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    Sur la rancune

     

    Sur la rancune

     

     

    Bonjour à tous et toutes. Comme vous vous en êtes certainement rendu compte, il y a déjà un moment que je n’ai pas publié d’article parce que je préférais rester dans « le silence », vu le contexte extrêmement tendu que l’humanité est en train de traverser. J’étais aussi et surtout occupée par la publication de mes livres. Et puis quelqu’un est venu déposer « sa rancune » sur mon blog et cette plainte m’a encouragée à essayer d’en faire quelque chose de positif pour tout le monde.

    C’est aussi, pour moi, l’utilité de revenir sur certains points de divergence qui n’ont pas été bien compris par certaines personnes que j’ai rencontrées ses dernières années sur mon parcours de vie. Avec beaucoup d’êtres, le travail avance, il n’y a aucun problème, je dirais que tout coule de source. Mais avec d’autres, il semble que l’éthique que je développe pose problème alors j’aimerais éclaircir certaines zones d’ombre difficile à dépasser pour ceux qui s’accrochent à leurs défauts, à leur jalousie, à leur rancune, voir à leur haine. Être conscient de ses propres ombres fait partie du travail à réaliser. D’où cet article.

    Voici le commentaire du « plaignant » dont le nom anonyme est Ethique. Il l’a déposé le 05/06/2019 à 11h50 sur l’article « Qui est Véronique-Arlette »: «Je ne crois pas que tu es de l’éthique après ce que tu m’as fait sur les réseaux sociaux. Mon éthique aujourd’hui, je ne crois plus au chemin spirituel des personnes comme toi, c’est mon éthique ».

    Ma réponse à ce plaignant est la suivante:

    Comme je suis une personne dont l’éthique est primordiale dans l’enseignement que je défends au travers des livres que je publie, il est essentiel que je me fasse bien comprendre. C’est pourquoi j’interviens pour répondre à cet anonyme tout en vous faisant profiter du développement d’une argumentation mettant en lumière plusieurs points essentiels.

    1/ Tout d’abord j’aimerais expliquer à ce genre d’anonyme, qu’il n’est jamais véritablement anonyme, puisqu’à chaque fois qu’il laisse un commentaire sur un site internet et sur tous les réseaux sociaux en général, même s’il tante de se cacher derrière de faux pseudos où des adresses mail bidon, il laisse toujours une trace derrière lui, celle de son adresse IP. Cette adresse IP est un protocole informatique de connexion qui gère la transmission des données par Internet. C’est pourquoi, pour qu’il comprenne bien que ce que je dis est  tout à fait vrai, je vous révèle ici son numéro d’IP qui est le suivant 92.161.219.97. Pourquoi, je vous explique tout cela ? Parce qu’avec un numéro IP, il est très facile aujourd’hui de remonter jusqu’à son propriétaire via le serveur de son opérateur internet, de connaître son nom et son adresse grâce à des sites spécialisés. Retrouver le propriétaire d’une adresse IP est un jeu d’enfant ! De plus, quel genre d’éthique peut bien avoir une personne qui se cache derrière un nom anonyme, qui laisse supposer quelque chose sur quelqu’un sans vraiment donner la véritable raison de son désarroi, qui accuse quelqu’un de manquer de quelque chose alors qu’a priori c’est lui qui n’a pas compris quelque chose d’essentiel à l’éthique de la spiritualité. Alors j’aimerais dire aussi à ce petit malin/ne, que la prochaine fois qu’il/elle déposera une fausse accusation sur un de mes sites internet, je n’hésiterais pas un seul instant à révéler sa véritable identité complète ainsi que son adresse, sur toutes mes pages internet, sur mes blogs et sites, et sur tous les réseaux sociaux. Ainsi, je donnerais véritablement du crédit à toutes ses accusations. Pour le moment, nous allons dire que je sais « qui il/elle est ».   

    2/ J’aimerais lui répondre que son commentaire est Ok pour moi. Il/elle a tout à fait le droit d’avoir son opinion sur le sujet de l’éthique, et même de développer sa propre éthique spirituelle, ce qui est très fortement recommandée de nos jours. Pour autant à quoi bon me rendre responsable de tous ses malheurs ? La seule chose que je peux lui dire sans outrepasser mon éthique, c’est que ce qu’il est en train de me faire n’est pas tellement mieux que ce que je pense lui avoir fait. En effet, il est aisé de rendre les autres responsables de tous nos maux, alors qu’en fait c’est notre propre personne qui est concernée, là en l’occurrence c’est sa foi qui me semble en berne.

    Il est vrai que j’ai une grande capacité au pardon, mais surtout une grande FOI en l’enseignement Maitri, en mes guides, en mes protecteurs, en mon travail d’écrivain, en le plan que je développe et en l’aide que je peux apporter aux autres. Mais, je ne peux pas faire les efforts pour tout le monde, je ne peux pas débarrasser un être de ses défauts, de sa méchanceté, de sa jalousie, où de sa rancune. C’est à lui, de réagir, de changer, de vouloir sortir de ses mauvaises conditions, de souhaiter éradiquer sa souffrance au lieu de la déverser sur les autres, de faire ses prières quotidiennes pour entretenir sa foi, de croire en lui et d’accepter l’aide des autres s’il est nécessaire. Pour cet anonyme, le problème n’est pas là où il le croit, il ne vient pas du comportement des autres, mais bien de lui-même.

    S’il est capable d’entendre cela, le premier conseil que je lui donnerais,  c’est de me pardonner ce qu’il croît que je lui ai fais, d’abandonner ses propres rancunes, de faire le vide en soi et de se décharger des bagages encombrants comme de se venger à tout bout de champs et sans discontinuer. D’arrêter de déverser son venin un peu partout sur les réseaux sociaux, sur des personnes qu’il n’a pas comprises semble t-il. D’endiguer sa langue de vipère et de stopper d’alimenter les polémiques. Bref, de réduire au maximum son flux négatif…..alors « oui » il y a du boulot à faire pour y parvenir, et avoir une éthique appropriée pour le faire peut aider. Le Maitriyo à été très justement écrit pour cela, pour aider ceux qui souffrent, pour développer une meilleure conscience spirituelle, pour guider les êtres vers la lumière. Un nouveau monde ne se construit pas sur de vieilles rancunes, c’est élémentaire mon cher Watson.

    3/ Alors qu’en est-il de lui/elle aujourd’hui, de ce cher Ethique anonyme plaignant et même victime de la pauvre Véronique-Arlette ? Malheureusement, toujours dans la même rancune qui le dévore de l’intérieur depuis des lustres. Seulement voilà, je pense que j’ai été suffisamment claire sur le sujet de l’éthique que je développe et qui est primordiale pour participer aux méditations Vijranavadin. Comme il semble que cette personne n’a toujours pas compris, un truc tout simple, peut-être parce qu’elle n’a pas tout lu, je lui remets le paragraphe écris sur chaque méditation à partir de 2016 :

    Les méditations Vijranavadin s’adressent aux méditants qui sont installés profondément dans la « conscience » en dépassant les seuils de la revanche et du désir inhérent à faire souffrir les autres. Nous sommes 144000 êtres répandus autour du globe, venus sur terre pour apporter un peu plus de conscience. Inutile de forcer où de vouloir être autre chose que soi-même. Notre force est dans le nombre, dans la structure de la fleur de vie, et dans la croissance du plan. 

    Ici, le message est extrêmement clair et limpide. Chacun doit s’engager à dépasser les seuils de la revanche et du désir inhérent à faire souffrir les autres. Nous sommes en 2019, cela fait 4 ans que cette personne misère sur la revanche, sur le pardon, sur la foi, sur le fait de toujours vouloir rendre quelqu’un d’autre coupable ou responsable de son désarroi. Alors merci de ne pas venir m’attaquer sur mon éthique, sur ma foi, sur mon travail, sur mes qualités d’écrivain, sur ma capacité à enseigner l’amour universel, à être responsable de ce que je construit avec beaucoup d’autres êtres sensibles, et à faire respecter le plan  de Mahamaitri la grande bienveillance universelle. « Oui » j’ai été suffisamment clair sur l’éthique et sur la rancune, et personne ne peux venir me reprocher quoi que ce soit sur ses 2 sujets là en particulier.

