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Véronique-Arlette dit Petit Bouddha le 26 juin 2022

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Véronique-Arlette le 26.06.2022

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Véronique-Arlette le 26.06.2022

En ce moment, il y a les pros ceci et les pros cela, les pro Poutine et les pro Biden, les pro vax et les anti-vax, les pour ceci et les contre cela. Partout dans le monde et en chacun de soi, la dualité agit en essayant de nous diviser.

J'aimerais juste vous dire, que la guerre est d'abord en soi. Est ce que vous vous situez vous-même dans cet endroit de guerre où de paix? Quel camp choisissez-vous pour vous? La guerre où plutôt la paix?

Personnellement, je suis dans l'amour de moi-même, dans la paix avec moi-même, dans la compassion vis à vis de moi-même. Et c'est déjà énorme.

En ce lieu, je ne suis ni en Ukraine, ni aux Etats-Unis, ni en France. Je suis juste là où l'harmonie règne, là où je suis bien, là où je peux rayonner l'amour, là où je peux faire preuve de compassion et inciter beaucoup d'êtres à venir en ce lieu plein de douceur, d'amour, de joie et de bonheur. Là où aucune arme n'y a sa place et où aucun conflit ne saurait y être réglé.

Je suis ici de mon plein grés, complètement dévouée en cet endroit d'harmonie, parce que je suis la Paix, je suis l'amour, je suis la compassion envers tous les êtres vivants. Ici, je ne suis ni Française, ni pour, ni contre, mais juste habitée d'une intention pacifique envers tous les êtres, les Ukrainiens autant que les Russes. Je souhaite juste que tous les êtres soient connectés ensemble en ce merveilleux sentiment de paix. Parce que je sais, que j'ai cette force intérieure de pouvoir participer à la paix dans le monde en agissant d'abord sur moi-même.

En ce moment décisif de l'histoire du monde, je choisis "en conscience" de participer à la paix plutôt qu'à la guerre.

Petit Bouddha le 20 février 2022

50 nuances d’Amour

1.    Il était une fois, Valentin et Valentine, deux cœurs aimants, éloignés l’un de l’autre par de méchantes circonstances. Ne pouvant s’offrir une merveilleuse soirée romantique, pour cause d’obligations multiples et variées, décidèrent à « huit clos » d’afficher leur amour, sur le portique lumineux de leur commune.

2.    Entre désirs, sentiments, secrets, rêves et romantisme, l’Amour naît d’abord d’un premier regard, avant que les sentiments ne se nourrissent au grès des rencontres. Ici, les mots ne peuvent encore exprimer cette passion naissante, car les yeux représentent quelque chose de plus profond, de plus intime, de plus essentiel, nos âmes ?

3.    L’amour est souvent plus compliqué qu’il n’y parait. L’un peut-être déjà engagé alors l’autre ne saurait espérer. Chacun exprime sa propre façon de concevoir et d’envisager l’amour, l’un aimera plutôt « faire les choses seul » quand l’autre ne pourra « construire qu’à deux ». Alors, incompréhensions, malentendus, décalages, et bourdes amoureuses peuvent remplir le chemin de nos deux rêveurs en mal de se trouver.

4.    Il y a aussi ceux dont la vie est beaucoup trop publique, quand d’autres préfèrent une vie bien plus intimiste. Des vies pleines de brutalité et d’autres pleines de douceur, des caractères carrément opposés, d’autres se complétant à merveille. Certaines rancunes peuvent naître, parce qu’il est parfois plus facile de construire un amour raisonnable plutôt que de vivre une vraie passion.

5.    Quand certains souhaitent faire l’amour dans un joli baldaquin, pour se sentir au plus près de l’objet de leur désir, d’autres sont dans l’attente d’un baiser depuis une éternité. Alors, lorsque l’amour s’exprime enfin, les yeux se ferment, savourant la volupté des sens dans l’obscurité. Ne dit-on pas que l’amour est aveugle ?

6.    En fait, l’amour est-il si obscur que cela ? Est-il guidé par une lumière intérieure où quelque chose de plus subtil ? Ne dit-on pas que l’amour nous fait perdre la tête, parce qu’il nous amène sur des chemins incompréhensibles au commun des mortels. Mais, n’est-ce pas justement cette passion ardente qui nous amène dans des réflexions et des ambiguïtés intérieures extrêmes ?

7.    Qu’est-ce en fait, que cet Amour passionnel qui dure, s’allonge, s’efface, renaît, et s’exprime en un va et vient qui nous rapproche, toujours un peu plus près, l’un de l’autre ? Qu’est-ce qui fait que cette attirance agit, nous capte, nous guide, nous oblige, nous façonne, nous ramène toujours vers cet Amour-là, plutôt qu’un autre ? La passion est-elle la clef corrigeant notre manière d’aimer ?

8.    Lorsque la communication passe et devient fluide, les premiers émois de l’effet « petit nuage » pointent leur frimousse pour aider les cœurs à s’épancher et rêver ensemble d’une autre vie. C’est ici que la confiance s’organise et grandit, que les valeurs de chacun s’affirment, que les premières disputes apparaissent aussi. Mais, ne dit-on pas qu’il est saint de se disputer dans une relation, pour comprendre exactement « les désirs » de l’autre ?

9.    L’amour est tellement simple finalement, chacun exprime sa fougue, essaie de connaître l’autre, de jouer pour distraire, de provoquer pour limiter, d’apprivoiser sa nature enflammée en vue de trouver une certaine unité. Construire cette relation, c’est concéder une place à ce nouvel amour, en faire notre priorité, en gagnant de plus en plus de confiance. L’amour étant un jardin voluptueux qui s’entretient à deux.

10. Commençons donc par le commencement, cette éternelle première lettre d’amour, qui exprime sa flamme si maladroitement, au risque d’être blessée par le rejet de n’être aimée. Combien faut-il de mots d’amour pour arriver jusqu’au cœur de l’être aimé ? Ne dit-on pas que l’audace d’être vrai et authentique et toujours récompensée, que l’amour est une conquête difficile et absolue où la flamme doit garder toute sa force et sa vigueur pour gagner sur l’obscurité ?

11. Mais l’obscurité c’est quoi en fait ? A part la peur de ne pas être aimé en retour, d’être rejeté, ridiculisé, piétiné, violenté, de tomber sur un psychopathe, où de s’engager à nouveau, dans l’inconnu avec quelqu’un que l’on connaît peu. L’amour n’est pas un danger, un piège, où une voie sans issue. Seul le séducteur, le manipulateur, le pervers, et le violent sont dangereux. Alors pourquoi tant de peur, de culpabilité, où de honte à aimer ?

12. Il n’y a pourtant aucune crainte à entretenir une passion pour quelqu’un quel qu’il soit. Ecouter son cœur, c’est écouter sa lumière, c’est entendre l’appel de l’âme. Ecouter la divinité, c’est accepter qu’une force invisible nous attire l’un vers l’autre. Parfois, nous n’avons pas les mêmes croyances, ni même les mêmes religions, nés de pays différents, de cultures opposées, et pourtant l’Amour est là. Il nous suffit de l’accepter, de l’aider à croitre, en favorisant son épanouissement.

13. Alors, faut-il dévoiler ses sentiments un peu plus chaque jour, se dire qu’on s’aime, qu’on a du désir l’un pour l’autre, qu’on partage les mêmes valeurs, sinon les mêmes objectifs, qu’on est prêt à faire des compromis, à changer pour construire et s’engager dans une union durable ? Faut-il oser affirmer ses souhaits autant qu’entendre ceux de l’autre, tout en mettant une fin aux choses qu’on n’acceptera plus jamais ? Oui et Oui !

14. Parce qu’ensemble, nous sommes plus fort, plus imaginatif, et plus créateur. A deux, nous sommes aussi plus courageux pour dépasser nos peurs. Ainsi, nous nous aimons avec sagesse, forts de notre expérience passée, travaillant nos failles pour en faire des forces, confiants en la durabilité de cet Amour-là. Cet engagement à nous aimer avec réussite, est une véritable connexion secrète, où nos âmes sont scellées par un pacte d’amour.

15. Il faut toujours se souvenir que le feu qui nous anime est celui qui nous éclaire. Qu’il soit feu du désir, de la passion, de l’amour où de l’amour inconditionnel, il nous porte toujours vers les hauteurs d’une renaissance. Gardez à l’esprit que cet amour n’est pas une possession, mais bien une connexion d’âme à âme, la découverte d’un « mystère » tendrement révélé, comme la compréhension de ce qu'est réellement l’union sacrée.

16. En conclusion, en ces temps difficiles, faut-il écrire des mots d’amour à ceux qu’on aime, pour solidifier nos liens ? Oui, oui et encore oui ! Faut-il s’écrire, se dire des mots d’amour, être romantique, se faire des cadeaux, se séduire, mettre de la douceur dans les cœurs, apporter de l’espoir dans nos vies, croire en nos sentiments réciproques en réinstallant de la confiance ? Oui et toujours oui !

17. C’est ainsi, que Valentine et Valentin ne firent plus qu’un, en cette merveilleuse soirée du 14 février 2022. Rassemblés par la magie de leur délicieuse rencontre, ils acceptèrent de s’aimer lors de cette soirée romantique, pour penser à eux en vivant leur passion dans la vraie vie. L’amour étant la plus belle et la plus douce des récompenses, leurs deux cœurs réunis en un seul, c'est ainsi que leur union fût consommée.

18.    Cher Valentin, je ne puis imaginer ma vie sans toi. Unie à ton âme comme une fleur à la terre, tu épanouis mon cœur de mille façons. J’aime lorsque nos esprits jouent des mots avec tellement d’intelligence, lorsque tes plaisanteries égayent ma joie de vivre en dissipant mon trop sérieux. Ta douceur sait triompher de mes réserves en ouvrant les portes interdites de mon intimité. Ta voix puissante m’ouvre à l’imagination, au rêve et à l’inspiration, en faisant de moi, une meilleure personne. Je t’aime, tu m’aimes, alors aimons-nous intensément. 

Véronique-Arlette dit Petit Bouddha le 14 février 2022

Le Grand Reset des peuples

Certaines « paix intérieure » sont tellement puissantes, qu’elles peuvent bloquer toutes les guerres et rassembler tous les êtres sensibles dans l’amour universel. La fraternité triomphe toujours de la haine.

Ne vous préoccupez plus de ceux qui préfèrent rester dans « leur rancune ». La haine sépare alors que l’amour réunis. Occupez-vous plutôt de vous-même, de votre jardin intérieur, du développement de vos plus belles qualités, du « qui vous êtes » réellement dans la vie.

Guérissez-vous en accueillant vos blessures intérieures, en les aimant, en les soignant, en vous cajolant, en vous donnant tout ce que vous n’avez jamais reçu. Vous méritez beaucoup d’amour juste parce que vous êtes la vie, la lumière et l’éternité.

L’amour est un bien commun que nous possédons tous. Nous pouvons alors le multiplier en nous et le partager facilement tous ensemble. Alors, aidez-le plutôt à prospérer en vous, en vos proches, et en tous ceux qui vous entourent.

Aussi « Petit » que vous soyez, aussi « Grand » est votre pouvoir. Alors soyez amoureux, courageux, rassembleur, et éveilleur de conscience. Gardez toujours à l’esprit qu’un jour où l’autre, les choses peuvent s’inverser, et vous pourrez mettre « les plus grands » à genoux juste par votre présence, par votre volonté, et votre souhait à vouloir unir plutôt que diviser, à bâtir plutôt que détruire, à aimer plutôt que détester, à convaincre plutôt que de contraindre. L’amour est notre plus grande richesse, aussi secret soit-il.

Soyez toujours conscient que l’amour est le plus grand des bâtisseurs. Alors continuez d’aimer ceux qui vous détestent, continuez de fleurir ceux qui souhaitent vous anéantir, continuez d’aimer ceux qui partagent vos belles valeurs.

Lorsqu’on parle « l’amour universel » on est compris par tous les peuples.

Alors le monde « des petits » se rassemble, se lèvent, et s’organise pour réveiller les plus grands. Sans haine, sans violence, et sans rancune, le petit peuple montre l’exemple d’une immense fraternité envers tous les êtres sensibles. Tels des esprits bienveillants, ils sont les gardiens des trésors naturels cachés sous la terre et les racines des arbres, agissant comme protecteurs du monde en soutenant la base des édifices, en reconstruisant la confiance, en structurant une nouvelle humanité grâce à l’amour inconditionnel.

Une douce révolution est en cours actuellement, installer la paix en soi, en son cœur et en son esprit, pour qu’elle se manifeste dans la réalité, pour en finir avec les enfers autant que les paradis, et bâtir une nouvelle humanité, où chacun pourra grandir et prospérer dans l’amour, la joie et la sérénité.

Mais, n’est-ce pas ce que vous rêviez tous depuis des lustres ?

Ps : vous pouvez copier ce texte, le traduire et le partager autant que vous le souhaitez. Vous êtes tous des « petit bouddha » en soi alors ce texte vous appartient autant que l’image. C’est un don pour l’humanité.

Véronique-Arlette dit Petit Bouddha le 30 janvier 2022

Développer sa force intérieure et son pouvoir personnel.

Certains réussissent là où d’autres ont échoués. L’un mènera un combat durant 10 ans en gagnant son procès tout seul contre un gros poisson, quand l’autre l’aura abandonné par peur du quand dira-t-on. Certains défis demandent beaucoup de ressources parce qu’on doit les réussir « seul ».

Ce qui est coupable c’est de dire à quelqu’un qu’il nous a déçu parce que nous comptions sur lui pour gagner notre propre combat personnel grâce à lui.

Ce qui est répréhensible c’est de compter sur les autres pour nous apporter la victoire, tout en se prélassant sur le transat au soleil en attendant que la « force intérieure » se développe toute seule en nous.

Alors oui « Petit Bouddha » devient Grand parce qu’il s’est battu, contre 1 personne, puis deux, puis trois, puis tout un groupe. En même temps, il s’est défendu contre la méchanceté, contre la jalousie, contre l’injustice, contre le mensonge, contre ceux dont il était involontairement le bouc émissaire, contre des individus qui ne pensent qu’à leur réussite financière alors que lui pense à enrichir les autres spirituellement.

Grace à cela, Petit Bouddha a développé une très grande « force intérieure » qui aujourd’hui le sert complètement et à juste titre. Du coup, il prend conscience de ses propres peurs, il ne se sent plus coupable inutilement, il ne se sent plus honteux des commérages des autres, il ne se noie plus dans ses émotions, il utilise le mensonge contre les menteurs, il essaie de rester concret et rationnel, sans s’attacher aux choses trop matérielles.

Il a appris surtout à garder une très grande distance et à se méfier de ceux qui ne font jamais aucun compliment à personne et surtout pas à ceux qui gagnent des combats tout seul. Ceux-là sont des envieux, qui se servent des êtres pour gagner leurs batailles personnelles au détriment du collectif.

Dans cette quête vous devrez être victorieux de toutes vos peurs, de toute votre culpabilité, de toute votre honte, de toute vos émotions négatives, de tous vos mensonges, de toutes vos désillusions, et de tous vos attachements. Sur votre route, vous croiserez la haine, la violence, la jalousie, la méchanceté, la cupidité, la perversion, la manipulation mentale et le vice. Il vous faudra laisser derrière vous tous ceux qui vous ont causés du tort, que vous avez aimés quand eux vous haïssaient, qui vous tiraient vers le bas pendant que vous souhaitiez aller vers le haut, qui vous bafouaient pour servir leur machiavélisme.

Il vous faudra pardonner aux maîtres et enseignants qui voudraient vous « apprendre à pardonner » quelque chose qu’ils ne vous ont pas pardonner durant plusieurs générations.

C’est pourquoi, il vous faudra développer le solitaire en soi, « être seul » silencieux du vrai silence, gouter à la douceur merveilleuse du cocon, l’âme vous appelant à rejoindre les tréfonds de l’humanité, où vous découvrirez enfin les merveilleuses ressources qui vous animent. Une invitation à être la lumière divine et la beauté caractérisée en ce lieu si maudit des ténèbres. C’est ici que les racines du mal peuvent être déracinées complètement et définitivement.

Véronique-Arlette dit Petit Bouddha le 12 janvier 2022

Soyons les heureux artistes créateurs de nos vies.

 

La naïveté de notre cœur devant rester intacte jusqu’à la plus grande des vieillesses, le défis à relever est donc délicat et épineux !

Nos sentiments ne sont pas toujours linéaires mais complètement colorés par les émotions que nous traversons. De plus nos émotions changent à longueur de journée. Elles peuvent être joie, colère, peur, tristesse, dégoût et surprise. Nous pouvons être aussi fatigué, irrité, dépité, pacifié ou encore dans une totale acceptation de ce qui est. Quoi qu’il se passe émotionnellement, nous réagirons tous différemment, certains agirons pousser par leurs émotions, quand d’autres s’enflammeront émotionnellement.

L’émotion étant un état affectif intense qui se manifeste par une forte perturbation mentale et/ou physique. Cris, pleurs, éclats de rire, et tension parfois extrême, ces émotions fortes nous empêchent de réagir de façon raisonnable et appropriée à l’événement qui l’a provoquée. Nos émotions sont quelque chose de tellement fort qu’elles ont tendance à nous submerger et nous faire perdre nos moyens. Mais, elles ne sont que passagères, c’est pourquoi, il ne faut pas s’y attarder.

Les émotions ne sont pas toutes semblables, elles se colorent des éléments, terre air eau feu et ether, d’où les couleurs que je leur attribue. Elles peuvent être lourdes, légères, volatiles, fluides ou subtiles.

C’est pourquoi, il faut apprendre à différencier les vrais sentiments qui sont durables dans le temps, des émotions qui ne sont qu’éphémères. Gardons à l’esprit que l’amour se colore d’émotions mais que les émotions ne sont pas représentatives des vrais sentiments.

Les sentiments étant notre prise de conscience de notre état émotionnel. Il s’agit d’un état affectif, mais contrairement à l’émotion, celui-ci se construit sur des représentations mentales, s’installe durablement chez les êtres et son ressenti est moins intense. Autre différence, le sentiment est généralement dirigé vers un élément précis, par exemple une personne où une situation, alors que l’émotion peut ne pas avoir d’objet bien défini.

Les sentiments sont donc des émotions conscientisées par notre cerveau et qui durent dans le temps. Ainsi, la haine est un sentiment attisé par la colère (émotion), l’admiration est un sentiment nourri par la joie (émotion), l’amour est un sentiment engendré par beaucoup d’émotions différentes (l’attachement, la tendresse, le désir…).

Le sentiment amoureux est quant à lui le sentiment le plus difficile à définir car impossible à décrire précisément. L’amour se caractérise par un certain nombre d’émotions et de ressentis. Il est la conséquence de sensations physiques, intellectuelles et psychiques intenses qui se répètent et qui ont toutes un point commun : elles sont agréables et addictives, bref, on en redemande à chaque fois plus et plus intensément.

