• Exercice conscience septembre

     

    Exercice Maitri ou « Conscience»

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Rentrée septembre 2015

     

    Date des 4 méditations de la Conscience Universelle :

    Nouvelle lune 13 septembre 2015 - Premier quartier 21 septembre 2015 

    Pleine lune 28 septembre 2015 – dernier quartier 4 octobre 2015.

     

    Exercice conscience septembre

     

     

    C’est en prenant conscience de nos prisons que nous prenons conscience de la liberté des autres.

     

    Au jour d’aujourd’hui, alors que nous vivons dans des pays dit « libres », les dépendances sont multiples et variées. Quelles soient d’ordre psychologique, sentimentale, professionnelle, où encore religieuse, elles lient les êtres dans des causalités qui occasionnent beaucoup de dépendances, de contraintes, de servitudes et de souffrance. Sont-elles véridiques, imaginaires ou faites d’illusions, nul ne le sait véritablement même si personne ne peut nier ses dépendances et interdépendances factuelles ? Quoi qu’il en soit en réalité, elles occasionnent pourtant des prises de consciences majeures. Elles sont la plupart du temps, révélatrices du degré d’asservissement dans lequel stagnent certaines personnes. Le « plaisir » est bien évidemment la première cause de toute la problématique de la dépendance. L’être s’attache au plaisir, aux jouissances passagères, aux délectations faciles et aux émotions futiles. Alors qu’il doit creuser en profondeur pour ancrer son amour de la vie, tout en déployant ses ailes pour gagner sa liberté. Au fil des jours qui passent, il s’alourdit, s’alourdit, et s’alourdit encore au contact de la matière devenant esclave des biens matériels. C’est ainsi qu’il perd sa liberté, sa légèreté, sa facilité et son aisance de mouvement surtout. Comme s’il connaissait mieux que tout le monde ce qui convient à sa nature, il erre de dépendances en prisons, de maisons en établissements, d’entourages néfastes en lieux propices, afin de sortir des cercles infernaux des asservissements multiples. Ce passage au travers de l’attraction de chacun est vécu comme une libération à chaque fois plus importante et plus vive. La force vitale primaire brute est nécessaire pour forcer tous les barrages, pour exploser toutes les portes et réduire à néant toutes les contraintes. La liberté est à ce prix, un pouvoir à conquérir et une puissance à apprendre à maîtriser. Souvent les êtres pensent savoir ce qui est bon pour eux, ce qui les élèvent, ce qui les transforment et ce qui les éveillent à la vie, mais ils se trompent. Ils se perdent dans des voies de garage et s’enferment dans des prisons à double tours. A ce stade, l’être humain à besoin de prendre conscience, d’opérer une transformation pour muter et sortir de ses dépendances. Il a besoin d’enfermements pour changer, parce que son bonheur est ailleurs. Spécialement pour lui qui est unique. La véritable liberté est pleine de légèreté, de découvertes, et d’attrait mystérieux. Elle se vit en fonction du moment, de l’évolution, de l’ouverture d’esprit et de la capacité au détachement. La liberté individuelle est le fruit d’un grand amour pour la vie, pour la terre et pour l’être humain en général. Mais, pour savourer la liberté, il convient de rester enfermé pendant un certain temps. A l’image de la chenille qui mute de transformation en transformation, pour devenir papillon, nous sommes capables de sortir de nos prisons pour nous envoler vers toujours plus de liberté.

     

    La liberté est le contraire de la prison.  

     

    La liberté est : l’état de quelqu’un qui n’est pas soumis à un maître. La condition d’un peuple qui se gouverne en pleine souveraineté. Un droit reconnu par la loi dans certains domaines, état de ce qui n’est pas soumis au pouvoir politique, et qui ne fait pas l’objet de pressions. La situation de quelqu’un qui se détermine en dehors de toute pression extérieure ou de tout préjugé. Une possibilité d’agir selon ses propres choix, sans avoir à en référer à une autorité quelconque. Etat de quelqu’un qui n’est pas lié par un engagement d’ordre contractuel, conjugal ou sentimental. Temps libre, dont on peut disposer à son gré. Etat de quelqu’un ou d’un animal qui n’est pas retenu prisonnier. La situation psychologique de quelqu’un qui ne se sent pas contraint, gêné dans sa relation avec quelqu’un d’autre. La manière d’agir de quelqu’un qui ne s’encombre pas de scrupules. L’écart d’une interprétation, d’une adaptation, etc., par rapport aux faits réels ou au texte original. L’état de ce qui n’est pas étroitement contrôlé, soumis à une réglementation sévère. Le caractère de ce qui relève de l’initiative privée. En contrepartie, une prison est : un établissement ou un centre de détention où sont détenues des personnes condamnées à une peine privative de liberté ou en instance de jugement. Une peine d’emprisonnement, un lieu ou quelqu’un est ou se sent séquestré, enfermé. C’est le symbole dans la langue littéraire de tout ce qui tient enfermé, contraint, fait perdre la liberté. L’attachement est donc synonyme de prison, d’enfermement, de séquestration, et de perte de liberté. La synthèse entre liberté et prison est l’esclave qui prend conscience de sa liberté par la transformation de sa nature, de son mode de pensée, et de la liberté du changement qu’il effectue en lui-même par contrainte. Le maître étant le vainqueur de cette dualité. Alors, entre prison et liberté, entre esclavage et affranchissement, entre dépendance et autonomie, et entre résistance et coopération, le choc des oppositions est parfois si mince qu’il se réduit à des mots inutiles. En effet, la liberté qu’on pense détenir est plutôt un refuge qu’on défend bec et ongles, alors que certaines prisons sont si confortables qu’on en oublie les barreaux. N’oublions pas que la prison libère alors que la liberté emprisonne. Et gardons à l’esprit que la plus belle des libertés reste celle que l’on s’offre à soi-même, celle d’être « soi » en tous lieux et en toutes circonstances. Encore que parfois, la soumission est une liberté qui consiste à « profiter » de la protection des autres. La seule alternative qu’il nous reste pour savoir si nous sommes vraiment libre, reste encore d’ouvrir ses ailes et de sauter dans le vide. Liberté et prison sont en vérité une appréciation de chacun, suivant son bon vouloir, et à des moments précis de vie. Sachons profiter aussi bien de nos prisons que de nos libertés, pour développer notre force intérieure, et profiter du moment où la porte de la cage s’ouvrira enfin pour que nous puissions déployer nos ailes complètement et nous envoler vers les hauteurs. Parce qu’en toute honnêteté, entre terre et ciel, entre ramper et s’envoler, entre horizon et verticalité, un point d’équilibre est à trouver, et pour cela, nous sommes tous à la même enseigne. Alors « courage »….. !

     


     

    Exercice

     

     

    Prendre conscience des choses est un exercice pour ouvrir notre esprit sur des choses qui lui sont totalement étrangères. Mais, cette ouverture peut se produire de multiples façons. Parfois cette prise de conscience est facile et salutaire,  mais la plupart du temps, elle est difficile et obligatoire.  Notre conscience individuelle ou collective à parfois besoin d’éclaircissements violents pour résoudre les adéquations de la vie. Il faut dire que la conscience n’est pas dualitaire mais qu’elle essaie toujours de trouver l’unité dans toutes les circonstances. En préparant notre conscience, en la guidant sur le chemin de la découverte et de l’évolution, en l’aidant avec des exercices appropriés, nous l’éduquons. Ainsi, les prises de consciences deviennent beaucoup plus douces, et beaucoup plus adaptés à notre mode de vie.

     

    Voici les questions

     

    Lisez toutes les questions et laissez les agir en vous pendant quelques jours. Puis, faites un résumé de 10 lignes minimum pour répondre à chaque question.  Laissez mariner quelques jours, puis relisez-vous, pour comprendre ou vous en êtes, dans la prise de conscience de cet exercice. Vous pouvez refaire cet exercice dans quelques mois, pour voir ou en est votre évolution. Quand on ouvre une porte à l’esprit, il continue sa progression dans toute la pièce, souvent à notre insu.

     

     

    La liberté est multiple et à plusieurs sens. Alors que la prison reste un enfermement, elle devient une transformation et une clef pour sortir. Afin de comprendre pourquoi, voici les questions relatives à cette prise de conscience.

     

    De quelle manière votre « soi » est-il réellement libre et libéré des servitudes :

     

    1/ Selon vous, où en est votre liberté naturelle ?

     

    2/ Selon vous, où en est votre liberté individuelle et civile ?

     

    3/ Selon vous, où en est votre liberté de mouvement ?

     

    4/ Selon vous, où en est votre liberté spirituelle ?

     

    5/ Selon vous, où en est votre liberté d’opinion ?

     

    6/ Selon vous, où en est votre liberté économique et sociale ?

     

    7/ Pensez-vous être un « être» totalement libre et libéré ?


    8/ Pensez-vous qu’une liberté totale soit possible ? Si non, expliquez votre point de vue. Si oui, expliquez comment y parvenir ?  

     


     

    Très belle « prise de conscience »

     

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Avoir l’esprit universel »©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

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