprits. Leur réponse aux questions posées s’y inscrit par réflexion. Au Congo, les devins utilisent ce processus en saupoudrant le miroir – ou la surface d’un bol d’eau – de poudre de kaolin ; les dessins de la poudre blanche, émanation des esprits, leur livrent la réponse. En Asie centrale, les chamans pratiquent la divination par le miroir, en dirigeant celui-ci vers le Soleil ou la Lune, qui sont censés être eux aussi des miroirs, sur lesquels se reflète tout ce qui se passe sur la terre. En outre, les costumes chamaniques sont fréquemment ornés de miroirs, qui réfléchissent les actions des hommes ou encore protège le chaman (pendant son voyage) contre les dards des esprits méchants. Après avoir chamanisé, le magicien doit parfois faire dans ces boucliers un nombre de rayures égales à celui des flèches qui les ont atteints.

     

    Le thème de l’âme considérée comme miroir, qui se trouve ébauchée par Platon et par Plotin, à été particulièrement développé par saint Athanase et par Grégoire de Nysse. Selon Plotin, l’image d’un être est disposée à recevoir l’influence de son modèle, comme un miroir. Suivant son orientation, l’homme en tant que miroir reflète la beauté ou la laideur. L’important consiste tout d’abord dans la qualité du miroir, sa surface doit être parfaitement polie, pure, pour obtenir un maximum de reflet. C’est pourquoi, selon Grégoire de Nysse,  comme un miroir, lorsqu’il est bien fait, reçoit sur sa surface polie les traits de celui qui lui est présenté, ainsi l’âme, purifiée de toutes les souillures terrestres, reçoit dans sa pureté l’image de la beauté incorruptible. C’est une participation, et non un simple reflet : ainsi l’âme participe à la beauté dans la mesure où elle se tourne vers elle (Jean Daniélou, La colombe et la ténèbre dans la mystique byzantine ancienne, Eranos Jahrbuch, 1954 ; Régis Bernard, L’image de Dieu d’après saint Athanase, Paris, 1952).

     

    Le miroir n’a pas seulement pour fonction de refléter une image ; l’âme devenant un parfait miroir participe à l’image et par cette participation elle subit une transformation. Il existe donc une configuration  entre le sujet contemplé et le miroir qui le contemple. L’âme finit par participer de la beauté même à laquelle elle s’ouvre.

     

    Sous des aspects très divers, le miroir est un thème privilégié de la philosophie et de la mystique musulmanes inspirées du néo platonisme. On a dit du miroir qu’il était le symbole même du symbolisme.

     

    L’aspect numineux du miroir, c'est-à-dire la terreur qu’inspire la connaissance de « soi », est caractérisé par la légende soufie du Paon. Le miroir est l’instrument de psyché et la psychanalyse à mis l’accent sur le côté ténébreux de l’âme.

     

    La notion platonicienne des deux faces de l’âme, qui aurait un côté inférieur tourné vers le corps et un côté supérieur tourné vers l’intelligence, a été utilisée par al-Ghazali et a exercé une grande influence chez les Soufis.

     

    Attar dit que le corps est dans son obscurité comme le dos du miroir ; l’âme est le côté clair du miroir. A propos de ces deux faces du miroir, Rûmî explique que Dieu a créé ce monde, qui est obscurité, afin que sa lumière puisse être manifestée.

     

    En vertu de la théorie du microcosme, image du macrocosme, l’homme est l’univers sont dans la position respectives de deux miroirs. De même les essences individuelles se reflètent dans l’Être Divin, selon Ibn’Arabi, et l’Être divin se reflète dans les essences  individuelles.

     

    Par ailleurs, le thème du miroir magique, permettant de lire le passé, le présent et l’avenir, est classique dans la littérature islamique. La coupe de Jamshîd, roi légendaire de l’Iran, est en réalité un miroir. Elle symbolise à son tour le cœur de l’initié.

     

    Le cœur étant symbolisé par un miroir – en métal, jadis – la rouille symbolise le péché et le polissage du miroir sa purification.

     

    Le miroir des fiancés, appelés Ayin-y Bîbî Maryam Miroir de Notre dame marie, est encore utilisé en Perse, en Afghanistan et au Pakistan pour bénir la première rencontre entre le fiancé et l’épousée. Le miroir est suspendu sur le mur du fond de la salle de réunion ; les fiancés doivent entrer par deux portes opposées et, au lieu de se regarder directement l’un l’autre, ils doivent regarder de biais le miroir.  Ce faisant, ils se rencontrent comme au Paradis, voyant leurs visages redressés (l’œil droit à droite), non inversés comme en ce monde ; cette faculté du miroir de redresser’ l’image devient ici symbole des choses, vues selon leur réalité essentielles.

     

    Pour les Soufis, l’univers tout entier constitue un ensemble de miroirs dans lesquels l’essence infinie se contemple sous de multiples formes ou qui reflètent à divers degrés l’irradiation de l’Être unique ; les miroirs symbolisent les possibilités qu’a l’Essence de se déterminer elle-même, possibilité qu’elle comporte souverainement en vertu de Son infinité. C’est là du moins la signification principielle des miroirs. Ils ont aussi un sens cosmologique, celui de substances réceptives à l’égard de l’Acte pur.

     

    Dans une autre acception, enfin, le miroir symbolise la réciprocité des consciences. Un hadîth célèbre déclare que le croyant est le miroir du croyant. Plus la face du miroir de l’âme à été polie par l’ascèse, et plus il sera capable de refléter fidèlement ce qui l’entoure, et jusqu’aux pensées les plus cachées d’autrui. La littérature soufie abonde d’exemples de cette capacité de reflet de l’homme purifié.

     

    (Dictionnaire des symboles-Robert Laffont) 


     

    Exercice

     

    Cet exercice est un travail philosophique pour ouvrir votre réflexion avec ce texte sur la symbolique du miroir. Un entrainement pour vous « observer » vous-même, comme si vous vous regardiez dans un miroir.

     

    L’exercice consiste à faire une retranscription d’au moins une page sur le regard que vous avez sur cette symbolique. Ici les fautes d’orthographes, de français, de grammaire, et autres, n’ont aucune importance, puisque seul demeure l’expérience de l’élève et de son cheminement personnel. Ce n’est pas un exercice intellectuel, mais un exercice pour faire connaissance avec votre « soi ». Soyez vrai avec vous-même, avec votre cœur, avec vos pensées, et avec vos écris. N’essayez pas de mentir, de minimiser, ou d’augmenter, juste d’être vous-même, juste de vous accepter tel que vous êtes. Une retranscription simple et véridique, de « qui vous êtes ». Ce travail vous aidera à faire vraiment connaissance avec vous. Grâce à cette réalisation, vous pourrez aborder « là ou vous en êtes » et avancer avec un plan de restructuration en fonction de vos découvertes.

     

    Voici les questions :

     

    1/ Quelle est la qualité de vos intentions intérieurs vis-à-vis de vous-même ? Est-ce que vous vous aimez? Oui ou non ? Argumentez vos réponses ?

     

    2/ Quelles sont les motivations intérieures que vous déployez pour vous purifier ? Pour vous construire ? Pour vous affirmer dans la vie ? Dressez un plan de vos motivations réelles et imaginaires ?

     

    3/ vos intentions sont-elles nobles ou en voie de le devenir ?

     

    4/ Par quelles sentiments, par quelles pensées et par quelles actions, êtes-vous préoccupé le plus souvent dans votre vie ?

     

    5/ Êtes-vous en accord constant avec votre Conscience ? En bref, avez-vous des choses qui encombrent et obscurcissent votre Conscience ? Dressez-en une liste ?

     

    Conclusion :

     

    Le miroir de la vie est le reflet de votre cœur. Tout autour de vous il n’y a que vos intentions en manifestations. Vos intentions envers vous-même et envers les autres sont « essentielles » pour une parfaite harmonisation de votre « être » avec votre Conscience. Dans l’univers qui vous entoure, vous croisez aussi les intentions des autres. Tous ces miroirs sont-ils purs, purifiés ou déformées ? C’est le challenge quotidien que nous devons relever dans chaque rencontre. Parfois cela se passe très « bien » parce que nous sommes en accord avec nous-mêmes et avec l’autre. Parfois cela se tend, se tord, plie, ou se déforme, parce qu’il y a un reflet qui nous dérange, ou dérange l’autre. Mais la rencontre avec « soi » passe très souvent par les autres, par le reflet qu’ils nous renvient de nous-mêmes. Ce sont les reflets de ce que nous aimons ou pas chez nous. Sur cette porte, sur cette ouverture, est la connaissance de notre « soi ». Mais « qui » est dans le « soi » de l’autre en face de nous ?

     

    Il y a surtout cette toute petite porte entre les deux miroirs, qui ouvre sur le mystère de notre âme, sur le mystère du « soi ». Il y a un « monde infini » entre notre miroir et le miroir de l’autre. Malheureusement, nous passons souvent à côté de ce monde magnifique, de ce monde de bonheur et d’harmonie, ou personne n’a raison ni tord. Cet espace ou l’égo n’existe plus, ou l’être n’est plus préoccupé par l’image qu’il projette, ou seul demeure le plaisir de contempler l’autre dans toute son authenticité. Cette « observation extatique » provoque un tel plaisir qu’il n’y a plus rien à dire, juste contempler la totalité de la vérité absolue.

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯¸.•°*”˜”*°•. 

     

    Que la philosophie dégagée par les symboliques éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière.

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Méditation Vijranavadin

    Être un cœur créateur

    Pleine lune 8 octobre 2014, de 21h à 22h (heure française)

     

    Voici les 4 dates (même heure) pour les méditations d’Octobre 2014, pour les élèves confirmés :

    (Nouvelle Lune le 24 septembre 2014, premier quartier 1er octobre, pleine lune 8 octobre,

    Dernier quartier 15 octobre)

     

    Méditation Vijranavadin Octobre 2014

     

     

    Cette méditation collective et mondiale est ouverte à tous les êtres,  débutants ou confirmés. Peut importe votre religion puisque nous sommes tous frères et sœurs. Peut importe si vous n’êtes d’aucune religion, si votre cœur déborde d’amour, soyez les bienvenus. Elle débute par 30 minutes de préparation (21h à 21h30), puis 30 minutes de méditation (21h30 à 22h). Vous pouvez la raccourcir ou la prolonger si vous le souhaitez et faire des pauses si nécessaire. Dans un souci de purification et de pureté, il est conseillé de s’habiller en blanc, car cette couleur exprime la « pureté » libre de tous les voiles de l’esprit.  Elle s’adresse à tous les êtres sensibles et se pratique  seul ou en groupe, ou que vous soyez sur la planète terre. C’est le simple fait d’être connecter tous ensemble dans un « sentiment d’amour fraternel » au même instant, qui augmente l’envergure de toutes nos possibilités.

     

    L’Amour Inconditionnel, la Bienveillance, le Partage, et la Fraternité sont les outils indispensables à cette méditation. Mais une seule de ces quatre qualités suffit pour entreprendre et participer à cette initiative collective.