Le désir sexuel étant l’attirance physique entre deux personnes. Les phéromones agissent comme des messagers entre les individus, elles créent en partie l'attirance physique. Libérées par la peau, la sueur, la salive, ces hormones informeraient les êtres humains se trouvant dans notre périmètre de notre disposition à nous reproduire.

Les émotions telles que la joie, le désir physique, l’excitation, l’attachement, la tendresse, et bien d’autres encore, vont de pair avec le sentiment amoureux. Les émotions suscitées par l’amour se voient physiquement, car notre rythme cardiaque s’accélère en présence de l’être aimé, nos mains deviennent moites, notre visage se détend, nous sourions, notre regard s’attendrit, nous sommes sur un petit nuage.

Le sentiment amoureux désigne l'un des plus puissants que l'être humain puisse ressentir. Il a la particularité d'apporter énormément d'énergie, et d'être souvent accompagné de légèreté et de joie. Bref, le sentiment amoureux rend très heureux.

Alors, colorons nos journées de naïveté, d’amour, d’allégresse, de joie et de bonté……..l’espoir n’en sera que plus merveilleux.

Petit Bouddha le 1er Août 2021

Mon Pass Sanitaire c’est le Bouddha lui-même.

Pleine lune du 24 juillet 2021

Parfois, je ne comprends pas les peurs, les doutes, le manque de compassion, je dirais même de « Foi », de nos pères, maîtres, et enseignants. J’ai traversé tant de choses douloureuses dans ma vie et perdu tellement d’êtres chers à mon cœur, sur mon chemin, que je parle en toute connaissance de cause. Mais s’il y a une chose que je n’ai pas perdu, c’est ma Foi en le Bouddha. J’ai perdu la trace du Bouddhisme, mais pas « la conscience » de cet être exceptionnel que j’avais rencontré jadis. Je ne me souvenais pas de lui, mais son nom sur un document ma réveillée. Depuis, c’est en le cherchant que j’ai retrouvé le Bouddhisme, et appris que le Bouddha était mort depuis longtemps. Gros choc qui m’a laissé dans une immense tristesse. Comment un tel être peut-il mourir ? Il y avait tant d’amour en lui, tant de mérite, tant de bonnes choses juste pour nous, et pour tous les êtres sensibles. Une immense générosité…. 

Il m’a transmis cette « foi » exceptionnelle, qui me permet de toujours renaître de tout. Je crois que je suis morte des centaines et des centaines de milliers de fois et à chaque fois, je suis épatée de me relever comme si rien ne s’était passé ! Peut-être est-ce parce que j’accepte cette mort symbolique que je traverse comme si le but était au-delà, toujours plus loin, beaucoup plus loin. Alors, ce n’est pas un Coronavirus créé par les chinois qui va me faire peur, culpabiliser de refuser le vaccin, où perdre ma Foi. D’ailleurs, cette foi n’est pas à moi, elle appartient au Bouddha, et s’il devait s’avéré que je devais mourir du Coronavirus, ce serait uniquement pour rejoindre le Bouddha. Pendant longtemps, tout cela à été très lourd à porter sur ma tête et sur mes épaules. Mais maintenant, je suis prête et j’espère que cela parlera au cœur de ceux qui peuvent entendre ce genre de témoignage. Dernièrement j’ai lu cette citation « vous pouvez ne pas m’aimer, mais vous ne pouvez pas m’empêcher de vous aimer » et je trouve qu’elle me correspond complètement. Du coup, j’en abuserais auprès de tous ceux qui n’ont pas beaucoup de compassion, en espérant que vous en ferez tout autant.

Parce que la foi, qu’est-ce que c’est ? C’est l’assurance donnée d’être fidèle à sa parole, d’accomplir exactement ce que l’on a promis. C’est aussi la qualité d’une personne qui parle et agit avec une intention droite et sans ruse. Une telle personne est dite de « bonne foi » parce qu’elle s’est engagée à tenir son serment coûte que coûte. Le problème c’est qu’au fil des vies successives, elle s’oublie autant qu’elle oublie son serment, parfois à ne plus se rappeler de rien du tout. Du coup, des évènements arrivent pour la forcer à agir, à tenir sa promesse, à s’atteler à sa mission. Il y a des circonstances qui l’aident quand d’autres s’y opposent, mais malgré ces pours et ces contres, cette personne doit matérialiser son secret spirituel. Dans la matière les choses sont denses alors que spirituellement les choses sont éthérées.

Il serait tellement plus facile pour moi, d’être avec les moines et les nonnes, mes 2 maîtres, où un homme en particulier. Mais ce n’est pas ma mission. Pour autant, si je peux parler au cœur de tous les êtres sensibles, si je peux « porter chance » comme le dit mon Grand Vénérable et si je peux vraiment faire quelque chose de concret dès maintenant, alors pourquoi ne pas essayer d’agir ? Si vous pouviez me montrer votre besoin, je pourrais constater si cela répond aux prévisions du Bouddha ? La question essentielle étant la suivante : est-ce pour maintenant où pour plus tard ?

Alors allons-y, parlons de ce fameux Coronavirus, venus de Chine, plus particulièrement de Wuhan. Virus né d’un pays quitté par le Dalaï Lama devant l’oppression du PCC (Parti Communiste Chinois), pays qui a exterminé beaucoup de Moines et de Nonnes, maltraité tout un pays le Tibet et les Tibétains, qui impose une certaine dictature depuis plus de 60 ans. Aujourd’hui, même certains chinois renoncent à vivre chez eux, tant l’oppression dictatoriale est massive. D’abord la pandémie, puis les masques, puis les confinements qui ont réduit les états à la soumission chinoise, tout aura été orchestré et mit en place par le régime chinois. Maintenant, la Chine impose aussi aux autres pays, le Pass Sanitaire déjà instauré aux Chinois. Dire, que tout cela est en nous, en nos pensées, en nos intentions, en nos cœurs, en nos modes de fonctionnements, particulièrement celui des Bouddhistes. Parce que nous les Bouddhistes, nous nous battons tous comme des guerriers et la chine à l’art d’utiliser la force de ses adversaires. J’espère que cette maxime vous éclairera et qu’elle vous permettra de « lâcher-prise », d’accepter votre vulnérabilité, de ne plus être contre et d’au lieu d’être contre le régime Chinois, vous jouerez comme moi, la carte du « être avec ». Bref, de comprendre et d’exploiter avec finesse d’esprit, le « je suis pour la non-vaccination » au même titre que « je suis pour la non-violence » propre au Dalaï-Lama.  

