• Texte sacré septembre

     

    Etude de texte sacré

     

    Pack étudiant spirituel

    « Avoir l’Esprit Universel »

    Rentrée septembre 2015

     

    Date des 4 méditations de la Conscience Universelle :

    Nouvelle lune 13 septembre 2015 - Premier quartier 21 septembre 2015

    Pleine lune 28 septembre 2015 – dernier quartier 4 octobre 2015.

     

    « La Bhagavad-Gita telle qu’elle est »

    Sa Divine Grâce A.C.Bhaktivedanta Swami Prabhupada

     

     

    Texte sacré septembre

     

    Voici le lien pour acheter le livre :

     

    http://livre.fnac.com/a2658218/Bhaktivedanta-Swami-Prabhupada-La-Bhagavad-Gita-telle-qu-elle-est?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&adhce=crtdcvrt2014&mckv=iSrEIqyJ_dc&pcrid=68196256823&ectrans=1&gclid=CjwKEAjwpPCuBRDris2Y7piU2QsSJAD1Qv7BLyLARzpx8aLuW9ZPEY8jg0iv1zy6T9pIqNoIACsS3xoC0RDw_wcB

     

     

    Sur le champ de bataille de Kuruksetra (chapitre 1)

     

    Extrait du verset 1/ Dhrtarastra dit : O Sanjaya, qu’on fait mes fils et les fils de Pandu après s’être assemblés au lieu saint de Kuruksetra, prêts à livrer bataille ?

    La Bhagavad-Gita est un texte sacré fort répandu, qui expose la science de Dieu. La Gita-mahatmya (« Les gloires de la Bhagavad-Gita ») la résume, ajoutant ce conseil de l’étudier très attentivement sous la direction d’un maître entièrement voué à Sri Krisna. Elle recommande également d’en chercher la signification sans y introduire ses propres idées. D’ailleurs, la Bhagavad-Gita indique elle-même comment il faut étudier et comprendre son contenu, par l’exemple d’Arjuna qui comprit sans défaillance l’enseignement reçu des lèvres mêmes du Seigneur. Qui a la chance de recueillir ce savoir dans un même esprit de fidélité à la filiation spirituelle de Krisna, sans y introduire aucune interprétation personnelle, acquerra une connaissance supérieure à celle qu’on pourrait obtenir en étudiant les Ecritures védiques, ou mêmes tous les Textes sacrés du monde. La Bhagavad-Gita contient non seulement le message de tous les autres écrits révélés, mais aussi des informations qu’on ne trouve nulle part ailleurs. De là son caractère exceptionnel : la Bhagavad-Gita nous livre la perfection de la science de Dieu, car elle fut directement énoncée par le Seigneur Lui-même, Sri Krisna.

     

    Le dialogue entre Dhrtarastra et Sanjaya, tel que le Mahabharata le rapporte, fait ressortir cette grande philosophie. C’est sur le champ de bataille de Kuruksetra (terre sacrée, lieu de pèlerinage depuis des temps immémoriaux  de l’ère védique) que l’exposa le Seigneur, venu en Personne sur notre planète pour guider les hommes.

     

    Le mot Dharma-ksetra (littéralement : lieu où s’accomplit les rites du sacrifice) est chargé de signification dans ce contexte, car c’est la Personne Suprême, nul autre que Dieu, qui se trouve au côté d’Arjuna sur le champ de bataille de Kuruksetra. Le père des Kurus, Dhrtarastra, doute fort que ses fils aient une chance de remporter la victoire, et il demande à son secrétaire Sanjaya : « Qu’ont fait mes fils et les fils de Pandu ? » Il sait bien que ses fils et ceux de son jeune frère Pandu sont réunis sur le champ de bataille de Kuruksetra, bien déterminés à se battre. Il veut être sûr que ses fils et leurs cousins ne sont parvenus à aucun compromis, en même temps qu’il désire être rassuré sur leur sort. Or, Dhrtarastra craint beaucoup l’influence du lieu sacré sur l’issue de la bataille, car les Vedas en parle comme d’une air de sacrifice où descendent même les habitants des cieux, et il sait que son influence bénéfique jouera en faveur d’Arjuna et des Pandavas, à cause de leur vertu.

     

    Sanjaya élève de Vyasa, possède, par la grâce de son maître, le privilège de voir le champ de bataille sans quitter le palais du roi Dhrtarastra. Averti de son pouvoir, Dhrtarastra lui demande de décrire ce qui se passe sur le champ de bataille.

     

    Dhrtarastra dévoile ici ses pensées : bien que les fils de Pandu et les siens appartiennent à la même famille, il affirme que seuls ces derniers sont des Kurus, et tente d’écarter les Pandavas de l’héritage royal. Par là, nous voyons plus clairement la position qu’adopte Dhrtarastra vis-à-vis de ses neveux, les fils de Pandu. Et il devient évident, dès le début de cette narration, que le fils de Dhrtarastra (Duryodhana) et ses partisans seront balayés du champ sacrificiel de Kuruksetra, où se trouve Krisna, père de la religion. Ils en seront arrachés comme les mauvaises herbes d’une rizière, et les gens profondément vertueux, conduits par Yudhisthira, remporteront la victoire par la grâce du Seigneur. Tel est le sens des mots dharma-ksetre et kuru-ksetre, mise à part leur importance historique et védique.