     

     Vijranavadin ou Voie de la « Conscience Universelle »

     

    Méditation de la Nouvelle lune du 24 septembre 2014 : Aujourd’hui chers méditants de la « Conscience Universelle », laissez-moi vous parler de la « Conscience Universelle». Lors de notre dernière méditation, nous avons parlé de l’Amour Inconditionnel, et de ses bienfaits à travers chaque souffle, chaque geste, chaque pensée, et chaque activité quotidienne. En écartant de lui, tout ce qui n’est pas dans cette mouvance, le méditant de la Conscience Universelle retourne à la source de l’innocence primordiale. De cette manière, en cultivant et disciplinant son intérieur et son extérieur en même temps, il provoque une réaction énergétique très puissante. Cette énergie s’amplifie au fur et à mesure de son avancée sur la voie, et dissout en lui et autour de lui, tout ce qui est négatif. En se concentrant sur sa « respiration », il rétracte son mental du monde extérieur. En s’identifiant à son « souffle vital », pour s’unir en quelque sorte avec lui, il immobilise ainsi tous ses sens. Travaillant continuellement dans cette direction, sa pensée se réduit de plus en plus. Finalement, elle s’interrompt totalement, laissant place à un état de Conscience qui dépasse l’état de veille, l’état de rêve et l’état de sommeil. Cet état est appelé Turiya. C’est l’état de Pure Conscience, l’état d’Unité avec la Divinité, un état qui transcende la Totalité ou un état plus connu sous le nom de Samadhi Absolu. C’est la contemplation silencieuse de l’Amour contenu dans la totalité. Être « Amour » partout et en tout.

     

    Méditation du premier quartier du 1er octobre 2014 :  

    Pour atteindre à cet état, le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres, des choses et de l’univers tout entier, prend connaissance du fonctionnement intérieur de la Conscience Individuelle. Tout d’abord et pour commencer, le méditant prend conscience que son corps n’est qu’une enveloppe temporelle, dans laquelle sa propre nature s’exprime en utilisant son mental. Rapidement, il prend Conscience intérieurement, aussi bien qu’extérieurement, des aspects négatifs, des aspects positifs et des aspects neutres, présent en lui et dans chaque objet d’observation. Il prend note mentalement que c’est encore avec son mental qu’il compare, place telle ou telle autre chose par catégories de convenances. Afin de façonner son « naturel »,  il cherche des solutions pour peaufiner, améliorer et équilibrer ses capacités. C’est donc sa « nature primaire » qui est « le fouet », qui donne la cadence et la direction, soit vers un asservissement par trop d’attachement, soit vers une délivrance progressive par le détachement.  Mais c’est « son mental » qui guide son cœur c'est-à-dire « sa nature primaire » et celle-ci qui effectue. Cet ensemble représente la machinerie et afin qu’elle s’active définitivement, intervient à ce moment précis et presque « miraculeusement » si je peux me permettre « la respiration ».

     

    Au départ, le corps n’a pas de Conscience,  il n’est qu’un amas de matière. Alors le Divin dépose à l’intérieur de lui, la trinité Divine, une parfaite représentation de lui-même. Dans le corps, il dépose le « souffle vital », le feu du principe de vie ou égo instinctif. Dans le mental, il dépose « la pensée », le feu de l’intellectuel et de la discrimination ou ego intellectuel. Dans le cœur, il dépose notre « nature propre » (notre « manière d’aimer » ou elle en est au moment de la naissance). C’est le joyau « feu de  l’amour » ou étincelle Divine. Ainsi équipé, le méditant de la Conscience Universelle fait de « sa vie » un champ d’application, ou les moyens d’actions sont « sa puissance ou force », et la recherche de la connaissance est « son guide ». En pratiquant l’ascèse et la méditation, le méditant de la Conscience Universelle va chercher l’élément « Ether » contenu en abondance dans le Divin, pour élever sa Conscience Individuelle vers la Conscience Universelle, faisant de cet élément son « Soi ».

     

    Méditation de la pleine lune du 8 octobre 2014 :

    C’est ainsi que le premier « souffle vital » est apparu, que le corps de l’être à été conçu autour de ce souffle, puis qu’il à été mis en mouvement.  Il est la machinerie énergétique qui met en œuvre et maintient la vitalité de tout le corps et de toutes ses fonctions. Dans ce souffle il y a « 5 actions » : La montée appelé Prana, la descente appelée Apana, la rétention appelée Vyana, l’assimilation appelée Samana, et le Son ou bruit appelé Udana. Ce souffle est le commencement, le milieu et la fin de la vie. Sans le souffle de la respiration, la vie n’existe pas. C’est lui qui anime le corps, qui anime l’intellectuel, et qui anime l’esprit ou âme. Grâce à lui, le dispositif se met en route et produit l’énergie (le feu) nécessaire au travail manuel, intellectuel et créatif ou divin. Cette conscience est l’universalité. C’est au moment du tout premier souffle vital, que la marionnette (le corps) s’est emplie de la « Conscience » en prenant vie. Cette première prise de conscience fut triple également. « Conscience instinctive » du corps, « conscience intellectuelle » du mental, et  « Conscience spirituelle » du Divin,  symbolisant ainsi les 3 Consciences de la Trinité. Le souffle vital est un élément très important pour comprendre le fonctionnement de la Conscience. Parce que « souffle vital », « souffle de vie » ou « Prâna » sont le principe de la trinité de la vie. Ces trois termes sont une seule et même désignation de la « vie » depuis le microcosmique de notre ADN  jusqu’au macrocosmique de l’Universalité. La Conscience Individuelle est ainsi mise en mouvement sur la trinité de la Conscience Universelle.

     

    Méditation du dernier quartier du 15 octobre 2014 :

    Ainsi équipé, le méditant de la Conscience Universelle s’active dans son corps semblable à un tour mené par un potier. Ce n’est pas lui qui change le monde mais le monde qui le change. Un apprentissage de l’ego individuel qui se divise pour retourner vers l’ego Universel afin de s’unifier dans la totalité. Pris au piège dans les opposés, le méditant de la Conscience Universelle transmigre continuellement jusqu’à l’absolu de l’unité. En se débarrassant de toute sa « négativité » il allège son véhicule matériel et bascule progressivement dans son véhicule spirituel en développant ses qualités et vertus.  Ainsi, il va changer d’état de conscience jusqu’à devenir UN avec la totalité. Mais avant d’en arriver là, il y a la confusion très largement entretenue par la conséquence de tous ses actes, qui provoque une instabilité, des hésitations, de l’agitation et bien d’autres maux. En allégeant son karma par sa pratique constante il purifie son véhicule de lumière. Grace à sa méditation il s’élève graduellement, et dépasse tous les stades méditatifs de la Conscience Universelle. Inconscience, conscience individuelle et conscience universelle sont forgée ensemble. Une spirale ascensionnelle est en mouvement et rien ne peut l’arrêter.  Quand la boucle est bouclée, l’harmonie est dans « la contemplation parfaite de la totalité». C’est pour cette raison que le méditant de la Conscience Universelle utilise « sa vie » comme un « champ d’application » pour travailler sur les « 3 plans de conscience en même temps ». Afin de satisfaire son « égo instinctif », son « égo intellectuel » et son « égo divin », il met en place des exercices adaptés à ces trois caractéristiques. L’ascèse de la méditation, l’étude des textes sacrés de toutes les religions, et la prière répondent à ces trois plans de Conscience. Les nourritures qu’il ingurgite sont une partie essentielle de cette réussite puisqu’elles symbolisent aussi la trinité. Il s’agit de la nourriture du corps physique, de la nourriture intellectuelle, et de la nourriture spirituelle. En se nourrissant correctement, le méditant nourrit également les trois parties de la Conscience dans leur totalité.

     

    Tout en sachant que

     

    La Conscience Individuelle et Universelle est un sujet très large ou le méditant peut avoir des prises de Conscience très rapide dont l’évolution sera déterminante. Ces explications peuvent sembler compliquées, pourtant elles sont beaucoup plus simple dans la pratique. En travaillant sur les 3 plans de Conscience, le méditant de la Conscience Universelle multiplie sa pratique par trois. L’ère du verseau est une ère faite pour ce méditant et sera pour lui un moyen d’expression important. En s’appuyant sur la moralité d’une éthique, sur l’authenticité de cœur, et sur une bonne hygiène de vie, le méditant avance rapidement dans cette voie. Son esprit « reste fermement ancré » et bien à l’abri dans des influences positives. Que la confiance guide vos pas, que l’amour s’ancre dans votre cœur, et que la foi illumine chaleureusement vos trois consciences.

     

    Sujet de la Méditation

     

    1 / Le méditant prend Conscience de son corps, qui est sujet aux nombreux inconvénients et dégradations du à sa condition. Alors celui-ci le considère comme une « enveloppe temporelle », ou une boite dans laquelle il ne demeurera que pour cette vie et qu’il quittera au moment de sa mort. Ainsi il ne s’attache pas à ce corps, pas plus qu’il n’est nécessaire.

     

    2/ Le méditant prend Conscience du fonctionnement de la respiration. C’est la seule chose que le méditant possède réellement, que tout le monde possède, qui nous est commune, depuis l’être le plus matériel jusqu’aux confins de la spiritualité. L’importance du souffle de vie est un élément déterminant du méditant de la Conscience Universelle. Car il sait que nous recevons tous le même « souffle vital » au départ de cette vie, et tout dépend de ce que nous allons en faire. Le méditant sait que ce plan nous avons tous la « même chance ».

     

    3/ Le méditant prend Conscience que le « moi » pour lequel il se défend becs et ongles n’existe pas. Peut-être n’est-il qu’une illusion, qui perd le méditant, le désoriente, voir le place dans une très grande confusion?  Il y a un tel chaos dans la dualité, un tel désordre dans les couples d’opposés, que le méditant lutte pour rechercher « sa vraie nature ». Une fois qu’il l’a trouvée, il s’y ancre et développe ses qualités et vertus autour de ce point d’ancrage. Sa vie devient alors le « champ d’application » dans lequel il expérimente toutes les expériences qui lui sont données. Sa recherche d’étude est principalement orientée vers la question : le moi existe-il ? En bref, Il développe « l’amour » et son « étincelle intérieure » en vue d’un épanouissement de son bien-être en « soleil radieux ».

     

    4/ Le méditant prend Conscience que la pratique de la méditation est un « remède » efficace pour calmer son corps, apaiser son mental et s’ouvrir sur d’autres dimensions. Le silence est un élément déterminant pour être « lui-même » et la solitude permet au méditant de se familiariser avec son « lui-même » dans une pratique journalière.

     

    5/ Le méditant prend Conscience qu’être positif demande un effort certain. En travaillant avec détermination sur « les trois plans », le méditant avance régulièrement sur la voie. Afin d’honorer son égo instinctif, il nourrit son corps d’une nourriture saine et équilibrée. Afin d’honorer son égo intellectuel, il nourrit sa connaissance d’un savoir saint et équilibré. Afin d’honorer son égo divin, il nourrit son cœur d’actes saints et équilibrés.

     

    6/ Le méditant prend Conscience que le feu qui anime son cœur est un soleil qui agit sur son extérieur. Il recherche constamment l’équilibre afin de ne pas bruler les autres, ou de ne pas exploser dans tous les sens, et encore moins de se laisser éteindre par trop de sentimentalisme. Il prend conscience qu’il tourne comme une horloge biologique au même titre que le soleil, et au même titre que l’Univers. En s’appropriant « cet ordre des choses », il vit en harmonie avec le monde entier, conscient que le temps joue en sa faveur.  Le méditant sait que cet équilibre est partout comme les deux plateaux de la balance, pour pousser l’individu à se réorienter.  En acceptant cette connaissance, le méditant devient plus sage.

     

    7/ Le méditant de la Conscience Universelle, l’observateur des êtres et des choses de l’univers tout entier est un soleil qui brille sur les autres. Il se contente de tout parce qu’il avance vers l’unité. Il pratique le partage, la convivialité, la tolérance, l’amour inconditionnel, et toutes les vertus qui valorisent l’être humain. En pleine contemplation, il œuvre à éclairer les autres vers la bienveillance. Un seul mot de lui est un rayon de soleil bénéfique pour chacun.

     

    Réfléchir sur 

     

    Tout le monde parle de la « Conscience » en ce moment, mais finalement très peu savent exactement de quoi ils parlent. Est-ce que vous avez une idée de ce que représente la Conscience, qu’elle soit individuelle ou universelle ? Est-ce que vous avez  une bonne vision intérieure et extérieure de votre réalité, de la réalité des autres et de la réalité universelle ? Que souhaitez-vous mettre en œuvre, en vous et autour de vous, pour comprendre qui vous êtes réellement ? Est-ce que votre « moi » extérieur est le reflet de votre « moi » intérieur ? Souhaitez-vous « changer » personnellement afin d’améliorer votre vie et de vivre avec authenticité une vie beaucoup plus harmonieuse ? Et qu’êtes-vous prêt à sacrifier pour y parvenir ?

     

    Préparation de 30 minutes juste avant la méditation

     Au choix :

     

    • Penser à quelqu’un que vous aimez d’un Amour non porteur de souffrance.
    • Prier ou lire des versets de textes sacrés pour décrocher avec votre extérieur.
    • Ecouter une musique relaxante pour calmer votre intérieur.

     

    Méditation de 30 minutes

     

    Dans cet exercice nous allons travailler sur la Conscience Individuelle qui se positionne sur la Conscience Universelle.  Les stades sont les mêmes que le mois passé, nous allons développer la respiration du souffle, pour que tout le monde puisse avoir le temps de se positionner sur les pétales du cœur. Révision également du centrage du cœur et enfin …..Centrage dans la Conscience Universelle.

     

    Ici je fais appel à la « Grande Patience » de ceux qui sont « très en avance » et qui souhaite entrer dans « le vif du sujet » de la Conscience Universelle. Rassurez-vous, nous sommes effectivement bien là ou il faut, mais nous devons attendre tout le monde, le temps est parfois un impératif qui compte beaucoup pour certaine chose.

     

    Juste une petite précision avant de commencer :

    Quand je dis « prenez-en Conscience », c’est un peu « observez  ou vous en êtes » et « préparez-vous, à vous ouvrir encore plus grand ».

     

    1/ le corps :

    Installez-vous confortablement le dos bien droit, assis en tailleur ou sur une chaise. Rassemblez vos deux mains sur vos cuisses, mains droite dans la main gauche, les deux pouces se touchent. Fermez délicatement les yeux et détendez chaque partie de votre corps. Quand celui-ci est complètement détendu, observez ce bien-être et « Prenez-en Conscience » !

     

    2 / la respiration :

    Maintenant observez votre respiration. A l’inspire le ventre se gonfle et à l’expire le ventre se dégonfle. Votre pensée observe l’inspire et l’expire de la respiration qui se produit d’elle-même. Votre respiration devient ainsi un objet de votre observation, comme si vous regardiez un film très intéressant. A la montée, vous allez chercher l’air très haut et à la descente, observez votre relâchement. Ressentez la température de l’air à l’entrée de votre bouche, puis ressentez sa chaleur à la sortie. Ecoutez le léger bruit que celle-ci produit. Soyez très attentif, à tout ce qui se passe à l’intérieur de votre système respiratoire. Observez cette belle machine qui fonctionne dans sa totalité. Ce souffle vital existe sans votre intervention et fonctionne tout seul. Vous n’êtes que le témoin de ce souffle vital et de tout son fonctionnement. N’ayez pas peur à cette vision. Libre et dégagé, vous pouvez observez pendant quelques minutes votre respiration et vous installer sur ce « souffle vital réconfortant ».  

    Observez cela pendant quelques minutes et « Prenez-en Conscience ». Dès que vous êtes bien installé sur ce « souffle vital », laissez le respirer tout seul et  en harmonie avec l’Univers et « Prenez-en Conscience ».

     

    3/ la pensée ou l’intellectuel :

    A présent observez le calme de votre pensée, réduite par le « souffle vital » de votre respiration. Votre pensée s’échappe et butine de ci de là, tel un papillon qui passe d’un objet à un autre. Vous devez la ramener chaque fois qu’elle s’échappe et cet exercice est difficile au départ. Mais petit à petit, votre pensée se laisse dompter et séduire par la force avec laquelle vous la réorientez. Votre mental est le « conducteur » et c’est lui qui « commande » et non votre pensée. Chacun sa place, et notre amie la pensée se laisse déposer sur les pétales du cœur ou elle passera un excellent moment. Il faut dire que c’est un endroit hyper romantique ou il fait très bon vivre. Entourée d’amour et de bien-être la pensée se calme.  Prenez conscience de cet amour infini qui vit dans tout votre « être » et, à ce moment précis, vous vous rendrez compte que votre pensée à disparue sous la couette de l’amour infini. Dans l’infini de l’amour « vrai »….la pensée n’existe pas…..c’est le cœur qui « est ». Dès que votre pensée est déposée sur les pétales du cœur « Prenez-en Conscience ».

     

    4/ L’amour :

    Installer confortablement sur la douce vibration harmonieuse de votre cœur, qui aime à l’infini et tout autour de vous, vous ressentez un bien-être absolument Divin. Reliez à la source sacrée par la couronne coronaire, celle-ci vous alimente continuellement de son amour et déborde via votre cœur dans un océan de pureté. Reliez aux autres par l’Amour inconditionnel vous vibrez pacifiquement avec tous les êtres sensibles. GAIA la terre et l’univers tout entier sont ainsi baignés par tout cet amour. « Prenez-en Conscience ».

     

    5/La pureté individuelle:

    Ecoutez votre nature primaire ou corps qui se rythme sur le rythme de l’univers.

    Observez votre respiration qui se rythme sur le souffle vital de l’univers.

    Ecoutez votre cœur qui vibre en harmonie avec l’amour Universel.

    Observez votre étincelle divine cachée au centre de votre cœur qui brille avec le Divin.

     

    6/La pureté universelle :  

    Soyez un soleil qui agit positivement sur les autres au delà du corps,

    Soyez un soleil qui réchauffe les autres au delà du cœur,

    Soyez un soleil qui embrasse au delà de l’étincelle divine.

     

    Maintenant soyez un soleil lumineux qui déverse l’amour tout autour de lui, sans distinction pour celui-ci ou celui-là. Un soleil se lève pour tous, brille pour tous, et donne à tous. Le partage commence ici……… !!

     

    Restez aussi longtemps que vous le souhaitez afin de profiter au mieux de cette haute vibration qui vous achemine doucement et tranquillement vers la nouvelle ère du Verseau, une ère d’amour, de partage et de respect.

     

    Très bonne méditation et au mois prochain.

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur Créateur

     

    Exercice de méditation (Octobre 2014)

     

    Exercice méditatif octobre 2014

     

    Exercice sur « le retrait des sens »

     

     

    Pratiquer le « retrait des sens » c’est apprendre à rétracter son esprit de toutes les activités sensorielles. Il y a nos six sens qui nous aident à vivre notre vie matérielle. L’ouïe, le toucher, le goût, l’odorat ou encore la vision sont nos outils pour percevoir et créer un contact avec notre environnement. Grâce à eux nous nous ouvrons sur autre chose que nous-mêmes. Par nature, nos sens sont toujours à l’affût de nouvelles expériences, de nouvelles informations et de nouvelles perceptions sensorielles. De ces perceptions découlent les sensations dont nous sommes si friands. Nos sentiments, nos émotions, nos pensées puis nos actions et réactions ne sont que la suite fortuite de ce que nous auront perçus au contact de nos sens avec l’extérieur. A force de faire leur travail, nos sens deviennent très « aiguisés » car ils sont continuellement stimulés par ce qu’il se passe extérieurement parlant. Etant en mouvement tout le temps, ils nous donnent l’envie de toujours faire quelque chose. Hors, il est bénéfique pour nous de « lâcher-prise ». Le retrait des sens est donc dans la pratique opposée. Petit à petit, avec un exercice régulier, notre mental va apprendre à relâcher cette stimulation des sens, en décrochant progressivement son adhérence avec l’extérieur. Les cinq sens vont se refermer où plutôt effectuer un retournement vers l’intérieur. Rompre avec l’extérieur offre davantage de concentration et davantage de profondeur. Cela est un peu comme un jeûne des sens, une cure de détachement, où encore une retraite en « soi » salutaire et bénéfique pour nous-mêmes. Le retrait des sens est une étape importante sur le chemin de la méditation. Grâce à cette pratique, le yogi se tourne résolument sur son intériorité pour découvrir tous les trésors qui sont cachés en lui-même.  

     

    Au bout de quelques mois de pratique du « retrait des sens », l’adepte devient de plus en plus autonome et indépendant. Quand la pratique du retrait des sens se réalise, la concentration s’affine davantage et devient beaucoup plus pointue. En apprenant à tenir ses sens sous contrôle, un peu comme une tortue qui retire ses pattes et sa tête à l’intérieure de sa carapace, le disciple apprend à réduire son flux sensoriel avec l’extérieur jusqu’à ce que ceux-ci s’interrompent totalement.

    Exercice pratique 

     

    Apprendre à retirer ses sens progressivement en vue de plus d’autonomie, de plus de concentration, et de plus d’enracinement. Réaliser cet exercice méditatif tous les jours pendant 1 mois.

    1. Asseyez-vous tranquillement et confortablement sur votre coussin de méditation. Détendez-vous complètement quelques minutes. Effectuez 3 longs inspires /3 longs expires. Quand vous êtes installé dans le calme et la tranquillité d’esprit, débutez l’exercice suivant : 
    2. Placez vos mains à plat de chaque côté de votre tête.
    3. Puis, fermez vos oreilles avec vos pouces
    4. Fermez vos yeux avec vos index
    5. Pincer vos narines avec vos doigts du milieu
    6. Appuyez sur vos lèvres avec vos doigts restants
    7. L’exercice consiste à desserrer l’étau de vos doigts pour permettre l’inspiration et l’expiration tout en refermant toujours juste après.  Il convient de bien garder sa « concentration » tout au long de l’exercice. Tout doit être bien synchronisé, quitte à nommer intérieurement chaque étape de l’exercice. Exemple : Je dessers, j’inspire, je resserre, je dessers, j’expire, je resserre, etc.

     

     

    Continuez cet exercice pendant 15 minutes minimum. Puis augmentez de 5 minutes chaque semaine. A la fin du mois, vous atteindrez les 30 minutes et vos sens auront décrochés avec l’extérieur. 

     

    Très bonne méditation 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté  

     

      

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images 

      

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice « Conscience» (Octobre 2014)

     

    Exercice Maitri Octobre 2014

     

     

    C’est en prenant Conscience de l’obscurité des ténèbres, que nous prenons Conscience du besoin de clarté.

     

    Quand nous sommes perdus dans des difficultés relationnelles ou matérielles, ou coincés dans des empêchements d’avancement ou encore que nous sommes bloqués dans des situations sans issue, nous goûtons largement aux délices et saveurs des ténèbres. L’obscurité nous perd, l’espoir s’amenuise, la tristesse nous gagne, et  la dépression nous plaque au sol sans espérance d’un lendemain meilleur. Comme si nous étions un boulet qui chute vers les profondeurs de l’abime et que rien ne pouvait arrêter cette course infernale. Les désirs s’amenuisent, en quittant le navire progressivement, et le dégout affiche ses plus vastes désillusions sur la scène de l’horreur existentielle. Au milieu de cette décadence, tout à coup surgit un besoin de clarté, de lumière, d’une lampe pour aider à y « voir » plus clair. Cette reconnaissance d’avoir besoin de quelque chose ou quelqu’un pour nous conseiller, nous aider, ou encore rallumer notre « foi », stoppe immédiatement l’effondrement. A cet instant précis, nous acceptons en nous-mêmes, notre impuissance à résoudre nos problèmes tout seul. C’est au cœur des ténèbres,  que nous comprenons l’importance de la lumière.  Le bonheur est à ce prix, un immense besoin de bien-être personnel et de tranquillité d’esprit avant tout autre chose. Prendre « soin de soi », avoir besoin de calme et d’un espace pour s’aimer « soi », afin de se reconstruire pour comprendre. Les moments de noirceurs de la vie ont une aube, ou la lumière de la clarté jaillit soudain, laissant derrière elle, toutes les zones d’ombres. Assimiler nos choix et « voir » nos vérités, en pleine  lumière, est un exercice porteur de « prise de conscience majeures ». En prenant conscience de nos fonctionnements, en redonnant un sens à notre vie, en utilisant des outils adaptés, une nouvelle motivation s'installe et redynamise notre énergie vitale en profondeur. La santé s'améliore, la confiance revient, et le bien-être porte vers les cieux. Alors, vivez aujourd’hui, en pleine conscience et en parfait accord avec le sens profond de votre vie. Votre cœur et les trésors qu’il contient sont votre plus beau bagage, alors prenez en soin.  Que la lumière de votre amour intérieur vous guide toujours vers les hauteurs de l'éveil. Namasté. 

     


    Exercice

     

    Prendre conscience des choses est un exercice pour ouvrir notre esprit sur des choses qui lui sont totalement étrangères. Mais cette ouverture peut se produire de multiples façons. Parfois cette prise de conscience est facile et salutaire,  mais la plupart du temps, elle est difficile et obligatoire.  Notre conscience individuelle ou collective à parfois besoin d’éclaircissements violents pour résoudre les adéquations de la vie. Il faut dire que la conscience n’est pas dualitaire mais qu’elle essaie toujours de trouver l’unité dans toutes les circonstances.  En préparant notre conscience, en la guidant sur le chemin de la découverte et de l’évolution, en l’aidant avec des exercices appropriés, nous l’éduquons. Ainsi les prises de consciences deviennent beaucoup plus douces, et beaucoup plus adaptés à notre mode de vie.

     

    Voici les questions

     

    Lisez toutes les questions et laissez les agir en vous pendant quelques jours. Puis, faites un résumé de 10 lignes minimum pour répondre à chaque question.  Laissez mariner quelques jours, puis relisez-vous, pour comprendre ou vous en êtes, dans la prise de conscience de cet exercice. Vous pouvez refaire cet exercice dans quelques mois, pour voir ou en est votre évolution. Quand on ouvre une porte à l’esprit, il continue sa progression dans toute la pièce, souvent à notre insu.

     

    1/ Que représente pour vous les ténèbres, l’obscurité matérielle, intellectuelle, spirituelle ou encore la tristesse et la dépression ?

     

    2/ Avez-vous déjà traversé des difficultés existentielles ou relationnelles ?  Quand, avec qui  et de quelles manières ?

     

    3/ Aviez-vous eu besoin de clarté pour comprendre pleinement la situation ? Vous êtes-vous fait aider ou avez-vous réglé le problème tout seul ? Si vous vous êtes fait aider, par un spécialiste, un membre de la famille ou quelqu’un d’autre, expliquez-votre expérience?

     

    4/ Pensez-vous avoir compris vos ombres et votre lumière intérieure ? Expliquez votre point de vue ?

     

    5/ Prenez-vous soin de vous ? Si oui de quelle manière ? Si non, pourquoi ?

     


     

    Très bon travail 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté  

      

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images 

      

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

      

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

     Exercice de prière (Octobre 2014)

     

    Exercice de prière Octobre 2014

     

    La prière est une méthode active de recueillement. Elle tient en compte la totalité de notre être, aussi bien dans nos dimensions corporelles, que dans nos dimensions intellectuelles où encore spirituelles. Son but est de nous faire entrer dans le temple intérieur de notre cœur, là où réside l’Amour Absolu. Notre cœur est la résidence du Divin mais notre cœur est aussi l’endroit où réside notre essence. A cet endroit la grâce de la foi réside en Maître et permet l’élévation dans les mondes supérieurs, dans les hauteurs spirituelles. Utiliser des outils précis, des moyens concrets et des méthodes faciles est donc une priorité pour ceux qui ont de la difficulté à rester concentré pendant l’apprentissage des prières. Quand le par-cœur est intégré, l’envol se fait tout seul. 

     

    Petit rituel d’apprentissage

     

    1/ L’exercice consiste à lire 6 fois la prière à haute voix, puis à essayer de l’écrire. Ce n’est pas grave s’il manque des morceaux, c’est tout à fait normal, l’apprentissage va d’abord se construire sur des bribes. Conserver la page quand vous avez terminé.

     

     

    2/ Puis relire encore 6 fois la prière à haute voix, et essayez de l’écrire à nouveau.  Comparez avec l’écriture de la page précédente. Voyez vos avancements et félicitez-vous.

     

     

    3/ Puis recommencez la lecture de la prière 6 fois, toujours à voix haute, et essayez de l’écrire, jusqu’à ce que vous arriviez à l’écrire par cœur.

     

    Exercice du mois

     

    Récitez cette prière 15 minutes tous les matins et tous les soirs pendant 1 mois et voyez ce qui change dans votre vie.

     

     

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜¯`(*◠‿◠✿)

     

     

    L’Amour est une source abondante de guérison

     

    Exercice de prière Octobre 2014

     

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie d’aimer sans méchanceté

    Pour développer ma bienveillance

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour divin

    J’essaie d’aimer sans égoïsme

    Pour développer mon altruisme

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie d’aimer sans confusion

    Pour développer mon discernement

      L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie d’aimer sans jalousie

    Pour développer ma générosité

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’amour Divin

    J’essaie d’aimer sans colère

    Pour développer ma sérénité

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie d’aimer sans orgueil

    Pour développer mon humilité

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’amour Divin

    J’essaie d’aimer sans attachement

    Pour développer l’Amour Universel

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie de pardonner

    Pour continuer d’aimer

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie de purifier mon coeur

    Pour retrouver la source sacrée

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie de purifier mon esprit

    Pour fusionner avec la lumière sacrée

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

    Devant l’autel de l’Amour Divin

    J’essaie de purifier mon âme

    Pour retrouver la joie de l’unité

    L’Amour est une source abondante de guérison.

     

      

    (✿◡‿◡*)˜"*°•**•°*"˜¯`(*◠‿◠✿)

     

     

    Que la foi grandisse dans votre cœur

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Rappel de la méditation Vijranavadin de ce soir

     

    Méditation du 16 septembre 2014

     

    Méditation du dernier quartier du 16 septembre 2014 :

     

    Afin de finaliser les bienfaits de la « méditation de la Conscience Universelle », « MCU » pour les intimes où plutôt « Vijranavadin » pour les plus sages,  l’effort est demandé de maintenir l’activité jusqu’à la veille de la prochaine nouvelle lune. Pour celle-ci, les méditations quotidiennes seront maintenues « en force » jusqu’au 23 septembre 2014. En effet, du dernier quartier de Lune à la nouvelle lune, ce dernier quartier offre la force de la volonté de devenir « Maître de l’illusion ». C’est pourquoi, il convient de se servir de l’énergie jusqu’au bout afin de se « retourner » complètement. Cette nouvelle « ère » n’est pas adaptée, ni prévue pour les êtres particulièrement violent, agressif, oppresseur, manipulateur, et encore moins pour tous ceux qui voudraient continuer à profiter allègrement des biens matériels. Le méditant de la Conscience Universelle apprend « la maîtrise de son véhicule ». Il médite pour installer le calme en lui, pour développer les vertus, et « aimer » les autres dans leurs diversités. Il est donc particulièrement « observateur » sur les nombreux événements qui se produisent actuellement dans le monde et qui semblent hautement déstabilisant pour tous. A l’écoute et habité de ses « conseils », il fait « preuve » de discernement, de recul, et  d’amour Universel envers tous les autres êtres sensibles. Mais surtout, il est particulièrement « vigilent » dans ses interprétations de ce qui se passe actuellement aussi bien dans le monde visible que dans le monde invisible.  Le méditant garde son esprit positif « concentré » et bien à l’abri de toute influence négative. Que l’Amour Universel guide vos pas, que la Volonté s’installe en force en vous,  et que la Foi illumine favorablement votre vie comme celle des autres. 

     

    Très bonne méditation à tous et toutes 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire. 

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment 

    Véronique-Arlette 

     Namasté    

     

    Partager via Gmail Pin It

  •  

    Rappel du sujet de la méditation de ce soir

    entre 21 h et 22 h (heure Française)

    méditation Vijranavadin Septembre 2014

    Méditation de la Pleine Lune du 9 septembre 2014 :

     

    (N'oubliez pas de mettre une coupelle d’eau « pure » à proximité de vous pour nettoyer votre karma).