De toute façon, ses nouvelles mesures gouvernementales sont du Bullshit, des foutaises et un gros paquet de niaiserie ! C’est encore pire que les bisounours en vacances, les Bidochon aux restos, où encore les Bronzés au ciné ! C’est tout l’art de faire preuve d’autorité devant une bande d’adolescents en mal de festivités et d’amusements. A savoir que toutes ces règles seront revues en octobre 2021, suivant le calendrier des planètes, et la vaccination qui parlera d’elle-même d’ici quelques mois.

Alors, pourquoi ces nouvelles mesures sont du Bullshit ?

1/Fête du 14 juillet 2021, 15000 personnes autorisées sur le champ de mars, saturé à partir de 16h, aucun dispositif de canalisation des personnes qui continuaient d’arriver, juste des grilles avec des policiers pour bloquer les gens. Autour de 23h, lorsque le feu d’artifice devait démarrer, nous étions tellement serrés les uns contre les autres, qu'on ne pouvait plus respirer avec les masques. Certains ont craqué, ils ont retiré leurs masques, et ont commencé à se bagarrer entre eux. Résultats, il est facile de mettre en place de jolies mesures très rassurantes sur le papier sauf que dans la réalité ces mesures sont impossibles à mettre en place. Et là, je ne parle que des gestes barrières, du port du masque qui doit être changé toutes les 4 heures, et de la vaccination qui n'a pas encore prouvée qu'elle protégeait mieux, ni qu'elle empêchait les vaccinés de mourir ! Certains y croient et tant mieux, si cela leur permet de vivre plus sereinement cette pandémie.

2/ Certaines villes ont carrément annulé les festivités du 14 juillet parce qu'il leur était impossible de mettre en place ces mesures qui nécessiteraient un immense dispositif drastique très couteux pour les municipalités. Alors, soit elles annuleront les évènements, soit elles contourneront certaines lois, soit elles s’adapteront comme elles pourront à la situation. Résultats : Rien n’est jamais aussi parfait qu’on le souhaite sauf l’exigence d’une loi inadapté. (Comprendre aussi ici, qu’une seule loi venue d’ailleurs peut réduire à néant toute une religion en seulement quelques années.)

3/ Une semaine sur Paris, j'ai pris tous les transports en commun, certains ne portent pas de masques, on est parfois serrés les uns contre les autres, les bouteilles de gel hydroalcoolique sont vides, la chaleur est suffocante, j'ai pu constater par moi-même qu’aucune de ces mesures n'est appliquées dans les transports en commun. Résultats : de qui se moque le gouvernement ? Des plus pauvres ? (Constatez ici aussi que le Bouddha lui-même n’adhérait pas aux systèmes des castes.)

4/ A savoir qu'actuellement, il en est de même sur les plages, dans tous les lieux culturels, dans tous les endroits où il y a de la foule. Les mesures ne seront applicables qu’en début août. Résultat : + de 50 % de personnes vaccinées et malgré tout, une explosion massive des nouveaux cas de coronavirus.

5/ Nous nous sommes restaurés dans beaucoup d'endroits, des plus simples au plus luxueux, personne ne nous a demandé de montrer notre Pass Sanitaire, ni de noter notre nom et notre adresse où que ce soit. Je dis bien, personne, et pas une seule fois. Et je les comprends ! Après un an et demi de fermeture, ils ont autre chose à faire ! Leur objectif principal étant de sauver leur entreprise. De plus, ils sont commerçants, serveurs, cuisiniers et non gendarmes au service du parti communiste chinois. Il y a déjà longtemps qu'ils ont compris l'impossibilité de telles mesures soi-disant sanitaire !

6/ Si on suit la logique gouvernementale, les mesures à mettre en place, réduisent le manque à gagner de 50%, du fait du respect des gestes barrières. Si on ajoute l'obligation du Pass Sanitaire dans les restos, les cinémas, et tous les lieux définis par ses mesures, on retire encore 49% vu que seulement 51% des gens sont vaccinés. C'est pourquoi, rien n'est respectés nulle part. Qui accepterait de travailler pour 25% de son chiffre d’affaires habituel ? Personne ! D'ailleurs, on devrait bien retirer ce manque à gagner sur les salaires de nos politiciens et gouvernants du régime Macron. Peut-être qu'ils prendraient conscience de l’inefficacité de leurs nouvelles lois.

7/ L'autorité d'une baguette, du flash-back et de la menace à tout bout de champs, ne sert à rien, quand on est incompétent pour se rendre compte que ce que l'on demande est impossible à mettre en place. C'est sur le terrain qu'on évalue le risque, qu'on comprend les êtres, qu'on motive les consciences, pas à l'Élisée, entourés de gardes du corps bien propres, ni autour de sa piscine privée au Fort de Brégançon. Résultats : la peur est toujours aussi mauvaise conseillère, qu'elle fait faire n'importe quoi, même aux plus lettrés. Certains sont obligés de soumettre parce qu’ils n’ont pas réussi à convaincre avec de l’amour et de la compassion.

8/ Ce qu’il faut comprendre, c’est que les gens sont si motivés lorsqu’il aime quelqu’un, lorsqu’ils sentent qu’on fait les choses pour eux et non parce qu’on est un « petit trouillard », où encore parce qu’on fait appel à leur grande compassion. Les gens n’aiment pas qu’on essaie de les soumettre, de les obliger à faire quelque chose qu’ils appréhendent où n’ont pas compris, qu’on les manipule à coup de mensonges à gogo. Ils aiment la franchise, les vérités même si elles sont difficiles à accepter, qu’on leur laisse le choix de faire leur propre expérience personnelle. Seul quelqu’un d’aimant peut comprendre cela !

9/ C’est pourquoi actuellement, nous devons faire preuve de courage. Quand je parle de courage, je parle de vrai courage. Pas de celui d’une Maire qui trouve courageux d’éteindre l’éclairage public de sa commune pour faire des économies budgétaires, mais de celles qui trouveront le courage et vaincront leur peur de rentrer chez elles dans le noir après leur travail. Il nous faut penser à ceux qui font des choix différents des nôtres, et qui trouve le courage d’assumer leurs choix autant que celui des autres. Il nous faut avoir de la compassion pour tous ceux qui ne soutiennent pas nos propres choix. Chacun doit pouvoir avoir le droit de choisir en fonction de sa propre situation.

Personnellement, mon choix est fait, je suis POUR la non-vaccination. J’ai la foi, je crois en Grand Bouddha, qui protège tous les petits bouddhas que nous sommes. Je resterais donc le plus possible chez moi en assumant mon choix. Je boycotterais tous les restaurants, les cinémas et les lieux culturels qui demanderont le Pass Sanitaire. Je serais courageuse en continuant d’aller au-delà, toujours plus loin, chercher plus d’amour et de compassion. Maintenant, je sais qu’il n’y a aucune séparation entre vous et moi, alors je peux vous aimer infiniment plus grand. Recevez toute mon amitié bienveillante et salutaire.  

Petit Bouddha le 21 juillet 2021

Vaccination, ou pas vaccination, telle est la question ! 

Aujourd’hui, 6 juillet 2021, en regard du contexte conflictuel entre les vaccinés et les non vaccinés, un point de référence s’impose.

A ce stade de l’histoire Covid, normalement, les vaccinés auraient dû gagner en sérénité grâce à leur vaccination. En effet, la vaccination étant à leurs yeux, la meilleure protection contre la Covid. Sauf, qu’au regard des évènements actuels, il n’en est rien. Leur peur c'est seulement déplacée et maintenant, les vaccinés sont terrifiés par les non-vaccinés !

Malmené psychiquement par la junte présidentielle et les médias, le troupeau part dans tous les sens ! Alors qu'il faudrait leur apprendre à travailler leurs peurs plutôt que de les laisser projeter leurs angoisses sur les autres, rétablir la force d’un lien affectif sécurisant, compter sur l'immunité collective car nous serons à terme, obligés de vivre avec la Covid.

La peur étant le plus grand des dangers, puisqu’elle fait faire n’importe quoi, aux peureux, qui courent dans tous les sens pour échapper à l’objet de leur terreur. Pourtant, la peur fait partie intégrante de nos apprentissages pour parvenir à devenir des adultes responsables. Comme le dit l’adage, la peur n’évite pas le danger, bien au contraire. Nous sommes à un moment où un autre confronté à notre peur et nous devons l’affronter pour nous en affranchir. Il ne sert donc à rien de l’éviter. C’est pourquoi, nous devons apprendre à la combattre, à la discipliner, à nous affranchir d’elle pour notre libération et celle des autres. Dans les temps anciens, il existait des rituels de passage entre l’adolescence et l’âge adulte pour apprendre à dominer nos propres peurs. Aujourd’hui, la société créée de plus en plus de peurs, celle du Covid ayant pris des proportions gigantesques, puisqu’elle est devenue « une peur collective » mondiale. J’avoue, il faut donc beaucoup de courage pour y faire face. Alors, plus nous seront nombreux à affronter notre peur de cette Covid, plus nous gagnerons en force d’immunité, et pourrons offrir une véritable sérénité au monde.  

Ce qu’il faut surtout comprendre, c’est que certains êtres malveillants, profitent de toutes nos peurs. Ils s’en nourrissent, les exploitent et les font fructifier. Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca, Johnson&Johson sont des groupes pharmaceutiques qui ont fait d’énormes profits grâce à la Covid. Jusque-là pas de problèmes, tout le monde doit gagner sa vie. Sauf qu’ils n’ont aucune éthique et ont tous été condamnés pour des pratiques commerciales frauduleuses, pour avoir payé gracieusement de fausses études, pour avoir acheté la validation de médecins renommés, pour avoir commercialisé des médicaments extrêmement dangereux pour la santé des humains. Au regard de tous ces faits, les gens n’ont plus confiance et préfère renoncer à la vaccination. Doivent-ils pour cela être blâmés ?

Alors, doute où confiance, peur où courage, se comporter comme des gamins où affirmer son statut d’adulte, chacun est amené à regarder en son intériorité ce qui l’habite, avant d’entreprendre de « flinguer » son voisin, pour telle ou telle raison. Lorsqu’on est adulte, on s’informe, on fait des choix, on a des valeurs, on se comporte en être responsable pour le bien de l’humanité toute entière. On peut imposer ses propres choix à ses enfants mineurs mais on n’impose pas ses propres choix à tous les autres êtres sensibles sans un consensus. A la limite, on peut encourager les êtres à devenir des adultes responsables au lieu de les encourager à rester des enfants immatures. Obliger un adulte à faire quelque chose contre sa volonté, contre sa santé physique et mentale, contre son intérêt propre, juste pour engraisser des rémunérations d’ordre financiers, c’est le soumettre à une autorité malveillante, et se priver de tous les trésors qu’il aurait pu offrir à l’humanité. La vie ne se brade pas, parce qu’elle est un cadeau merveilleux. En réalité, celui qui soumet n’a pas réussi à installer la confiance, à établir un vrai dialogue, à défendre une stratégie commune, ni à obtenir l’adhésion du plus grand nombre, bref à se faire comprendre et aimer de tous.

Ce qu’il faut savoir c’est que 80 % de la population mondiale est non-vaccinée. Ceux qui acceptent la vaccination, ne le font que pour pouvoir voyager, aller en vacances ou retrouver leur vie d’avant. Quoiqu’ils fassent et où qu’ils aillent, ils rencontreront obligatoirement des êtres non-vaccinés.

51,55 % de la population française est vaccinée, et la quatrième vague du variant delta arrive. S’ils pensent sérieusement être protégé par la vaccination, pourquoi paniquent-ils ? Si ce variant est très dangereux pour les non-vaccinés, c’est leur choix.

Contrairement au Dalaï Lama, Petit Bouddha n’est pas vacciné et ne le fera pas ! Petit Bouddha à confiance en Grand Bouddha, il n’a pas peur, il est courageux parce qu’il se sent protégé. Cela s’appelle la FOI. Alors parfois cela ne suffit pas, quant à d’autres moment cela suffit largement. De toute façon, vacciné où pas, l’essentiel est de croire en soi, en ses propres valeurs, en ses capacités et en son immunité, sans les imposer aux autres. L’amour est une valeur sure et la chance fera le reste.

Le plus important dans cette démarche est d’être bienveillant, aimant et salutaire envers soi-même. Il ne faut jamais sous-estimer des capacités de résilience, les possibilités d’une vertu telle que la FOI, une faculté telle que l’amour universel, et une richesse sacrée telle que la compassion. Développer une habitude courageuse EST la clef pour sortir vainqueur de cette pandémie mondiale. Se souvenir qu’UN seul être compassionnel peut sauver le monde entier. Tel est le miracle du plus Petit, il n’est pas grand mais à lui seul, il fait toute la différence. Ne pas oublier non plus que se libérer de la peur augmente l’estime de soi, la confiance en soi et notre capacité à surmonter les épreuves de la vie.

Petit Bouddha le 6 juillet 2021

Soin de la pleine lune du 24 juin 2021

Un diton français dit ceci :

« Il faut, autant qu’on peut, obliger tout le monde ;

On a souvent besoin d’un plus petit que soi. »

Tout le monde connaît cette fable, intitulée le Lion et le Rat, dans laquelle le fabuliste Lafontaine nous fait voir un rat qui sortit de terre entre les pattes d’un lion. Celui-ci n’y fit aucune attention et lui laissa la vie, bienfait qui ne fut pas perdu. Car il arriva un jour, dans une forêt, que le lion fut pris dans des filets. Il eut beau remplir l’air de ses rugissements, rien n’y fit, et il serait resté longtemps dans cette position si le rat n’était accouru à son secours et n’avait rongé les mailles du filet ; ce qui rendit la liberté au lion. 

La plupart du temps, c’est plutôt les petits qui ont besoin des plus grands, pour apprendre, pour comprendre, pour grandir, et pour s’éveiller. Mais les plus belles leçons sont souvent données par le plus petit, le plus humble, le plus digne, le plus vrai, le plus fidèle, le plus exemplaire. Celui qui reste dans l’ombre à aimer, à soutenir, à favoriser l’expansion de l’autre, à être juste là au cas où, parfois à le sauver de lui-même. Ne sous-estimons jamais l’immense pouvoir du « petit ».

La leçon qu’il nous apporte est un message d’amour inconditionnel, de grande compassion, et de grande ouverture de cœur.

Lorsqu’on est « petit » on n’a pas besoin de mettre sa force dans le maintien d’une image vis-à-vis du monde mais juste d’être soi-même habité d’un désir d’amour, de bonté et de générosité envers tous les êtres sensibles même ceux qui pourraient nous tuer.

Lorsqu’on est un « petit » on s’est confronté seul à toutes nos peurs, on a parcouru tous les chemins humiliant, dépassé la honte du regard des autres, on a cicatrisé nos blessures intérieures, on n’a plus besoin de mentir pour s’accepter tel que l’on est, on s’est sociabilisé en commettant beaucoup d’erreurs, on s’est responsabilisé à force d’ouvrage, on n’est plus une victime ni un mouton. Bref, on rencontre enfin « le soi » après avoir tuer l’ego à petit feu. Il ne reste donc que le seul petit être face à l’immensité de la vie elle-même. Et là on a plus peur de rien, on ne se sent plus coupable, ni honteux, ni triste, ni artificiel, ni encombré d’illusions, ni attaché à qui que ce soit. Ici, l’être est apaisé, il est en joie, dans le bonheur complet et cette prise de conscience fait qu’il voit de l’amour partout.

Alors soyez infiniment petit, soyons nombreux à être « petit », juste parce qu’il n’y aurait pas de grands sans nous les petits, point de Maîtres sans leurs disciples, point d’enseignants sans élèves, point de macrocosme sans microcosme. Tout se complète et s’inverse à un moment donné.

Comme Petit Bouddha le dit souvent :

« La vraie grandeur consiste à savoir accueillir sa propre humilité. »

Petit bouddha existe seulement parce que Grand Bouddha à besoin de lui pour réveiller l’esprit des plus grands.

Alors en quoi le fait « d’être petit » sert notre histoire aujourd’hui ?

Il était une fois, un grand lion fabuleux roi de son royaume et un autre lion roi de la montagne sacrée. L’un ayant été jeté hors de son pays par un « ennemi invisible » avec tous ses habitants, se réfugia chez son ami voisin qui lui offrit l’exil. L’autre roi croyant en son éternelle grandeur toute puissante en son pays du sourire, perdit la vie du « même ennemi invisible » et fût remplacé par son fils avide de soumission de la part de ses sujets surtout les femmes. Sa mère étant sa première victime, ses nombreuses femmes n’étant pas mieux servies. Le fils n’ayant pas compris que l’on n’obtient beaucoup moins pas la soumission que par l’amour de l’autonomie. L’ennemi invisible étant l’ombre de la force qu’on déploie à se combattre soi-même.

A peu près en même temps, à quelques années près, naquit du Paradis, une femme à la force titanesque, de la grosseur d’un éléphant blanc, elle descendit du ciel immaculé, toucha le sol de ses pieds en forme de lotus. Elle était pure et étincelante comme un diamant. Personne ne l’attendait, personne ne la reconnue, personne ne présageait de son pouvoir. Elle était simple, authentique, loyal, amicale, et bienveillante. Bienveillante avec tout le monde, bienveillante avec les petits, bienveillante avec les grands. Son chemin lui appris la patience, à œuvrer en silence, à employer la douceur contre l’ennemi invisible, à continuer d’aimer quoi qu’il se passe. Cette culture de l’amour avec un grand A, elle la tenait du ciel, de ses parents spirituels, des anges qui l’accompagnaient dans son œuvre, de la spiritualité qu’elle avait développée au cours de ses nombreuses vies antérieures. Au début, elle était tellement bonne, qu’elle croyait que tout le monde était comme elle. Mais l’histoire lui enseigna à se méfier du commun des mortels. Au cours de son apprentissage, elle reçut de nombreux coups, et pleura beaucoup. A chaque fois, elle se relevait, et continuait d’avancer vers son destin. L’amour la guidait, l’amour l’éclairait, l’amour grandissait en elle au fur et à mesure qu’elle comprenait les secrets de la vie. Elle remontait le courant vers la montagne sacrée, vers ce roi lion, vers un enseignement perdu, vers l’utilité d’être là. Un jour, lors d’une visite dans une pagode, elle retrouva un ancien maître qui lui enseigna Vipassana la marche du Grand Bouddha. Elle connaissait cet enseignement, elle connaissait les prières, elle connaissait l’œuvre de cet être qu’elle avait connu dans les temps anciens. Tout s’éclairait en elle, et autour d’elle, tout prenait forme et sens. Avec la force de son esprit, elle était capable d’entendre les pensées, de répondre aux souhaits, de résoudre les dualités, de guérir les souffrances, de porter chance aux êtres qu’elle rencontrait.

C’est alors qu’elle comprit, qu’elle n’avait pas besoin d’aller chez les autres pour les sauver. C’est en elle que tout se passait, c’est à partir de son corps, de son esprit et de son cœur qu’elle pouvait changer le monde, modifier les choses, installer santé, joie, bonheur et paix. Par la force de ses pensées, elle comprit qu’elle devait retrouver sa douceur d’antan, ses qualités, et ses pouvoirs perdus. Elle commença à cultiver ses atouts, son intuition, sa clairvoyance, et retrouva ses multiples dons. Elle comprit également que la distance n’existait pas dans le monde de l’énergie. Elle pouvait donc parler et entendre tout le monde, adoucir en cultivant sa douceur, guérir en réveillant le guérisseur, redonner de la confiance en s’estimant elle-même.

Elle découvrit que la montagne sacrée étant en elle, le royaume du siam aussi et par voie de conséquences les 2 rois lion. Il suffit souvent d’un plus petit que soi pour évacuer l’ennemi invisible en utilisant la douceur en soi, en ne contraignant plus mais en étant tout simplement aimant avec soi, en émancipant plutôt qu’en soumettant. Être un petit être aimant, bienveillant, compatissant, indépendant, responsable et libre soit même, ainsi on permet aux grands de se libérer aussi.   

Moral de l’histoire :

« C’est avec des milliers de Petits qu’on forme un Grand, c’est pourquoi ce Grand a besoin de comprendre l’utilité du Petit pour que la boucle soit bouclée ».

Ainsi tourne de nouveau la roue de l’enseignement.

Petit Bouddha le mercredi 23 juin 2021 

Méditation du 10 juin 2021

La contemplation est un refuge merveilleux.

Cette nouvelle lune du 10 juin 2021 est très particulière, puisqu’elle initie un tout nouveau cycle d’existence.

Peu importe l’heure à laquelle vous lisez cet article, quelque chose de merveilleux vous arrivera.  

Le lièvre lunaire est visible dans la lune, surtout les soirs de pleine lune, mais aujourd’hui en cette exceptionnelle rencontre, lorsqu’initiés et maîtres collaborent ensemble, un grand bonheur rejaillit sur tous les cœurs assemblés en cet instant magique.  

S’apaiser c’est apaiser le monde, et faire que ce qui est en haut est aussi beau et merveilleux que ceux qui sont tout en bas.

Se guérir soi-même c’est sauver le monde, sauver tous les êtres sensibles, sauver la terre à travers cette prise de conscience.

Se pardonner à soi comme on pardonne aux autres c’est se libérer de toutes les formes de rancune.

Lorsqu’un homme s’illumine, les autres hommes disent que cet homme est devenu un bouddha. Lorsque c’est une femme, certains disent que c’est un accident. Pourtant, il n’y a ni homme, ni femme, juste un être humain incarné. Mais, en ces circonstances terrestres, le chemin est plus long pour la femme que pour l’homme.

Pourtant, lorsque cette femme est seule, elle se sent entière et complètement connectée de l’intérieur, avec tous ceux qui l’entourent et donc le monde entier. C’est ainsi que le monde entier se trouve en elle. Cette ouverture du cœur compassionnel envers tous les êtres sensibles est une question de pleine conscience.

Alors, comment fait cette femme pour se placer en cette force de Grande Compassion ?

Assise en méditation, en une respiration calme et centrée sur le ventre, sachant que le Grand Bouddha est placé au-dessus de sa tête, que les 33 ciels l’assistent en leurs divinités, que le moment est venu de se montrer pour partager, cette femme place son esprit ici, juste au-dessus du front, accroché en cette étoile lumière immaculée, pleinement consciente d’être connecté avec le Grand Bouddha lui-même. La foi est une force souveraine stable, solide et bien droite. En cet endroit suprême, elle est au-delà de toute compréhension intellectuelle, vide de toutes pensées, seulement connectée en ce canal d’amour compassionnel. Elle observe les êtres en se disant, cette compassion aime tous les êtres, cette compassion comprend toutes les langues, cette compassion résout tous les conflits, cette compassion relie tous les êtres entre eux en le terreau de mon corps, de mon cœur, et de mon esprit.

La contemplation de cette femme devient alors un refuge extrêmement merveilleux, à la beauté immaculée, à l’enthousiasme somptueux, à la lumière étincelante de l’amour universel. En cette béatitude suprême, Grand Bouddha protège tous les êtres sensibles, aime tout le monde, et éclaire tous les mondes. C’est ainsi que Grand Bouddha protège Petit Bouddha, et que Petit Bouddha « porte bonheur » à tous les êtres sensibles. Être un porte-bonheur est un chemin, une rencontre, une présence, un but. Seul le bonheur se partage à la multitude lorsqu’il est trouvé en soi.

Savoir se sentir en proximité des divinités, des Maîtres, du Dalaï-Lama, de ses semblables, de ses voisins, c’est comprendre qu’ils sont tous en nous, en nos cœurs, en amour avec nous. Tout est interconnecté et imbriqué en un processus complexe prévu par le Bouddha lui-même. Les choses arrivent parce que c’est le moment parfait pour que le miracle se produise.  

C’est en retrouvant sa douceur initiale, sa tendresse primaire et son savoir ancestral que cette femme peut initier ce que le monde attend d’elle. C’est en se guérissant elle-même, qu’elle retrouve petit à petit ses propres dons, ses rituels, et ses outils magiques avec lesquels elle sait si bien officier. Chaque étape est importante et certaine pause sont indispensable, afin de se ménager un espace propre à elle-même, de s’enraciner fermement en la nature environnante, de retrouver une certaine joie de vivre, de s’ouvrir à ce fabuleux destin qui nous unit tous ensemble.

Réapprendre à recevoir lorsqu’on a passé beaucoup de vies successives à donner prend du temps. Merci pour votre patience, pour vos encouragements, pour votre amour, pour votre attente et pour vos dons en ce sens.

Recevez toute mon amitié bienveillante et salutaire, autant que je reçois « votre amour » comme un lien qui NOUS unit très solidement.

Vous pouvez partager cet article, le traduire et le propager à l’unisson.

Petit Bouddha le 10 juin 2021