    Pour être tout à fait en adéquation avec les personnes de ce genre, je signale que je ne travaille pas avec des êtres qui restent désespérément accrochées à leur rancune, qui souhaitent du mal aux autres, qui précipitent des humains dans des enfers sans fond, qui suivent des règles devenues complètement obsolètes au fil du temps, qui n’expérimentent que ce qui les arrangent au lieu de faire en sorte que le plus grand nombre puissent accéder à un bon enseignement spirituel. Comme vous pouvez le constater, mon éthique est largement au-dessus de tout cela. Mon éthique est d’abandonner toute forme de rancune quelle qu’elle soit. Alors « oui » c’est difficile et il se peut très bien que certaines personnes n’arrivent pas à relever ce défi. Néanmoins, si vous n’y arrivez pas, ce n’est pas mon problème mais le vôtre. Dans tous les cas, il n’est pas du tout question que je baisse la barre juste parce que c’est trop difficile pour vous, que les efforts à fournir sont trop importants, où pour je ne sais quelle autre raison qui fait que vous n’y arrivez pas. C’est la voie par laquelle je passe et si elle ne vous convient pas, expérimentez-en une autre.  

    Si vous n’avez pas assez la foi, alors développez-la, disciplinez-vous, prier tous les jours, encouragez votre bon côté, développez vos qualités plutôt que vos défauts, soyez votre propre enseignant spirituel si vous pensez pouvoir le faire, allez chercher le contraire de la rancune pour faire contre-pied, bref débrouillez-vous et commencez par arrêter de vous considérer comme une victime. Personne n’est la victime de personne. Nous sommes tous des adultes responsables et engagés sur la voie spirituelle de l’éveil. Si vous pensez pouvoir prendre la place de quelqu’un en le diabolisant, si vous traiter un être de démon après l’avoir jeté en enfer mille ans, si vous manquez d’humanité dans vos pratiques spirituelles alors bienvenue sur terre, vous êtes un véritable humain. Sachez simplement qu’en soumettant quelqu’un vous obtenez juste son consentement mais vous n’obtiendrez jamais son amour où son adhésion.

    4/ Parfois il faut avoir le courage d’expérimenter certaines lois pour les comprendre, d’oser changer ce qui ne fonctionne pas parce que cela conduit à une extinction massive d’êtres, de défendre son point de vue devant une grande assemblée de très grands érudits, de secouer le cocotier des plus affaiblis, de gronder celui qui dépasse les bornes, d’éveiller les consciences, de rentrer dans le cadre de ceux qui tirent tout vers le bas, pour finaliser un projet d’envergure et avancer vers du nouveau. Malgré tous ces handicaps, nous avons le temps, et  une bonne mère aime tous ses enfants sans exception. C’est pourquoi, je fais en sorte que tout le monde puisse avoir une chance de s’élever. Mais lorsqu’une loi existant sur le marché s’avère être une mauvaise loi, puisqu’elle conduit à un anéantissement de l’humanité, je pense qu’on doit pouvoir être capable de la supprimer sans état d’âme, purement et simplement, comme un couperet s’abattrait sur un fil libérant les êtres de toutes les formes de souffrance. Chacun est responsable de son état personnel et de l’état actuel du monde, c’est individuellement autant que collectivement que nous progresserons vers un avenir meilleur pour tous, même si certains privilégiés doivent sauter.  

    5/ Actuellement, le nœud du problème mondial est très justement la rancune. J’avoue que j’ai vu de mes propres yeux comment elle était entretenue en certains lieux, utilisée par des êtres soit disant bienveillants envers tous les êtres sensibles, et propagée d’êtres en êtres en vue d’un obscurcissement des consciences. Je sais aussi que tout le monde rend les autres responsables de sa propre infortune en cherchant à se venger d’un préjudice souvent inexact. Les femmes et les hommes se reprochent leurs malheurs. Les riches et les pauvres s’entretuent au nom du partage. Tel Grand Maître élimine tel autre grand Maître pour prendre sa place dans la hiérarchie, se sentir plus important où encore se croire plus éclairé. Des êtres sont sacrifiés sur l’autel d’une loi stupide. Telle religion en veut à telle autre. Les politiques se fracassent les uns contre les autres. Les gouvernants se croient tout permis. Il y a les anciens élus et les nouveaux  profiteurs. Ceux qui veulent partager leur mérite et ceux qui souhaitent garder tout pour eux, ceux qui pensent qu’il faut payer et d’autres qui préfèrent laisser tout gratuit. Chacun tire la couverture à lui et personne ne veut lâcher du leste. Il y a toujours une revanche à prendre ici où là, un mauvais coup à faire, une dernière victoire à gagner. Un bien fait pour un tu l’avais bien cherché. Tout le monde veut avoir raison et personne ne respecte plus personne. Quelque uns souhaitent conserver l’ancien monde quand d’autres aimeraient tout révolutionner. L’entre-deux est difficile à maintenir en la voie du milieu. Il y a ceux qui se croient anonyme alors qu’en fait ils sont bien connu, pratiquant toujours les mêmes attaques, désireux d’en découdre, de faire payer l’offense, obsédé de victoires malsaines, à bout de souffle de garder une face perdue depuis longtemps. La rancune est un labyrinthe dans lequel on se perd facilement, un repère de vipères qui piquent à tout va, un sac de nœud dont il est difficile de trouver l’origine du mal.

    Sachez que pour moi et mon éthique, la spiritualité est tout sauf cela. La spiritualité est AMOUR, amitié, compréhension, tolérance, magnanimité, compassion, respect de soi comme de l’autre. Elle est l’oubli de la mauvaise humeur,  des animosités, de la malveillance, de la rancœur, et de la haine. La spiritualité se vit au présent, dans le plaisir de vivre, la joie, la bonne humeur, le pardon, toutes ses choses qui amènent toujours plus d’amour, de foi, et de lumière en nos vies. Alors « oui » je crois que mon éthique spirituelle représente tout cela, que le Maitriyo est une éthique digne de tout cela, et que mes livres amènent à réussir à vivre tout cela aussi. C’est pour toutes ses raisons, que je ne laisserais jamais personne dire ou prétendre le contraire en ma présence, ici sur mon site où ailleurs.

    Je ne suis pas là pour me venter d’être la meilleure, la plus bienveillante, la plus parfaite, où le plus grand Maître qui existe au monde. Je ne me considère d’ailleurs pas comme un maître. Je suis une personne normale, extrêmement simple, j’ai mes défauts, j’en suis consciente, j’ai un caractère bien trempé, je ne me laisse pas manipuler facilement, j’ai une volonté de fer, et j’arrive toujours à retrouver le cap de ma mission quoi qu’il se passe sur mon chemin de vie. Je sais que lorsque j’aime quelqu’un que ce soit en amour où en amitié, la force de cet amour déplace des montagnes, je suis capable de beaucoup de sacrifices mais lorsque je pars, il est trop tard et je ne reviens jamais en arrière. Ceux que je quitte s’en voit bouleversés, mais c’est la vie, c’est comme cela, je ne fais que passer dans la vie des êtres. Ceux-ci ne doivent jamais oublier tout l’amour que nous avons partagé, et tous les cadeaux que nous nous sommes apporté mutuellement. Cet amour est inoubliable. Un jour, il y a très longtemps de cela, quelqu’un à allumé la flamme de la foi en moi et celle-ci reste toujours allumée. Cet être est au-dessus de ma tête, posé sur mon front, je l’aime et il m’aime. Personne ne peut casser ce lien magique car une promesse nous réunit. Je ne suis pas venue pour choisir entre celui-ci où celui-là, pour dire qui à raison où qui à tord, pour expliquer quoi faire à tout moment, ni pour avoir une solution appropriée à toutes les questions. La bienveillance peut avoir plusieurs visages, plusieurs définitions et même plusieurs manières d’êtres. Elle n’est pas exclusive à un être, à un groupe, à une religion, à un continent où à un enseignement. Elle peut être tournée vers soi, vers les autres où encore être complètement réalisée. Pour moi, personne ne mérite de souffrir le martyr peut importe ses fautes, personne n’est tout blanc où tout noir, nous cherchons tous un chemin spirituel et personne n’est parfait en tout cas pas moi. Mes conseils ne sont que des conseils, ils sont distribués avec amour et chacun est libre de les suivre où pas.

    6/ C’est pourquoi je vais me permettre de vous donner ce deuxième conseil : Débarrassez-vous au plus vite de votre rancune si vous en avez encore. La rancune est un défaut lourd et encombrant pour votre esprit qui aspire à beaucoup plus de légèreté. Elle ne vous conduit nulle part et contribue à vous maintenir dans des enfers sombres et ténébreux aussi longtemps que vous chercherez à vous venger toujours et encore. Il est vraie aussi que la vengeance peut-être détournée, elle peut se servir d’une apparition pour faire le sale boulot, elle peut même usurpée une fausse identité pour mieux corrompre quelqu’un, elle peut être un palliatif à trop d’austérité, néanmoins à chaque fois elle grandira à devenir de plus en plus monstrueuse et incontrôlable. Mais n’oubliez jamais que vous aurez contribué à former ce monstre, à crédibiliser ce démon démoniaque et pervers. Car peut importe le masque qu’elle prend pour se servir de vous et de vos travers, elle vous appartient en propre. La rancune participe de toutes vos aigreurs au sens propre comme au figuré. Elle est à l’image d’un souvenir que l’on garde en mémoire, d’une supposée offense qui n’en était pas une en réalité, d’un faux préjudice que l’on pense avoir subit, d’une soi-disant faute que l’on aurait commise, bref elle alimente en vous un désir ardent de vengeance. La rancune à toujours une bonne raison pour causer du tord à autrui. C’est pourquoi, il faut apprendre à couper cette racine indésirable, qui maintient parfois tout un pays dans l’hostilité d’un autre pays, d’une autre religion,  d’autres êtres seulement ignorants, où tout simplement d’une autre manière d’aborder l’avenir avec plus de confiance et de sérénité.

    7/ En conclusion cher Anonyme : si tu as perdu ta foi, ne t’en prend qu’à toi. Si tu veux vraiment la retrouver, la structurer, la solidifier, et l’amplifier, tu dois t’en occuper comme si elle était une grande athlète en toi. L’essentiel est en une bonne discipline de l’esprit. Il te faudra « petit Jedi » t’entrainer tous les jours au moins une heure, répéter et répéter encore et encore tes prières, rencontrer des gens de plus grande foi que toi pour t’éclairer, accepter l’aide des très puissants pour t’épauler, bref suivre les bons conseils avisés de ceux qui t’aiment véritablement. Quoi qu’il en soit, je te souhaite d’ors et déjà, d’avoir compris ce que je suis en train de t’enseigner et bon courage sur cette voie d’accomplissement.

    Comprends aussi que tu n’es pas un ennemi pour moi, peut-être plus un/e ami/e, en tout cas certainement un très bon « petit Jedi » pour un aller simple au pays des merveilles. Toi et moi nous ne sommes pas séparés. Ne perd plus ton temps à m’en vouloir, à radoter sur mon dos, à me chercher continuellement des poux dans la tête, à prouver que je suis une méchante personne, à  essayer de discréditer mon travail, à tenter de me nuire, à me faire passer pour une grosse brute acariâtre, tu mérite beaucoup mieux que cela. Aime toi, sois doux et bienveillant avec toi, développe ta foi et ta confiance en toi et surtout épanouie toi.

    Voilà tout est dit ici, j’aurais sans doute du le faire il y a bien longtemps. Dire les choses est surement nécessaire avec certaines personnes, ceux qui n’ont pas tout à fait bien compris « qui je suis », ce que je fais, comment je pense et pourquoi je suis là. Cette fois c’est fait avec courage, amour et entendement. En espérant que nous n’y reviendrons pas encore une fois ! Merci à vous tous et toutes pour votre lecture, pour votre écoute attentive, pour votre soutien, et pour vos encouragements. Je vous aime. Recevez toute mon amitié bienveillante et salutaire.

    Véronique-Arlette le 7 juin 2019.

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