     

    Ainsi le méditant de la « Conscience Universelle », l’observateur des êtres, des choses et de l’Univers tout entier, devient une rivière d’Amour Sacrée qui se déverse abondamment dans tous les êtres sensibles. Il se déploie à l’endroit même ou il se trouve. L’Amour universel l’habite. Il est dans chaque respiration, dans chaque geste, dans chaque pensée, et dans chaque acte de la vie courante. Dans la « pleine conscience » de l’Amour Universel il rayonne tel un « LION » en pleine ardeur, transperçant chaque pore de sa peau avec cette énergie lumineuse. Ainsi, il irradie tout autour de lui.  Son « Aura » déverse copieusement son nectar sur la terre avec beaucoup d’enthousiasme. En « PURE CONSCIENCE » sans fard ni mensonge, tel un « Innocent Juvénile », il libère un flot de lumière d’une pureté infinie. Le débordement massif traverse toutes les couches de la Conscience et donc  toutes les illusions sur son passage, et abreuve chaque être d’un sublime Amour Universel.  Son action profonde et radicale dissout tous les maux même les plus incurables. Mais surtout, son action pénétrante harmonieuse, pénètre tout l’environnement, grâce à la sublime note harmonieuse du « OM » primordial. Le miracle de l’Aube s’étant produit antérieurement, le « soleil du zénith » finalise l’entrée dans l’ère du Verseau.  Une longue maturation, conséquence d’un travail mondial et d’une attente collective aura décidé de cette « renaissance ». La communication sera alors « rétablit » avec tous les méditants capable d’entendre la « voix du Maître ». Cette « Réunion Solennelle Consciente » pour beaucoup, donnera naissance à  une authentique remise en question des valeurs fondamentales humaines.  Porteuse d’un discernement libérateur, cette « Coupe Divine » Bienveillante et Rafraîchissante sera salutaire à tous ceux qui sauront profiter de cet instant magique, pour remettre tous leurs compteurs à zéro. Le méditant de la Conscience Universelle doit « entendre » annulation de tout le karma défavorable. Une « fraîche » ouverture d’esprit doit être comprise, celle qui prend conscience du « cadeau » et promet de ne pas renouveler les erreurs passées.

     

    Voir sujet complet de la méditation de la Conscience Universelle ici (Méditation Vijranavadin MCU) :

    voir rubrique "pack étudiant" et MCU Vijranavadin du mois 

    http://veronique-arlette.eklablog.com/mcu-du-mois-c25232876

     

    Très bonne méditation

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et Salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait de la méditation Vijranavadin (MCU) septembre 2014 

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice philosophique/symbolique (Septembre 2014)

    Symbolique Septembre 2014

     

     

    Symbolique du chiffre « 7»

     

    Sept correspond aux sept jours de la semaine, aux sept planètes, aux sept degré de la perfection, aux sept sphères ou degré célestes, aux sept pétales de la rose, aux sept têtes du naja d'Angkor, aux sept branches de l'arbre cosmique et sacrificiel du chamanisme, etc. 

    Certains septénaires sont symboles d'autres septénaires : ainsi la rose aux sept pétales évoquerait les sept cieux, les sept hiérarchies angéliques, tous ensembles parfaits.

    Sept désigne la totalité des ordres planétaires et angéliques, la totalité des demeures célestes, la totalité de l'ordre moral, la totalité des énergies et principalement dans l'ordre spirituel.

    Il était chez les Égyptiens symbole de vie éternelle. Il symbolise un cycle complet, une perfection dynamique. Chaque période lunaire dure sept jours et les quatre périodes du cycle lunaire (7 x 4) ferment le cycle. Philon d'Alexandrie observe à ce propos que la somme des sept premiers nombres (1 = 2 = 3 = 4 = 5 = 6 = 7) arrive au même total : 28. Sept indique le sens d'un changement après un cycle accompli et d'un renouvellement positif.

    Le nombre sept est caractéristique du culte d'Apollon : les cérémonies apolliniennes se célébraient au septième jour du mois. En Chine également, les fêtes populaires avaient lieu un septième jour. Il apparaît dans d'innombrables traditions et légendes grecques : les sept Hespérides, les sept portes de Thèbes, les sept fils et sept filles de Niobé ; les sept cordes de la lyre, les sept sphères, etc.

    Il y a sept emblèmes du Bouddha.

    Les circumambulations de La Mecque comprennent sept tours.

    Il se trouve exprimé, si l'on y ajoute le centre dans l'hexagramme (Sceau de Salomon). La semaine comprend six jours actifs, plus un jour de repos, figuré par le centre ; le ciel six planètes (dans le comput ancien), le soleil étant au centre : l'hexagramme six angles, six côté ou six branches d'étoiles, le centre jouant le rôle d'un septième ; les six directions de l'espace ont un point médian ou central, qui donne le nombre sept. Il symbolise la totalité de l'espace et la totalité du temps.

    Associant le nombre quatre, qui symbolise la terre (avec ses quatre point cardinaux) et le nombre trois qui symbolise le ciel, sept représente la totalité de l'univers en mouvement.

    Le septénaire résume aussi la totalité de la vie morale, en additionnant les trois vertus théologales, la foi, l'espérance et la charité, et les quatre vertus cardinales, la prudence, la tempérance, la justice et la force. (Louis-Claude de Saint Martin - Tableau naturel des rapports qui existent entre Dieu, l'homme et l'Univers - Rochefort sur Mer, 1946).

    Les sept couleurs de l'arc en ciel et les sept notes de la gamme diatonique révèlent le septénaire comme un régulateur des vibrations, vibrations dont plusieurs traditions primitives font l'essence même de la matière.

    On prête à Hippocrate cette sentence : « Le nombre sept, par ses vertus cachées, maintient dans l'être toutes choses ; il dispense vie et mouvement : il influence jusqu'aux êtres célestes ».

    Sept est le nombre, a-t-on noté d'abord, de l'achèvement cyclique et de son renouveau. Le monde ayant été créé en six jours, Dieu chôma le septième et en fit un jour saint : le sabbat n'est donc pas vraiment un repos extérieur à la création, mais son couronnement, son achèvement dans la perfection. C'est ce qu'évoque la semaine, durée d'un quartier lunaire.

    La perfection à sept du rythme sénaire est aussi familière à l'Islam, et notamment à l'Ismaélisme : le solide possède sept côtés (les six faces plus sa totalité - qui correspond au sabbat-). « Tout ce qu'il y a dans le monde est sept, parce que chaque chose possède une ipséité et six côtés ». Les « dons de l'intelligence » sont sept (six plus la « ghaybat » la connaissance suprasensible). Les Imâm d'une période sont sept (six plus le Qâ'im, l'Imâm de la résurrection). Ces différentes séries sont de plus en correspondances les unes avec les autres. La religion littérale se développe sur un cycle de six « jours », qui sont six millénaires, suivis d'un septième, « le Sabbat de la religion en vérité », le « jour » du soleil et de la lumière, de la manifestation de l'Imâm jusque là caché. (Henri Corbin - Trilogie Ismaélienne - Paris, Téhéran - 1961).

    Une tradition hindoue attribue au soleil sept rayons : six correspondent aux directions de l'espace, le septième au centre.

    Semblablement l'arc en ciel n'a pas sept couleurs mais six : la septième est le blanc, synthèse des six autres.

    De même les sept faces du mont Meru, tournées vers chacun des sept dvîpa (continents) correspondant aux sept directions de l'espace hindou (six plus le centre).(Jean Herbert - Introduction à l'Asie).

    De Dieu, « Cœur de l'univers », écrit Clément d'Alexandrie, émanent les « six étendues et les six phases du temps : c'est là le secret du nombre 7 » ; le retour au « centre », au Principe, à l'issue du développement sénaire, parfait le septénaire.

    Le nombre 7 est bien universellement le symbole d'une totalité, mais d'une totalité en mouvement ou d'un dynamisme total. Il est, comme tel, la clef de l'Apocalypse (7 églises, 7 étoiles, 7 esprits de Dieu, 7 sceaux, 7 trompettes, 7 tonnerres, 7 têtes, 7 fléaux, 7 coupes, 7 rois...)

    Sept est le nombre des cieux bouddhiques, mais aussi les sept pas du Bouddha ; voyons à ce propos ce que nous dit Mircea Eliade alors qu'il évoquait les différents symbolismes de l'ascension :

    « « Examinons maintenant un autre groupe d'images et de symboles, dont nous avons déjà fait état, du fait qu'il est solidaire du symbolisme du vol : l'ascension au Ciel par le truchement des marches. Voici d'abord un texte bouddhique particulièrement intéressant, qui nous montre à quel point les images traditionnelles sont susceptibles d'une revalorisation métaphysique. « Aussitôt né, le Boddhisattva pose ses pieds à plat sur le sol et tourné vers le nord fait sept enjambées, abrité par un parasol blanc. Il considère aux alentours toutes les régions et dit de sa voix de taureau : « Je suis le plus haut du monde, je suis le meilleur du monde, je suis l'aîné du monde ; ceci est ma dernière naissance ; il n'y aura plus désormais pour moi de nouvelle existence. » (Majjhima -Nikâya, III, p. 123). Ce trait mythique de la Nativité du Bouddha est repris, avec certaines dans la littérature ultérieure des Nikâya-Agama, des Vinaya et dans les biographies du Bouddha. Dans une longue note de sa traduction de Mahâprajnâpâramitâsastra de Nâgârjuna, M. Etienne Lamotte a groupé les textes les plus importants : le Bouddha fait sept pas dans une seule direction, le nord, ou dans quatre ou dans six, ou dans dix directions; il fait ces pas les pieds posés à plat sur le sol, ou reposant sur un lotus, ou à une hauteur de quatre pouces. [(Etienne Lamotte, Le Traité de la grande vertu de Nâgârjuna, t.I (Louvain, 1944), pp. 6 sq. Pour les représentations des sapta pâdani, voir A. Foucher, L'Art gréco-bouddhique du Gandhâra (Paris, 1905-1922), fig. 154-155 ; cf. aussi Images et symboles, pp.98 sq.)]