     

     

    Question :

    1/ Connaissez-vous la Bhagavad-Gita ? Si « oui » faites nous un résumé d’une dizaine de ligne. Si non, faites une recherche sur internet et dites-nous ce que vous avez découvert sur ce livre sacré ?

    2/ Que représente selon vous le « champ de bataille de Kuruksetra ? Pourquoi les fils de Dhrtarastra et de Pandu se trouvent-ils réunis ici avec Arjuna et Krisna ?

    3/ L’interprétation de la Bhagavad-Gita est-elle selon vous, une histoire à prendre au sens littéral où plutôt une compréhension à affiner sur d’autres plans ? Développer votre point de vue sur une vingtaine de ligne.

     

    Aide : Arjuna se tenait debout sur son char tant qu’il observait l’armée ennemie. Mais une telle détresse l’accable maintenant devant ce qu’il à vu qu’il se rassied, posant à côté de lui son arc et ses flèches. Seul celui qui, voué au Seigneur, possède la grandeur d’âme et la tendresse de cœur d’Arjuna, est digne de recevoir la connaissance spirituelle.

     


     

    Aperçu de la Bhagavad-Gita (deuxième chapitre)

     

    Extrait du verset 1/ Sanjaya dit : Voyant la profonde tristesse et la grande compassion d’Arjuna, dont les yeux sont baignés de larmes, Madhusudana, S’adresse à lui.

    La pitié pour le corps, les lamentations et les larmes sont des signes dévoilant que nous ignorons notre identité réelle. Car, c’est pout l’âme éternelle, au contraire, que pleure l’être conscient de son moi véritable. Le nom que porte ici Krisna, Madhusudana, rappelle qu’il à tué Madhu, un monstre maléfique. Arjuna l’utilise afin d’exprimer à Krisna son désir de Le voir tuer le monstre du doute, qui l’assaillit au moment d’exécuter son devoir. En général, nous ignorons quand et à qui montrer notre pitié. Quel sens y-a-t-il à pleurer sur les vêtements d’un homme qui se noie ? Il serait certes absurde, pour sauver un homme de la noyade, de s’occuper de son manteau. De même, comment sauver un homme perdu dans l’océan de l’ignorance si l’on cherche à satisfaire d’abord les demandes de son corps physique, lequel n’est qu’une manière de vêtement ? S’apitoyer sur le corps est le signe du Sudra, qui ignore l’existence de l’âme. Qui aurait pu croire qu’Arjuna, un Ksatriya, manifeste une telle faiblesse ? Mais le Seigneur peut sans mal dissiper l’illusion de l’ignorant, et c’est dans un tel but qu’Il à énoncé la philosophie de la Bhagavad-Gita.

    Dans ce deuxième chapitre, Krisna, le Maitre suprême en matière de connaissance, nous conduit vers la réalisation de notre moi éternel par l’étude analytique du corps matériel et de l’âme spirituelle. Un tel niveau de réalisation peut s’atteindre à travers nos responsabilités matérielles, si nous ne perdons jamais de vue notre identité spirituelle véritable.

     

    Question :

    1/ Les larmes d’Arjuna sont-elles signe d’une grande compassion envers les autres êtres sensibles où plutôt d’une grande faiblesse selon vous ?  Développez votre point de vue ?

    2/ Osez-vous « montrer » votre pitié, vos faiblesses où encore vos émotions intérieures à ceux que vous aimez, aux autres, où les gardez-vous pour vous ? Expliquez-nous pourquoi ?

    3/ Le corps est considéré ici comme un vêtement. Le voyez-vous de cette manière où plutôt autrement. Expliquez votre point de vue en 10 lignes ?

     

    Aide : O Arjuna, comment une telle souillure a-t-elle pu s’emparer de toi ? Ces plaintes dégradantes sont tout à fait indignes d’un homme éveillé aux valeurs de la vie. Par elles, on n’atteint pas les planètes supérieures, mais on gagne l’opprobre.

     


    L’étude des textes sacrés est le véhicule de la compréhension.

     

    ¸.•°*”˜”*°• ¯`°º·¤.¸¸.¤·º°´¯ •°*”˜”*°•.¸ 

     

    Très bon travail

    Par l’étude le disciple oriente son esprit dans la bonne direction, celle de la sagesse suprême. 

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namasté  

     

    Extrait des Packs étudiants « Avoir l’esprit universel »©Véronique-Arlette

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

    ¯˜ »*°•**•°* »˜¯ 

     

     

    « Exercice Charte d'éthique septExercice conscience septembre »
    Partager via Gmail Pin It

    Tags Tags : , , , , , , , , , , , , , , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :