• Symbolique juin 2014

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur créateur

     

    Exercice philosophique/symbolique (juin 2014)

     

    Lisez ce texte sur la « symbolique du cœur » pour vous imprégnez de son contenu. Vous devez lire en libérant votre cœur et votre intellectuel, de toutes pensées discriminatoires et  de toutes moqueries sur tout ce que vous lirez. Puis répondez aux questions qui suivent ce texte. Très bon travail.

     

    Symbolique juin 2014

     

    Symbolique du « Cœur »

      

    Cet exercice est très enrichissant pour vous, car il est triple en apprentissage. Dans un premier temps, il vous demande une ouverture complète sur les autres, sur leurs connaissances et leurs savoirs faires. Puis dans un deuxième temps, il vous demande de revenir vers vous pour voir ou vous en êtes. Ensuite, il vous demande un effort pour aligner vos connaissances avec celles des autres, en vue d’un enrichissement commun. C’est un véritable travail d’investigation sur les trois plans, intérieur, extérieur puis intérieur/extérieur réunit. C’est un exercice pour prendre l’habitude de tenir compte de vous, des autres, et de faire en sorte de trouver l’unité et non la dualité entre les deux. Car cette dualité ou  cette unité est en vous, facteur de cette triplicité comprise ou pas ? Plus vous utiliserez cette manière « triple » de faire, plus vous prendrez « Conscience » de l’Unité.

     

    Cet exercice est pour vous aider à prendre conscience des différences qui existent entre vous et les autres. Celles-ci ne sont en rien « dualitaire » mais juste différente. Il n’est pas question ici d’entrer dans un débat, pour savoir si vous avez raison ou tord, mais juste de vous ouvrir à autres choses. Cet exercice peut vous paraitre difficile au début, parce qu’il demande un certain travail intellectuel de lecture et de compréhension. Ensuite, il nécessite une investigation personnelle et beaucoup de sincérité de votre part. Il y a presque toujours une difficulté dans le travail à réaliser. Soit dans le fait d’aller vers l’extérieur et vers les autres, soit dans le fait de revenir vers le « soi » pour s’occuper de son intériorité, ou encore dans la réunion de ses deux là.  Est-ce que c’est plus confortable pour vous de rester à l’intérieur de vous-même ou plutôt d’aller vers les autres ? Il y en a toujours une des deux qui prime, c’est normal, car c’est la nature même du « soi ». Toute la difficulté repose sur l’équilibre et l’assouplissement entre cette intériorité et cette extériorité. Mais en repérant quelle est votre tendance propre, vous repérez votre difficulté personnelle. En prenant l’habitude d’effectuez cet exercice régulièrement,  vous éclairez votre Conscience et repérez progressivement tous les obstacles qui vous enferment dans la dualité.

     

    1/ Lisez ce texte sur la « symbolique du cœur » pour vous imprégnez de son contenu. Vous devez lire en libérant vos pensées de tous jugements discriminatoires et  de toutes moqueries sur tout ce que vous lirez. Si vous avez des difficultés, notez-les, et faites cet exercice en plusieurs fois. Surtout ne baissez pas les bras avant d’avoir bien compris l’exercice.

     

    Je vous laisse une belle « coupe » de cœur remplie de courage, une immense « couverture » d’énergie positive, et un wagon de patience juste pour vous, pour vous aider dans la réalisation de cet exercice. C’est en prenant « Conscience » de vos difficultés que vous abordez un véritable « chemin » vers le changement.

     

    « La symbolique du Cœur »

     

    Le cœur organe central de l’individu, correspond de façon très générale à la notion de « centre ». Si l’occident en fait le siège des sentiments, toutes les civilisations traditionnelles y localisent au contraire l’intelligence et l’intuition : c’est peut-être que le centre de la personnalité s’est déplacé, de l’intellectualisation à l’effectivité. Mais Pascal ne dit-il pas que « les grandes pensées viennent du cœur » ? On peut dire aussi que, dans les cultures traditionnelles, la connaissance s’entend en un sens très large, qui n’exclut pas les valeurs affectives.

     

    Le cœur est effectivement le centre vital de l’être humain, en tant qu’il assure la circulation du sang. C’est pourquoi il est pris comme symbole – et non bien sûr comme siège effectif – des fonctions intellectuelles. On trouve cette localisation en Grèce. Elle est importante en Inde où le cœur est considéré comme Brahmapura, la demeure de Brahma. Le cœur du croyant, dit-on en Islam, est le trône de Dieu. Si, dans le vocabulaire chrétien également, le cœur est dit contenir, le royaume de Dieu, c’est que ce centre de l’individualité, vers lequel la personne fait retour dans la démarche spirituelle, figure l’état primordial, en parlant du lieu de l’activité Divine. Le cœur dit Angélus Silesius, est le temple, l’autel de Dieu : il peut le contenir entièrement. Le cœur, lit-on encore dans le Houang-ti nei king, est un organe Royal ; il représente le roi ; en lui réside l’Esprit. Si l’église cruciforme s’identifie au corps du Christ, l’emplacement du cœur est occupé par l’autel. Le Saint des Saints est dit être le cœur du temple de Jérusalem, lui-même cœur de Sion, qui est, comme tout centre spirituel, un cœur du monde.

     

    Le double mouvement (systole et diastole) du cœur en fait aussi le symbole du double mouvement d’expansion et de résorption de l’Univers. C’est pourquoi le cœur est Prajâpati;  il est Brahmâ dans sa fonction productrice, il est l’origine des cycles du temps. Selon Clément d’Alexandrie, Dieu, cœur du monde, se manifeste selon les six directions de l’espace. Allah est semblablement Cœur des cœurs et Esprit des esprits.

     

    Parce qu’il est au centre, les chinois font correspondre au cœur l’élément terre et le nombre cinq. Mais en raison de sa nature – car il est le soleil – ils lui attribuent aussi l’élément Feu. Il s’élève jusqu’au principe de la lumière, commente le Sou-wen. La lumière de l’esprit, celle de l’intuition intellectuelle, de la révélation, brille dans la caverne du cœur. L’organe d’une telle perception est, selon le soufisme, l’œil du Cœur (Ayn el-Qalb), expression qu’on retrouve dans nombre de textes chrétiens, et notamment chez saint Augustin.

     

    Le cœur est le Roi, disait le Nei-king. La fonction du cœur est de gouverner, confirme un texte ismaélien. Le cœur, enseigne le maître taoïste Liu-tsou, est le maître du souffle; ceci pourrait s’expliquer par la seule analogie entre le rythme cardiaque et la respiration, identifiés dans leurs fonctions de symboles cosmiques. Mais Plutarque utilise la même image : le soleil diffuse la lumière comme le cœur diffuse le souffle. Or, dans le taoïsme aussi, le souffle (k’i) est la lumière ; il est l’esprit. Liu-tsou concentre l’esprit entre les sourcils, là ou le Yoga situe l’Ajna-chakra ; il y transfère en quelque sorte la fonction du cœur ; c’est pourquoi cet espace d’un pouce est appelé cœur céleste (t’iensin).

     

    L’écriture hiéroglyphique égyptienne représente le cœur par un vase. Or le cœur est aussi mis en relation avec le saint Graal, coupe qui recueillit le sang du Christ. Il est d’ailleurs remarquable que le triangle renversé, qui est une figuration de la coupe, soit aussi le symbole du cœur, outre que la coupe contenant le breuvage d’immortalité s’atteint nécessairement « au cœur du monde ».

     

    Dans la religion égyptienne, le cœur joue un rôle fondamental : selon la cosmogonie memphite, Dieu Ptah a pensé l’univers avec son cœur avant de la matérialiser par la force du verbe créateur. Mais surtout, il est en chaque homme le centre de la vie, de la volonté, de l’intelligence. Lors de la psychostasie, c’est le cœur du défunt – seul viscère laissé à sa place dans la momie – qui est posé sur l’un des plateaux de la balance et le scarabée du cœur, amulette essentielle, porte gravée la formule magique qui empêche au cœur de témoigner contre le mort au tribunal d’Osiris. Le cœur d’un homme est son propre Dieu et mon cœur est satisfait de mes actes, est-il inscrit dans la biographie d’un disciple des Sages. De même sur une stèle du Louvre, le cœur est assimilé à la « Conscience » : quand à mon cœur il m’a fait accomplir ces actions, tandis qu’il guidait mes affaires. Il fut pour moi un témoin excellent….J’excellais parce qu’il faisait que j’agisse….C’est un jugement du Dieu qui est en tout corps. Le souhait suprême de chacun est celui que formule Paheri d’El-Kab : Puisses-tu traverser l’éternité en douceur de cœur, avec les faveurs du Dieu qui est en toi. Ainsi le cœur est en nous le symbole même de la « présence divine » et de la « Conscience » de cette présence.

     

    Dans l’antiquité gréco romaine, le cœur n’a pas de signification symbolique précise. Une tradition rapporte que Zeus, ayant avalé le cœur encore palpitant de Zagreus que les Titans déchaînés avaient taillé en morceaux, régénéra son fils en engendrant Dionysos avec Sémélé. Il semble que ce soit la seule légende où le cœur joue un rôle ; et ce rôle est celui d’un principe de vie et de personnalité : le cœur de Zagreus régénéré donnera Dionysos.

     

    Dans le monde celtique, il existe une remarquable interférence sémantique entre le nom du centre (en Breton kreiz, gall.craidd et l’irlandais cridhe) et celui du cœur. Ces trois mots se rattachent à la racine indo-européenne krd cœur centre, milieu dont sont issus les noms latin, grec, arménien, germanique, et slave du cœur. Pour désigner le cœur, les trois langues brittoniques ont un emprunt roman (bret.kalon, corn. Et gall. Calon). Les textes irlandais disent quelques fois, pour évoquer la mort d’un personnage accablé de tristesse, que son cœur se brisa dans sa poitrine. Le cœur symbolise manifestement le centre de la vie.

     

    Dans la tradition biblique, le cœur symbolise l’homme intérieur, sa vie affective, le siège de l’intelligence et de la sagesse. Le cœur est à l’homme intérieur ce qu’est le corps à l’homme extérieur. C’est dans le cœur que se trouve le principe du mal, l’homme risque toujours de suivre son cœur mauvais. La perversion du cœur provient de la chair et du sang. Babua ben Asher commentait le texte : aimer de tout ton cœur dira que le cœur est le premier organe qui se forme et le dernier à mourir, d’où l’expression de tout ton cœur signifie jusqu’à ton dernier soupir.

     

    Le cœur tient une très grande place dans la tradition hébraïque. Faire attention se dit : sim lev, c'est-à-dire mettre son cœur, et la méditation signifie : parler à son cœur.

     

    Selon un Midrash, le cœur de pierre de l’homme doit devenir un cœur de chair. Les sages de cœur ont l’esprit de sagesse.

     

    Dans la bible le mot cœur est employé une dizaine de fois pour désigner l’organe corporel alors qu’on retrouve plus de mille exemples dans lesquels son interprétation est métaphorique. La mémoire et l’imagination relèvent du cœur, ainsi que la vigilance, d’où cette phrase : je dors mais mon cœur veille. Le cœur tient un rôle central dans la vie spirituelle : il pense, il décide, il ébauche des projets, il affirme ces responsabilités. Prendre le cœur de quelqu’un, c’est lui faire perdre « le contrôle de soi » (Cantique des Cantiques 4,9-10).

     

    Le cœur est associé à l’esprit et parfois les termes se mélangent en raison de leurs significations identiques. D’où les expressions : esprit nouveau et cœur nouveau (Ezéchiel 36, 26) ; cœur contrit et esprit contrit (Ps.51, 19). Le cœur est toujours plus lié à l’esprit qu’à l’âme.

     

    Dans la tradition Islamique, le cœur (qualb) représente, non pas l’organe de l’affectivité, mais celui de la contemplation et de la vie spirituelle. Point d’insertion de l’esprit dans la matière….c’est l’essentiel de l’homme, cette oscillation régulatrice placée au-dedans d’un morceau de chair. C’est le lieu caché et secret (sirr) de la conscience (MASH, 477).

     

    Il est représenté comme constitué d’enveloppes successives (‘Alâ al Dawlah en distingue sept), dont les couleurs sont visibles dans l’extase. Au-dedans de la nafs, l’âme charnelle, le sirr constitue la personnalité latente, conscience implicite, subconscient profond, cellule secrète murée à toute créature, vierge inviolée (MASH, 486. Rapprocher l’étincelle, le fondement de l’âme de Maître Eckhart).

     

    Cet organe spirituel que les Soufis appellent le cœur (qalb) se distingue à peine de l’esprit (ruh) : Jîlî dit que lorsque le Coran parle de l’esprit Divin insufflé en Adam, c’est du cœur qu’il s’agit (NICM, 113). Ce même mystique décrit le cœur comme la lumière éternelle et la conscience sublime (sirr) révélée dans la quintessence des êtres créés, afin que Dieu puisse contempler l’Homme par ce moyen. C’est le trône de Dieu  (Al-‘Arsh) et son temple dans l’homme…..le centre de la conscience divine et la circonférence du cercle de tout ce qui existe.

     

    Le Coran dit que le cœur du croyant se trouve entre deux doigts du Miséricordieux ; et une tradition sacrée fait dire à Dieu : Le ciel, la terre ne me contiennent pas, mais je suis contenu dans le cœur de mon serviteur. Les noms et les Attributs divins constituent la véritable nature du cœur : le cœur représente la présence de l’Esprit sous son double aspect (Connaissance et Être), car il est à la fois l’organe de l’intuition (al-kashf=dévoilement) et le point d’identification (wajd) avec l’Être (al-wujûd). Le point le plus intime du cœur est appelé le mystère (as-sirr) et c’est le point insaisissable où la créature rencontre Dieu.

     

    Pour les mystiques Soufis, le cœur est aussi le Trône de la miséricorde. L’amour dont il est siège manifeste en effet l’amour de Dieu. Le cœur aimant est une théophanie, le miroir du monde invisible et de Dieu.

     

    Pour Ibn al-‘Arabî, le cœur du mystique est absolument réceptif et plastique. C’est pourquoi, il revêt toute forme en laquelle Dieu se révèle, comme la cire reçoit l’empreinte du sceau (il existe une analogie entre la racine du mot qalb (cœur) QLB, et la racine de qâbil QBL qui signifie recevoir, être en face de (être passif, réceptif).

     

    Tirmidhî expose, en psychologue mystique, la théorie de la science des cœurs et note explicitement que qalb (cœur) désigne à la fois l’organe régulateur de la pensée et le viscère de la chair.

     

    En psychologie musulmane, le cœur suggère les pensées les plus cachées, les plus secrètes, les plus authentiques, la base même de la nature intellectuelle de l’homme.

     

    La notion de naissance spirituelle se rattache au symbole du cœur : Les cœurs en leur secret sont une seule vierge, dit al-hallâj. Les mystiques s’appellent chez les Soufis, les hommes du cœur. La vision spirituelle est comparée à l’Œil du cœur : J’ai vu mon Seigneur avec l’œil du cœur, dit encore al-Hallâj.

     

    Le Coran lui-même fait allusion à la connaissance par le cœur : Le cœur ne dément pas ce qu’il a vu (à propos de la vision du Prophète, et ce ne sont pas leurs yeux qui sont aveugles, ce sont leurs cœurs, dans leurs poitrines, qui sont aveugles.

     

    Un seul mot désigne l’âme chez les Caraïbes du Venezuela et des Guyanes ; Chez les Tucano (Bassin de l’Amazone) un seul mot pour cœur, âme et pouls ; pour les Wuitoto (sud-Colombiens), cœur, poitrine, mémoire et pensée sont même chose.

     

    Pour les indiens Pueblo de l’Arizona les enfants sont le produit de la semence sortie de la moelle épinière de l’homme et du sang du cœur de la femme.

     

    Dans les traditions modernes, le cœur est devenu le symbole de l’amour profane, de la charité en tant qu’amour Divin, de l’amitié et de la droiture.

     

    Guénon a observé que le cœur avait la forme d’un triangle inversé. Comme les symboles qui revêtent cette forme, le cœur se référerait au principe passif ou féminin de la manifestation universelle…tandis que ceux (les symboles) qui sont schématisés par le triangle droit se rapportent au principe actif ou masculin. On rappellera que, dans l’Egypte ancienne, le vase était l’hiéroglyphe du cœur et que dans l’Inde, le triangle inversé est l’un des principaux symboles de la Shakti, l’élément féminin de l’être, en même temps que celui des eaux primordiales.

    (Dictionnaire des symboles Robert Laffont)

     

    Suite de l’exercice :

     

    1/ Repérez toutes les complémentarités qui existent sur cette symbolique universelle du cœur. Avez-vous ressentis de la dualité dans cette lecture ou plutôt un sentiment d’unité ? Avez-vous collez facilement à cette lecture ? Votre compréhension à t-elle été aisée ou pas ?

     

    2/ Recentrez-vous sur vous-même et sur votre fonctionnement personnel. Quelle est votre manière d’aimer, laissez-vous votre cœur guider votre personnalité au travers de la vie ? Votre cœur, votre personnalité et votre vie sont elles bien alignées l’une à l’intérieur de l’autre et en symbiose ? Votre cœur respire t-il en harmonie avec votre extérieur, les autres et l’Univers ?

     

    3/ Synthèse sur cette triplicité : Vous retrouvez-vous dans ce texte ou pas du tout ? Quelles sont les différences que vous pouvez mettre en évidence entre vous et les autres ? Cette lecture vous a-t-elle rapprochée d'eux ou carrément éloigné ? Vous êtes-vous enrichit à la lecture de ce texte ? Êtes-vous capables de vous embellir au contact des différences des autres ? Êtes-vous capable d’effectuer un rapprochement entre votre manière d'être avec le cœur et votre manière de penser avec votre intellectuel? Pouvez-vous réaliser un changement dans votre manière d’être ?  Est-ce qu’à l’ avenir vous serez beaucoup plus compréhensif avec les autres ? Est-ce que vous parviendrez plus facilement à expliquer vos différences aux autres ?

     

    Conclusion de l’exercice

     

    Le cœur est très lié à la respiration et à la pensée. En lui-même il est très constructeur de notre environnement. La compréhension de la dualité nous conduit vers l’Unité. Le cœur est le siège de l’Amour….qui est lié au Divin. Toutes les religions ont des chemins différents parce que nous sommes tous différents. Toutes les religions amènent au Cœur qui est la demeure où l’Amour grandit vers le suprême.  Notre cœur est-il dans la dualité des différences ou dans l’unité Spirituelle et respectueuse de chacun ? Par le cœur, nous sommes tous les mêmes, par le cœur nous sommes tous « Frères et Sœurs ». Alors prenons pleinement « Conscience » de cette vérité avec une grande compassion envers nous-mêmes et envers les autres.

     

    Le cœur du Croyant est le siège du  Divin.

     

     

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    Que la philosophie dégagée par les symboliques éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namaste  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

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