    La fréquence du premier motif - les sept pas fait dans une seule direction, le nord - nous induit à croire que les autres variantes (les quatre, six ou dix directions) sont plus tardives, dues peut-être, à l'intégration de ce thème mythique dans un symbolisme plus compliqué. Laissons de côté pour l'instant l'analyse des différentes manières dont le Bouddha atteint le Nord (les pieds posés à plat, ou sur un lotus, ou en position planante, pour nous occuper du symbolisme central des sept pas. En étudiant ce thème mythique M. Paul Mus a bien mis en évidence sa structure cosmologique et sa signification métaphysique (Paul Mus, Barabadur. Esquisse d'une histoire du bouddhisme (Hanoï, 1935, I, pp. 476-575 ; id. La Notion du temps réversible dans la mythologie bouddhique (Melun, 1939)). En effet les sept pas portent le Bouddha au sommet du monde cosmique. L'expression « je suis le plus haut du monde » (aggo'ham asmi lokassa) ne signifie pas autre chose que la transcendance spatiale du Bouddha, il a atteint la « cime du monde » (lokkagge) en traversant les sept étages cosmiques qui correspondent, on le sait, aux sept cieux planétaires. D'autre part, le monument connu sous le nom de « prâsâda à sept étages », symbolise le Monde culminant au Nord cosmique : de sa cime on touche la Terre suprême de Bouddha (cf. Paul Mus, Bârâbudur, pp. 95 sq., 320 sq.). Ce que le mythe de la Nativité exprime avec la plus nette précision c'est que le Bouddha, aussitôt né, transcende le Cosmos et abolit l'espace temps (il devient « le plus haut » et « le plus vieux du Monde ». Le symbole de la transcendance est bien mis en lumière par les différentes manières dont le Bouddha effectue les sept pas. Soit qu'il ne touche pas le sol, sois que des lotus jaillissent sous ses pas, soit qu'il marche « à plat »,- il n'est souillé par aucun contact direct avec ce monde-ci. Concernant le symbolisme des pieds posés à plat sur le sol, Burnouf avait rappelé déjà un texte bouddhique que Paul Mus reprend et commente (Barabadur, p. 484) : « Là où s'avance le chef du Monde, les lieux bas se soulèvent, et les lieux hauts deviennent unis » etc. Sous les pieds du Bouddha la Terre devient « lisse », entendez que les volumes sont réduits et la troisième dimension est abolie, expression imagée de la transcendance spatiale. L'interprétation métaphysique du symbolisme de la transcendance spatiale est portée à ses limites extrêmes par la spéculation bouddhiste. Mais ce symbolisme n'est évidemment pas une création bouddhiste. La transcendance du Monde par l'élévation au Ciel était connue déjà aux temps prébouddhiques.

    « Le sacrifice, en son ensemble, c'est la nef qui mène au Ciel » (çatapatha Brâhmana, IV, 2, 5, 10). Le mécanisme du rituel est une dûrohana, « une ascension difficile ». L'officiant escalade les marches (àkramana) du poteau de sacrifice, et, parvenu au sommet, il étend les mains (comme un oiseau ses ailes !) et s'écrie : « J'ai atteint le Ciel, les Dieux ; je suis devenu immortel ! » (Taittirîya Samaithâ, 1, 7, 9). «A la vérité, le sacrifiant se fait une échelle et un pont pour atteindre le monde céleste » (ibid. VI, 6, 4, 2). Dans ces cas, nous avons évidemment affaire à une croyance dans l'efficacité magico-religieuse du sacrifice védique ; ce n'est pas encore la « transcendance » du Cosmos dont fait état le thème bouddhiste de la nativité. Néanmoins, il est de remarquer l'analogie entre les pas du Bouddha et les « marches » du poteau du sacrifice que l'officiant gravit jusqu'au sommet. Dans les deux cas, le résultat est homologue : on atteint la cime culminante de l’Univers, qui Équivaut au Nord cosmique ou au « Centre du Monde ». La traversée par Bouddha des sept cieux pour atteindre « le point le plus élevé » - c'est à dire son ascension à travers les sept étages cosmiques, correspondant aux sept cieux planétaires - est un thème qui s'intègre dans un complexe symbolico-rituel commun à l'Inde, à l'Asie centrale et au Proche-Orient antique. Nous avons étudié ce système de croyance et de rites dans notre Chamanisme (Mircea Eliade, pp.237sq, 423 sq. et passim), au quel nous nous permettons de renvoyer le lecteur. Observons seulement que les « sept pas du Bouddha » sont analogues à l'ascension du chaman sibérien au ciel, par le truchement des entailles pratiquées dans le bouleau cérémoniel (sept, neuf ou douze entailles symbolisant les sept, neuf ou douze Cieux) ou à l'échelle des sept échelons gravit par l'initié dans les mystères de Mithra. Tous ces rites et mythes ont une structure commune : l'Univers est conçu comme ayant sept étages superposée (i.e. sept cieux planétaires) ; le sommet est constitué soit par le Nord cosmique, soit par l'étoile Polaire, soit par l'Empyrée, formules équivalentes du même symbolisme du « Centre du Monde » ; l'élévation au Ciel suprême, c'est à dire l'acte de transcender le monde, a lieu près d'un « Centre » (temple, ville royale, mais aussi arbre sacrificiel homologué à l'Arbre cosmique, poteau du sacrifice assimilé à l'Axis Mundi, etc.), parce que c'est dans un « Centre » que s'opère la rupture des niveaux, et donc le passage de la Terre au Ciel. (cf. Images et symboles, pp.52 sq.).

    Pour revenir au thème de la Nativité du Bouddha, il est certain que nous nous trouvons devant une réinterprétation de ce symbolisme archaïque de transcendance. La principale différence entre les Sept Pas du Bouddha et les rituels brahmanique, sibérien ou mithriaque consiste dans leur orientation religieuse et leurs implications métaphysiques différentes. Le mythe de la Nativité nous révèle la transcendance par le Bouddha de ce monde souillé et douloureux. Les rituels brahmanique et chamanique visent une ascension céleste destinée à faire participer au monde des Dieux et à assurer une condition excellente après la mort, ou à obtenir un service du Dieu suprême. L'initié dans les mystères de Mithra entreprend symboliquement la traversée des sept cieux pour se « purifier » des influences de leurs planètes tutélaires et s ‘élever jusqu'à l'Empyrée. Mais la structure de tous ces « motifs » est identique : on transcende le monde en traversant les sept cieux et en atteignant le sommet cosmique, le Pôle. Comme le remarque Paul Mus, dans al cosmologie indienne, le point d'où est partie la Création est le sommet : « la création s'est faite graduellement au-dessous de lui, par étapes successives. » Le Pôle n'est pas seulement l'axe des mouvements cosmiques ; il est aussi l'endroit le plus « vieux », parce que c'est là que le Monde est venu à l'existence. C'est pourquoi Bouddha s'écrie : « C'est moi qui suis à la pointe du Monde...C'est moi qui en suis l'Aîné. » Car en atteignant le sommet cosmique, Bouddha devient contemporain du commencement du Monde. Il a aboli le Temps et la Création, et se trouve dans l'instant atemporel qui précède la cosmogonie. Il s'agit donc d'un « retour en arrière », afin de réintégrer la situation primordiale, situation « pure » et incorruptible puisque non encore engagée dans le Temps. « Revenir en arrière», atteindre le point le plus « vieux »du Monde, équivaut à abolir la durée, à anéantir l'œuvre du Temps. En s'écriant qu'il est « l'Aîné du Monde », le Bouddha proclame sa transcendance par rapport au Temps, tout comme il déclare qu'il a transcendé l'Espace en arrivant « à la pointe du Monde ». Les deux images expriment un dépassement total du Monde et la réintégration d'un « état absolu » et paradoxal, au delà du Temps et de l'Espace.

    Remarquons que la cosmologie indienne n'est pas seule à faire commencer la Création au sommet. D'après les traditions sémites, le Monde a été créé en partant de l'ombilic (image du Centre) et les mêmes idées se retrouvent ailleurs. [Mircea Eliade, Le Mythe de l'éternel retour, pp. 36 sq. ; et Traité d'Histoire des religions, pp. 323 sq.]. Le Centre du Monde est nécessairement le lieu le plus « vieux »de l'Univers. Mais il ne faut pas oublier que, dans la perspective des symbolismes qui nous occupent, la « vieillesse » signifie l'instant où le Monde a commencé à se développer, donc le moment où le Temps a fait irruption ; autrement dit, la « vieillesse » est une formule du Temps primordial, du « premier » Temps. L' « aînesse » (jyeshta) du Bouddha est une façon de dire qu'il était déjà là avant la naissance du Monde, qu'il a vu le Monde venir à l'existence et le Temps faire son apparition. D'autre part nous savons que les ascensions rituelles au Ciel ont toujours lieu dans un « centre ». L'arbre chamanique est censé se trouver au « Centre du Monde », le poteau sacrificiel (Yûpa) est la réplique de l'Axis Mundi.

    Mais un symbolisme analogue est attesté dans la structure même des temples et des habitations humaines. Du fait que tous les sanctuaires, les palais, les villes royales, et, par extension, toutes les maisons, sont symboliquement situés au « Centre du Monde », il résulte que dans n'importe laquelle de ces constructions est possible la rupture des niveaux ; c'est à dire qu'est possible à la fois la transcendance spatiale (l'élévation au Ciel) et la transcendance temporelle (la réintégration de l'instant primordial où le monde n'était pas encore venu à l'existence). Ce qui n'est pas pour nous surprendre, car on sait que toute habitation humaine est une image Mundi et que chaque construction d'une maison nouvelle réitère la cosmogonie.

    En somme, ces symboles solidaires et complémentaires présentent tous, dans les perspectives qui leur sont propres, une même signification : il existe, pour l'homme, une possibilité de transcender le Monde - spatialement en allant « vers le haut », et temporellement en allant « à rebours », « à reculons ». En transcendant ce monde-ci, on réintègre une situation primordiale : l'état plénier du commencement du Monde, la perfection du « premier instant », alors que rien n'était « souillé », rien n'était « usé », parce que le Monde venait à peine de naître.

    Par des moyens multiples, et en partant de points de vue différents, l'homme religieux s'efforçait toujours de se régénérer, de se renouveler en réintégrant périodiquement la « perfection des commencements » ; c'est à dire en retrouvant la source première de la Vie, lorsque la Vie, comme toute la Création, était encore sacrée parce qu'elle venait de sortir des mains du Créateur. [Ce texte des « Sept pas du Bouddha est extrait du livre Mircea Eliade, Mythes, rêves et mystères, pp. 139 à 145, Ed. Gallimard, Collection folio, Série Essais, mars 2001, ISBN 2-07-032520-2]

    Avicenne décrit aussi les « Sept Archanges princes des sept Cieux » qui sont les sept « Veilleurs d'Hénoch » et correspondent aussi aux sept Rishi védiques. Ceux-ci résident dans les sept étoiles de la Grande Ourse, avec lesquelles les Chinois mettent en rapport les 7 ouvertures du corps et les 7 ouvertures du cœur. La lampe rouge des sociétés secrètes chinoises a 7 branches comme le chandelier des Hébreux.

    Certains textes musulmans rapportent les 7 sens ésotériques du Coran aux sept sens subtils de l'homme.

    On rappellera que le Yoga connaît aussi sept sens subtils (les six chakras, plus le sahasrâra-padma).

    Selon Abû Ya'qûb, les « Formes spirituelles » ont été manifestées par les « sept lettres suprêmes », qui sont les « sept intelligences », les « sept chérubins ».

    Sept, nombre des Cieux, est aussi selon, selon Dante Allighiéri, celui des sphères planétaires, auxquelles les Cathares faisaient correspondre les 7 arts libéraux. (René Guénon - L'ésotérisme de Dante - Paris, 1925).

    Il faut encore noter qu'il fallait aussi assimiler aux sept cieux les sept encoches de l'arbre axial sibérien, les sept couleurs de l'escalier du Bouddha, les sept métaux de l'échelle des mystères mithriaques, les sept échelons de l'échelle des Kadosh de la Maçonnerie écossaise : c'est le nombre des états spirituels hiérarchisés qui permettent le passage de la terre au ciel. (René Guénon - Le Roi du Monde - Paris, 1927 et Symboles fondamentaux de la Science Sacrée - Paris, 1962).

    On a noté que le Bouddha naissant avait mesuré l'univers en faisant sept pas dans chacune des quatre directions. Quatre des étapes essentielles de son expérience libératrice correspondant à des arrêts de sept jours chacun sous quatre arbres différents.

    Les nombres yang, écrit Sseu-ma Ts'ien, atteignent leur perfections à 7.

    La divination par les baguettes d'achillée considère sept catégories d'indice ; ces baguettes sont 49 (7 x 7). (M. Granet - La pensée chinoise - Paris, 1934).

    49 est aussi le nombre du Bardo, l'état intermédiaire suivant la mort, chez les Tibétains : cet état dure 49 jours divisés, au début tout au moins, en 7 périodes de 7 jours. (Dr. W. Y. Evans - Wentz : Le Bardo Thödol - Livre des morts tibétains - Paris, 1961).

    Les âmes japonaises sont dites séjournées 49 jours sur le toit des maisons, ce qui a la même signification.

    Le nombre sept est fréquemment employé dans la bible. Par exemple le chandelier à sept branches ; sept esprits reposant sur la tige de Jessé ; sept cieux ou habitent les ordres angéliques ; Salomon construisit le temple en sept ans (1 Rois, 6, 38). Non seulement le septième jour, mais la septième année est de repos. Tous les sept ans, les serviteurs sont libérés, les débiteurs exemptés. Sept est utilisé 77 fois dans l'Ancien Testament ; Le chiffre sept par la transformation qu'il inaugure, possède en lui même un pouvoir, c'est un nombre magique. Lors de la prise de Jéricho, sept prêtres portant sept trompettes doivent, le septième jour, faire sept fois le tour de la ville. Elisée éternue sept fois et l'enfant ressuscite (11 Rois, 4, 35). Un lépreux plonge sept fois dans le Jourdain et se lève guéri (11 Rois, 5, 14). Le juste tombe sept fois et se relève pardonné (Proverbe, 24, 16). Sept animaux purs de chaque espèce seront sauvés du déluge. Joseph rêve de sept vaches grasses et de sept vaches maigres.

    Sept comporte cependant une anxiété par le fait qu'il indique le passage du connu à l'inconnu : un cycle s'est accompli, mais quel sera le suivant ?

    Chiffre sacré déjà chez les Sumériens, sept (et certains de ses multiples) est bien l'enfant chéri de l'arithmologie biblique. Correspondant au nombre des planètes (comput des anciens), il caractérise toujours la perfection (dans la gnose, le plérôme), sinon la divinité. La semaine dure sept jours en souvenir de la durée de la création (Genèse. 2, 2 s.). Si la fête pascale des pains sans levains couvre sept jours (Ex. 12, 15,19), c'est assurément parce que l'exode est regardé comme une nouvelle création, la création salvatrice.

    Zacharie (3, 9) parle des sept yeux de Dieu. Les septénaires de l'Apocalypse (les sept lampes qui sont les sept esprits de Dieu = son esprit tout entier (4, 5) ; les sept lettres aux sept églises = à l'Eglise tout entière ; les sept trompettes, coupes, etc. annoncent l'exécution finale de la volonté de Dieu dans le monde.

    C'est pourquoi sept est aussi le chiffre de Satan qui s'efforce de copier Dieu : « le singe de Dieu ». Ainsi la bête infernale de l'Apocalypse (13, 1) a sept têtes.

    Mais le voyant de Patmos réserve aux puissances mauvaises la moitié de sept, trois et demi, manifestant par là l'échec assuré des entreprises du mal (Apoc. 12, 6) : le dragon ne peut menacer la femme (= le peuple de Dieu) plus longtemps que 1260 jours = 3 ans et demi (voir encore 12, 14 : trois temps et demi).

    Sept est la clé de l'Evangile de Saint Jean : les sept semaines, les sept miracles, les sept mentions du Christ : « Je suis ».

    Il revient quarante fois dans l'Apocalypse : septénaire des sceaux, des trompettes, des coupes, des visions, etc. Le livre est construit par série de sept. Ce nombre désigne ici encore la plénitude d'une période de temps révolue (la création dans la Genèse) ; l'accomplissement d'un temps, d'une ère, d'une phase ; la plénitude des grâces données par l'Esprit saint à l'Eglise.

    Le « septième jour » a fait l'objet de nombreuses interprétations symbolique dans un sens mystique. Ce jour où Dieu se repose après la Création signifie comme une restauration des forces divines dans la contemplation de l'œuvre accomplie. Ce repos du septième jour marque un pacte entre Dieu et l'homme ;

    Le sept symbolise l'achèvement du monde et la plénitude des temps. Selon Saint Augustin il mesure le temps de l'histoire, le temps du pèlerinage terrestre de l'homme. Si Dieu prend un jour pour se reposer c'est, dira Saint Augustin, parce qu'il veut se distinguer de la création, être indépendant d'elle et lui permettre de se reposer en lui. D'autre part, l'homme lui-même par le chiffre sept, qui indique le repos, la cessation du travail, est inviter à se tourner vers Dieu pour se reposer en lui seul (De Gen. Ad litt, 4, 16). Augustin parlera aussi du grand mystère de la pêche miraculeuse représentant la fin du monde. Le Christ est accompagné de sept disciples et par la même il inaugure la fin des temps.

    Enfin le six désigne une partie, car le travail est dans la partie : seul le repos signifie le tout, car il désigne la perfection. Nous souffrons dans la mesure même où nous connaissons en partie, sans la plénitude de la rencontre avec Dieu ; ce qui est partie s'évanouira, le sept couronnera le six (cf. De Civitate Dei, 11,31). (Sur ce thème et l'interprétation donnée par Saint Augustin, voir Auguste Luneau, l'Histoire du salut chez les Pères de l'Eglise, Paris, 1964, pp. 336-338).

    Si l'on en croit le Talmud, les Hébreux voyaient aussi dans le nombre sept le symbole de la « totalité humaine », mâle et femelle à la fois, et ceci par addition de quatre et trois : en effet Adam, dans les « heures » de sa première « journée » reçoit l'âme qui lui donne complètement existence à l'heure quatre ; c'est à l'heure sept qu'il reçoit sa compagne, c'est-à-dire qu'il se dédouble en Adam et Eve.

    En Islam sept est également un nombre faste, symbole de perfection : sept cieux, sept terres, sept mers, sept divisions de l'enfer, sept portes. Les sept versets de la Fatiha (sourate ouvrant le Coran), les sept lettres non utilisées de l'alphabet arabe « qui sont tombées sous la table », les sept mots qui composent la profession de foi musulmane, la Sahâda, etc. Lors du pèlerinage à la Mecque, on doit effectuer sept tours de la Ka'ba et sept parcours entre les monts Cafâ et Marnia.

    Les compagnons de la Caverne, Ashab al-Kahf (Coran, 17) étaient sept (les sept Dormants). Des charmes sont composés avec leurs noms, auxquels on ajoute celui du chien qui les garda pendant 300 ans (E. W. Lane - The Arabian Night ‘Entertainment, New York ,1927 (nouvelle édition)).

    Les sept portes du paradis s'ouvrent devant la mère de sept filles. On lit sur la femme enceinte menacée d'un danger sept versets de la sourate. En Iran au moment de l'accouchement, on place sur une nappe une lampe allumée et on garnit la nappe de sept sortes de fruits et de sept espèces de graines aromatiques. L'enfant recevait généralement son nom le septième jour. Parfois à la veille de son mariage, une jeune fille se rend à la rivière, remplit et vide sept fois sa cruche, puis jette à l'eau sept poignées de grains (H. Masse - Croyances et coutumes persanes, 2 volumes, Paris, 1938). Symbole magique de fécondité.

    Au Maroc, les femmes stériles enroulent leur ceinture sept fois autour du tronc de certains arbres, puis l'attache à l'une des sept cordes qui y sont fixées. (E. Westermarck - Ritual and belief in Morocco, 2 volumes, London, 1926).

    En Syrie une jeune fille sans prétendant exorcise les mauvaises influences qui l'empêchent de trouver un mari en se baignant dans la mer et en laissant passer sept vagues au-dessus de sa tête.

    Si l'on met un sabre nu devant un enfant âgé de sept jours il deviendra courageux.

    Sept éléments sont essentiels à la parure des femmes. Pour assurer à un défunt le pardon de ses péchés, il faut tirer sept lignes sur sa tombe. L'inhumation faite on s'éloigne de sept pas, puis on revient d'autant.

    On rend visite au mausolée du saint, qu'on veut solliciter, sept jours ou quatre fois sept jours.

    Des voyageurs devant passer la nuit dans un lieu inhabité en font sept fois le tour.

    On pense souvent que l'âme des morts reste auprès de la tombe pendant sept jours.

    Les exemples sont innombrables. Il s'agit d'un nombre sacré, généralement bénéfique, parfois maléfique. Un dicton déclare que « sept est difficile ».

    Le célèbre ouvrage de Nizami, « Les sept Princesses », joint le symbolisme des couleurs à l'astrologie : sept palais ont chacun la couleur d'une des sept planètes ; dans chacun d'eux se trouve une princesse de l'un des sept climats.

    Les mystiques musulmans déclarent que le Coran comporte sept sens (il est parfois question de soixante-dix sens). Une tradition du Prophète (hadith) affirme : « le Coran a un sens exotérique et un sens ésotérique. Ce sens ésotérique a lui-même un sens ésotérique, et ainsi de suite jusqu'à sept sens ésotériques ».

    La physiologie mystique, si caractéristique du soufisme iranien, se fonde sur le septénaire. Des auteurs tel que Semnâni distinguent sept organes (ou enveloppes) subtils « dont chacun est la typification d'un prophète dans le microcosme humain....

    Le premier est désigné comme l'organe corporel subtil ; il est désigné comme l'Adam de ton être...

    Le sixième est le Jésus de ton être.

    Le septième est le Mohammad de ton être ».

    (Henri Corbin, L'homme de lumière dans le soufisme iranien (pages : 238 et suivantes), Paris, 1961).

    Ces enveloppes subtils sont associées à des couleurs : noir mat, pour l' « Adam » ; bleu, pour « Noé » ; rouge pour »Abraham » ; blanc, pour « Moïse » ; Jaune, pour « David » ; noir lumineux, pour « Jésus » ; vert, pour « Mohammad ». (Henri Corbin, L'homme de lumière dans le soufisme iranien (pages : 242).

    Les sept différentes étapes sur la voie mystique sont symbolisées par ATTAR, dans son célèbre poème intitulé « Le langage des oiseaux », par sept vallées : la première est celle de la recherche (talab) ; la deuxième est celle de l'amour (eshq) ; la troisième est celle de la connaissance (ma'rifat) ; la quatrième est celle de l'indépendance (istignâ) ; la cinquième celle de l'unité (tawhîd) ; la sixième celle de l'émerveillement (hayrat) ; et la septième, celle du dénuement (faqr) et de la mort mystique (fenâ).

    Chez les indiens de la Prairie, ce nombre représente les coordonnées cosmiques de l'Homme par addition des quatre points cardinaux (plan de l'immanence) et de l'axe du monde, traversant ce plan en son centre, qui est l' « ici » (l'Homme) et se terminant par l'en-dessous et l'au-dessus. 7 = 4 (points cardinaux) + 2 (axe vertical) + 1 (centre), ce 1 étant la résultante de 4 et 2. L'opposition transcendantale de l'au-dessus et de l'en-dessous se résout par la rencontre du plan d'immanence en l'Unité, qui est la place de l'Homme (d'après Hartley Burr Alexander, Le Cercle du Monde (The world's rim : Great mysteries of the north american indians), Paris, 1962).

    Même symbole, mais transposé sur le plan social, chez les indiens Pueblo. La ville sainte de Zuni, « Centre du Monde », est divisée en sept parties correspondant aux « sept quartiers du monde ». Elle est faite de la réunion de sept anciens villages qui représentent la même division du cosmos. La division sociale était calquée sur le même plan, les clans étant rattachés par groupes de trois à ces septièmes, à l'exception du clan des perroquets, premier clan de la tribu, qui occupait seul le « milieu », l' « ici » (Werner Muller, les religions des indiens d'Amérique du Nord, in Les religions amérindiennes (pages 277 et 278), traduit de l'allemand par L. Jospin, Paris, 1962). Les couleurs cosmiques étaient réparties selon cette même « boussole cosmique ».

    Chez les Maya - Quiché, le Grand Dieu du Ciel, qui se fait Dieu - Treize avec les douze étoiles (dieu de la pluie) se fait aussi Dieu - Sept avec six soleils cosmiques : il constitue ainsi le groupe des dieux agraires. L’idéogramme du Dieu - Sept est représenté par la Grande - Ourse.

    Chez les Mames, descendants des Mayas, le foyer est formé de six pierres (trois grandes et trois petites) qui, en recevant la marmite, forment le nombre sept, attribut du Dieu - Agraire, qui est aussi celui du feu sous toutes ses formes : feu divin = foudre ; feu de l'inframonde = réchauffant la Grand-Mère Terre ; foyer = feu des hommes (Raphaël Girard, Le Popol-Vuh, Histoire culturelle des Maya-Quiché (page 81), Paris, 1954).

    Le Dieu Agraire est Dieu-Sept parce que le nombre sept est lié au phénomène astronomique du passage du soleil par le zénith, qui détermine la saison des pluies (Popol-Vuh). Ce Dieu étant l'archétype de l'Homme Parfait impose son symbole numérique à la famille humaine : celle-ci, en effet, doit idéalement comprendre six enfants ; ils forment le corps du sept, dont la tête est faite de la symbiose luni-solaire des parents, rappelant les Jumeaux divins créateurs (Raphaël Girard, Le Popol-Vuh, Histoire Naturelle culturelle des Mayas-Quiché (page 237), Paris, 1954.

    Chez les Mayas, le septième jour, placé au milieu de la semaine de treize jours, est sous le signe du dieu Jaguar, expression des forces internes de la terre. C'est un jour faste (Eric S. Thompson Junior, Maya Hieroglyphic writing, university of Oklahoma, nouvelle édition, 1960).

    La déesse 7, appelée "sept serpents" ou "sept épis", placée au milieu de la série 1 à 13, symbolise le cœur de l'homme et du mais. Les jours numérotés 7 sont favorables (Jacques Soustelle, La pensée cosmologique des anciens Mexicains, Paris, 1940 et Eric S. Thompson Junior (ibidem)).

    Dans le temple de Coricancha, à Cuzco, où était résumé tout le panthéon des Incas, un mur portait près de l'arbre cosmique, un dessin représentant sept yeux nommés, « les yeux de toutes choses ». Lehman-Nitsche pense qu'il s'agir à la fois de la constellation des Pléiades et, sans doute, des yeux de la divinité suprême ouranienne, Viracocha. Il observe que le prophète Zacharie (4, 10) parle des « sept yeux du Seigneur », qui surveillent tous les peuples de la terre.

    En Afrique également, sept est un symbole de la perfection et de l'unité. Chez les Dogons, 7 étant la somme de 4, symbole de la féminité, et de 3 symbole de la masculinité, représente la perfection humaine (Marcel Griaule, Dieu d'eau, Paris, 1948).

    Les Dogons considèrent le nombre 7 comme le symbole de l'union des contraires, de la résolution du dualisme, donc comme un symbole d'unicité et par là de perfection. Mais cette union des contraires, qui est très précisément celles des sexes, est également symbole de fécondation. Pour cette raison, le verbe étant analogue au sperme comme l'oreille est au vagin, pour le Dogon, le nombre 7 est l'insigne du Maître de la Parole, dieu des pluies nouvelles, et donc de l'orage et des forgerons (Marcel Griaule (ibidem) et P. Grison, la légende des Hong, in Et. trad. n° 377, Paris, 1963).

    Sept, somme du 4 femelle et du 3 mâle, est également le nombre de la perfection pour les Bambaras. Le dieu souverain, Faro, dieu d'eau et du verbe, habite le septième ciel, avec l'eau fécondante qu'il dispense sous forme de pluies. C'est également dans le septième ciel que s'abîme chaque soir le soleil à la fin de sa course. La terre, comme les cieux, comprend sept étages et les eaux terrestres sont également au nombre de sept, de même que les métaux. Sept est à la fois le nombre de l'homme et le principe de l'univers.

    Somme de 4 et 3, il est le signe de l'homme complet (avec ses deux principes spirituels et de sexe différents), du monde complet, de la création aboutie, de la croissance de la nature. Il est aussi l'expression de la Parole Parfaite et par là de l'unité originelle.

    Les Tatars de l'Altaï, pour vanter les sanctuaires de leur pays natal les comprennent tous sous une seule dénomination « Mon pays aux Sept Portes et mes eaux » (Uno Harva, Les représentations religieuses des peuples altaïques, traduit de l'allemand par Jean-Louis Perret, Paris, 1959).

    Le chiffre sept est un « chiffre cosmique sacré » chez les Turco-Mongols souligne Jean-Paul Roux, page 98, dans Faune et Flore sacrées dans les Sociétés Altaïques, (Paris, 1966).

    Le sept, nombre de l'homme parfait - c'est-à-dire de l'homme parfaitement réalisé-, est donc, on le comprend aisément, le nombre de l'androgyne hermétique, comme il est en Afrique celui des Jumeaux mythiques. Car il est bien certain que cet androgyne et ces jumeaux ne font qu'un. Significatifs sont encore les mariages d'arcanes majeures du Tarot qui forment le sept. Sept par quatre et trois c'est le couple Empereur - Impératrice, le Père et la Mère, la perfection dans le Manifesté, l'intérieur et l'extérieur du pouvoir temporel assumé, la Somme harmonieuse des Quatre Eléments et des Trois Principes de la Science Secrète. En revanche le couple de la spiritualité, Pape - Papesse, donne lui aussi sept, mais par cinq et deux. Quand à l'arcane sept, expression de ces deux mariages, on ne s'étonnera pas qu'il soit celui du Chariot, signe d'accomplissement.

    Dans les contes et légendes se nombre exprimerait les « Sept états de la matière, les Sept degrés de la conscience, les Sept étapes de l'évolution :

    1 - conscience du corps physique : désirs apaisés de façon élémentaire et brutale ;

    2 - conscience de l'émotion : les pulsions se compliquent de sentiment et d'imagination ;

    3 - conscience de l'intelligence : le sujet classe, ordonne, raisonne ;

    4 - conscience de l'intuition : les relations avec l'inconscient se perçoivent ;

    5 - conscience de la spiritualité : détachement de la vie matérielle ;

    6 - conscience de la volonté : qui fait pousser le savoir dans l'action ;

    7 - conscience de la vie : qui dirige toute activité vers la vie éternelle et le salut. 

    (Dictionnaire des symboles-Robert Laffont)


     

    Exercice pratique

     

    L’exercice consiste à faire une retranscription d’au moins une page sur le regard que vous avez sur vous-même, votre mode de penser et votre mode de fonctionnement intérieur et extérieur. Ici les fautes d’orthographes, de français et de grammaire, n’ont aucune importance, puisque seul demeure l’expérience de l’élève et de son cheminement personnel.  Ce n’est pas un exercice intellectuel, mais un exercice pour faire connaissance avec son « soi ». Soyez vrai, droit et sincère avec vous-même, avec votre cœur, avec vos pensées, et dans vos écris. N’essayez pas de mentir, de minimiser, ou d’augmenter, juste d’être vous-même, juste de vous accepter tel que vous êtes, pour vous donner la possibilité de vous découvrir en profondeur. Une retranscription simple et honnête, de « qui vous êtes » et « ou vous en êtes » maintenant. Ce travail vous aide à faire « connaissance » avec vous, à chaque fois de manière renouvelée et en toute objectivité. Grâce à cette réalité véridique, vous pouvez aborder « là ou vous en êtes » en toute sérénité et avancer avec un « plan de restructuration » en fonction des découvertes que vous observez, et de l’élévation que vous constatez. Au fur et à mesure des exercices, votre Conscience Individuelle grandit, s’affine et change, c’est cela la transmutation, l’ascension vers la source de la Conscience Universelle…... !

     

    Voici les questions:

     

    Cet exercice est un travail philosophique pour ouvrir votre réflexion, sur votre relation avec la symbolique du chiffre « 7 »,  et observer toutes les particularités que celle-ci véhicule. C’est un entrainement pour vous « observer » vous-même.  Pour « observer » vos réactions personnelles, qu’elles soient avec les autres ou avec  le Cosmos. Votre environnement intérieur et extérieur, sont mis à contribution pour vous révéler « qui vous êtes » exactement, mais également « qui sont les autres », et « qui sommes nous » tous ensemble.  C’est une manière particulière de se défaire des contraintes, en prenant conscience des corrélations qui existent dans tous les niveaux de conscience. Une manière divine de se lier aux autres, avec ceux qui nous ressemblent et avec tout le Cosmos.

     

    1/ Que pensez-vous de la symbolique du chiffre 7 ? Qu’a-t-elle ouvert en vous ? Avez-vous compris les stades de la compréhension du 7 ? Qu’en pensez-vous personnellement ?

     

    2/ Quelle corrélation pouvez-vous faire entre la symbolique du 7, votre Conscience Individuelle, la conscience collective et la Conscience Universelle ?

     

    3/ Pensez-vous qu’il y a une correspondance entre votre centre, votre intériorité manifestée, les autres et le centre de l’univers ?

     

    4/ Le sept est la totalité de vous-même, mais également la totalité de l’univers, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Pouvez-vous expliquer ce fait et ce que vous en avez compris en une vingtaine de ligne ?

     

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯¸.•°*”˜”*°•. 

     

    Que la philosophie dégagée par les symboliques éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière.

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire