• Symbolique juillet 2014

    Pack étudiant spirituel

    Être un cœur Créateur

     

    Exercice philosophique/symbolique (juillet 2014)

     

    Lisez ce texte sur la « symbolique du quatre » pour vous imprégnez de son contenu. Vous devez lire en libérant votre cœur et votre intellectuel, de toutes pensées discriminatoires et  de toutes moqueries sur tout ce que vous lirez. Puis répondez aux questions qui suivent ce texte. Très bon travail.

     

    Symbolique juillet 2014

    Symbolique du chiffre quatre

     

    Les significations symboliques du quatre se rattachent à celles du carré et de la croix. Depuis les époques voisines de la préhistoire, le 4 fut utilisé pour signifier le solide, le tangible, le sensible. Son rapport avec la croix en faisait un symbole incomparable de plénitude, d’universalité, un symbole totalisateur. La croisée d’un méridien et d’un parallèle divise la terre en quatre secteurs. Dans tous les continents, chefs et rois sont appelés : Maîtres des quatre mers… des quatre soleils… des quatre parties du monde… etc. : ce qui peut signifier à la fois l’étendue de leur pouvoir en surface et la totalité de ce pouvoir sur tous les actes de leurs sujets (CHAS, 31).

     

    Il existe quatre points cardinaux, quatre vents, quatre piliers de l’Univers, quatre phases de la lune, quatre saisons, quatre éléments, quatre humeurs, quatre fleuves du Paradis, quatre lettres dans le nom de Dieu (YHVH), du premier des hommes (Adam), quatre bras de la croix, quatre Evangélistes, etc. Le quatre désigne le premier carré et la décade ; la tétrachtys pythagoricienne, est produite par l’addition des quatre premiers nombres (1+2+3+4). Le quatre symbolise le terrestre, la totalité du créé et du révélé.

     

    Cette totalité du créé est en même temps la totalité du périssable. Il est singulier que le même mot shi signifie en japonais quatre et mort. Aussi, les Japonais évitent-ils avec soin de prononcer ce mot ; ils le remplacent dans la vie quotidienne par Yo ou Yon.

     

    Nombre sacré dans le Véda, qui est divisé en quatre parties (Hymnes, Charmes, Liturgie, Spéculation). L’homme aussi se compose du carré de quatre, 16 parties, selon la Chandogya Upanishad, ainsi que la féérie du Soma qui comporte 16 récitations, de même que l’enseignement sur le Brahman, qui est distribué en quatre quarts, correspondant aux quatre domaines de l’univers : les régions de l’espace, les mondes, les lumières, les sens : Celui qui sachant ainsi, connaît ce quart du Brahman, ou quatre seizièmes, qui est lumière, celui-là brille en ce monde. Il conquiert des mondes lumineux, celui qui, sachant ainsi, connaît le quart du brahman, ou quatre seizièmes, qui est lumière. (trad. E. Senard, in VEDV, 388). Quand il sait les quatre quarts du Brahman, ou quatre fois quatre seizièmes, le disciple ou initié connaît toute la science du maître. Le quatre se révèle ici encore, avec ses multiples et ses diviseurs, le symbole de la totalité.

     

    Dans la bible et notamment dans l’Apocalypse, ce chiffre suggère aussi l’idée d’Universalité : les quatre vivants, c’est l’ensemble des vivants dans le monde de la lumière (ils sont constellés d’yeux). Les quatre cavaliers apportent les quatre fléaux majeurs. Les quatre couleurs des chevaux correspondent aux couleurs des points cardinaux et à celles de la journée, pour montrer l’universalité de l’action dans l’espace et dans le temps : blanc est l’Est et l’aube ; rouge, le Sud et midi ; glauque l’Ouest et le crépuscule ; noir le Nord et la nuit. Les quatre anges destructeurs debout aux quatre coins de la terre ; les quatre fleuves du Paradis ; les quatre murailles de la Jérusalem céleste faisant face aux quatre orients ; les quatre camps des douze tribus d’Israël (Nombres, 2) ; les quatre emblèmes des tribus, un pour chaque groupe de trois, le lion, l’homme, le taureau, l’aigle ; les quatre lettres du nom divin YHVH, chacune correspondant à l’un de ces emblèmes, selon une tradition juive : Y à l’homme, H au lion, V au taureau, le second H à l’aigle ; les quatre Evangélistes : il ne pouvait, selon saint Irénée, y en avoir ni plus, ni moins ; et chacun des quatre emblèmes des tribus d’Israël a été attribué à un des quatre Evangélistes, dans un accord assez singulier, avec les caractéristiques de chacun des Evangiles : le lion à Marc, l’homme à Matthieu, le taureau à Luc, l’aigle à Jean ; ces animaux, d’autre part,  correspondent aux quatre constellations cardinales de la bande zodiacale : Le Taureau, le Lion, l’Homme et l’Aigle ; tous ces quaternaires (CHAS, 429) expriment une totalité.

     

    Dans la vision d’Ezéchiel (1, 5 et s.) qui remonte vers 593 avant notre ère, on observe déjà cette extraordinaire symbolique : … Je discernai comme quatre animaux dont voici l’aspect : ils avaient une forme humaine ; ils avaient chacun quatre faces et chacun quatre ailes… Leurs faces étaient tournées vers les quatre directions… Ils avaient une face d’homme et tous les quatre avaient une face de lion à droite, une face de taureau à gauche…et une face d’aigle. Les exégètes y voient le symbole de la mobilité, de l’ubiquité spirituelle de Yahvé, qui n’est pas attachée seulement au Temple de Jérusalem, mais qui assure tous ses fidèles de sa présence, quelle que soit la direction de l’exil. Les mêmes exégètes observent que ces figures étranges de la vision d’Ezéchiel rappellent les Karibu assyriens (dont le nom correspond à celui des Chérubins de l’arche, voir Exode, 25, 18 s), êtres à tête humaine, corps de lion, pattes de taureau et ailes d’aigle, dont les statues gardaient le palais de Babylone. Ces serviteurs des Dieux païens sont ici attelés au char du Dieu d’Israël : expression frappante de la transcendance de Yahvé (BIBJ, 475). Ils servent aussi de support au trône de Dieu, les têtes ressemblant à une voûte éclatante comme le soleil… au-dessus de la voûte, il y avait comme une pierre de saphir en forme de trône ; … au-dessus du trône, un être ayant apparence humaine, avec l’éclat du vermeil et tout autour de lui comme du feu… et une lueur semblable à l’arc qui apparaît dans les nuages, les jours de pluie… C’était quelque chose ayant l’aspect de la gloire de Yahvé (Ezéchiel, 1, 26-28). On ne saurait mieux suggérer, par une escalade des degrés du ciel, la supériorité transcendantale de Dieu, par rapport à tous ces quaternaires.

     

    Quatre est encore le chiffre qui caractérise l’univers dans sa totalité (le plus souvent il s’agit du monde matériel, sensible). Ainsi les quatre fleuves qui sortent d’Eden, selon Genèse 2, 10 ss, arrosent et délimitent l’univers habitable. L’Apocalypse (7, 1 ; 20, 8) parle des quatre extrémités de la terre d’où soufflent les quatre vents (Jérémie, 49, 36 ; Ezéchiel, 37, 9 ; Daniel, 2, et 7) et distingue quatre grandes périodes qui embrassent toute l’histoire du monde.

     

    Le nombre 4, selon Alexander (ALEC, 204) joue un rôle déterminant dans la pensée et la philosophie des indiens d’Amérique du Nord. Il est un principe d’organisation, et d’une certaine façon, une force. L’espace se divise en quatre parties ; le temps se mesure par quatre unités : le jour, la nuit, la lune et l’année ; il y a quatre parties dans les plantes : la racine , la tige, la fleur et le fruit ; les espèces animales sont au nombre de quatre :  celles qui rampent, celles qui volent,  celles qui marchent sur quatre pattes, celles qui marches sur deux pattes ; les quatre êtres célestes sont le ciel, le soleil, la lune, et les étoiles et quatre sont les vents qui marchent autour du cercle du monde ; la vie humaine se divise en quatre collines : l’enfance, la jeunesse, la maturité et la vieillesse ; quatre vertus fondamentales chez l’homme : le courage, l’endurance, la générosité et la fidélité ; chez la femme : l’habileté, l’hospitalité , la loyauté et la fécondité, etc.

     

    Quatre est aussi le nombre totalisateur. Nous avons fait quatre fois quatre tours autour de la loge… Quatre fois quatre signifie plénitude. Maintenant toutes les forces de là-haut et d’ici-bas, mâles et femelles, ont été invoquées. (Cérémonies de Hako chez les Indiens Pawnee, in ALEC, 153). Sur le plan métaphysique, Wakantanka, le Grand Mystère, est une quaternité, faite du Dieu Chef, du Dieu Esprit, du Dieu Créateur, et du Dieu Exécutant. Chacun de ces dieux est lui-même une quaternité faite de deux dyades opposées. (Théologie des Dakota, ALEC, 205-206).

     

    Rappelant que les disciples de Pythagore faisaient eux aussi de la tétrade la clé d’un symbolisme numérique qui pût donner un cadre à l’ordre du monde. Alexander voit dans le panthéon Dakota un pythagoricisme du Nouveau-Monde.

     

    Dans la tradition Maya-Quiché (Popol-Vuh) il y a eu quatre créations successives, correspondant à quatre soleils et à quatre âges. L’homme définitif – homme de maïs – n’apparaissant qu’avec le dernier âge (GIRP).

     

    Quatre degrés initiatiques conduisent à l’initiation parfaite, dans la Société des Hommes-Médecine chez les Algonquins (MULR, 250), en liaison avec le symbole d’un univers quadripartite. Le grand Manitou qui règne sur le 4e degré est représenté par une série de symboles quaternaires, dont une crois sur un pilier carré, chaque face étant peinte d’une couleur cosmique.

     

    Dans la cosmogonie des Zuni, basée sur la hiérogamie élémentaire Terre-Ciel, la Terre est appelée La Terre-Mère quadruple qui contient. Ce qui confirme l’universalité de la valeur symbolique du nombre quatre, comme définissant la matérialité passive. Quatre, comme la Terre, ne créé pas,  mais contient tout ce qui se crée à partir de lui. Sa valeur est potentielle. Quatre est le nombre de la terre ; mais par extrapolation, il peut convenir au Dieu suprême, en ce qu’il contient tout, lui qui est l’alpha et l’oméga et qui laisse aux démiurges le soin de créer, d’animer en lui.

     

    En plus des quatre éléments et des quatre directions cardinales (commandées pour les Indiens Pueblo par les Quatre Dieux de la Pluie, et chez les Maya, par les quatre tiges, ou jaguars, défendant les plantations du village) les Zuni (Pueblo) voient, au fond de la terre, quatre cavernes, les quatre ventres de la Terre-Mère. De l’étage le plus bas, l’obscurité extrême du monde, viennent les hommes, grâce à l’action des jumeaux divins, les guerriers Ayahutas, créés par le soleil et envoyés par lui à la recherche des hommes. Pour arriver à la lumière, les hommes ont traversés le monde de la suie, le monde du soufre, le monde du brouillard, le monde des ailes (H. Lehman).

     

    Au Pérou, le chroniqueur Guaman Poma de Ayala parle également de quatre ères mythiques qui ont précédé la création de l’homme sous sa forme actuelle.  

     

    En résumé, quatre apparaît comme le signe de la potentialité, attendant que s’opère la manifestation, qui vient avec le cinq.

     

    Pour les Dogons du Mali, quatre est le nombre de la féminité, et, par extension, celui du soleil, symbole de la matrice originelle. La matrice fécondée, représentée comme un œuf ouvert vers le bas, réplique terrestre de l’œuf cosmique (fermé) a pour valeur numérique 4 (le haut, les deux côtés, l’ouverture) (GRIS). Quatre est également le nom donné au prépuce, considéré comme l’âme femelle de l’homme, qui est circoncis pour cette raison.

     

    Pour les Dogons, l’unique est l’erreur, l’impur. La pureté, c’est la justesse voulant que toute chose créée soit deux en un, jumelle faite de l’association des sexes – des principes contraires, comme on l’a vu en ce qui concerne l’âme. De ce fait, c’est sous la forme de son double, le huit, que le nombre quatre est le symbole de la création : il y a huit ancêtres et huit familles d’hommes, d’animaux, de plantes, etc., à l’origine des temps. Mais la perfection est représentée pour les Dogons et Bambaras par le 7, associant les deux principes – ou sexes – opposés : le 4, principe femelle et le 3, principe mâle (DIEB).

     

    La division de nombre en quatre plans, sur les branches d’une croix verticale orientée Ouest-Est, est attestée chez les Balubas et Luluas du Kasaï (Congo) (FOUA).

     

    Frobénius relève parmi les traits caractéristiques des cultures de la côte occidentale d’Afrique, de l’embouchure du Sénégal à celle du Congo, une sexualisation inverse des nombres Trois et Quatre, quatre étant ici un symbole masculin et trois un symbole féminin (FROA). Mais cette inversion des symboles paraît plutôt exceptionnelle.

     

    Quatre, nombre des éléments, est le nombre des portes que doit franchir l’adepte de la voie mystique, selon la tradition des Soufi et des anciennes congrégations de derviches turcs. A chacune de ses portes est associé un des quatre éléments, , dans l’ordre de progression suivant : air, feu, eau, terre. Ce symbolisme peut s’interpréter ainsi : à la première porte (le Sheriat), le néophyte qui ne connaît que le livre, c'est-à-dire la lettre de la religion, est dans l’air, c'est-à-dire dans le vide. Il se brûle au passage du seuil initiatique, représenté par la deuxième porte, qui est celle de la voie, autrement dit de l’engagement dans la discipline de l’ordre choisi (Tarikat) ; ceux qui ont passé cette deuxième porte sont parfois nommés les ascètes (Zahitler). La troisième porte ouvre à l’homme la connaissance mystique ; il devient un gnostique (Arif), et correspond à l’élément eau. Enfin, celui qui atteint Dieu et se fond en lui comme en l’unique Réalité (Hak), passe, avec la quatrième et dernière porte (celle du Hakikat) dans l’élément le plus dense, la terre. On nomme ces élus les Amants. De l’air à la terre, il y a là un renversement de l’évolution mystique, telle qu’elle est habituellement imaginée par un esprit européen ; et pourtant le chemin de perfection d’un Ibn Mansour el Alladj ou d’un Mewlana Jalal ed din Rûmi n’est pas si éloigné de celui d’une Thérèse d’Avila ou d’un Jean de la Croix. Mais la doctrine Soufi, plus nettement peut-être que la mystique chrétienne, est partie du postulat selon lequel ce que nous nommons Réalité n’est qu’un reflet (irréel donc) de la seule Réalité, divine et transcendante, cachée par le voile de dualité qui sépare le non-croyant de Dieu et le met ainsi en état de péché (pour la Théorie des Quatre Portes, voir J.-M. Birges, BIRD, 95 sq). On a remarqué qu’entre ces quatre états successifs de l’ascension mystique, figurés par autant de portes, il n’y en a qu’une, la seconde,  associée à la symbolique purificatrice et transformatrice du feu, qui constitue un seuil initiatique. Les étapes de l’ascension mystique proprement dites ne sont donc que trois : Tarikat, Marifet, Hakikat. Ce qui est extrêmement proche des trois degrés de perfection que reconnaissaient les néo-platoniciens d’Alexandrie : successivement la vertu, la sagesse et l’extase. C.-E. Monod-Herzen commente ces étapes en ces termes : Le premier degré correspond à la perfection de la vie sociale et s’atteint par la pratique de la porale, la contemplation intellectuelle procure le second et l’enthousiasme conduit au plus haut terme (MONA, 53). Ces idées étaient alors aussi bien celles d’un chrétien comme Clément d’Alexandrie que celles d’un païen comme Plotin.

     

    De ces quatre stades ou portes du perfectionnement mystique, on peut rapprocher l’évolution quaternaire de l’anima selon les théories de Jung ; le psychanalyste en prend pour représentation archétypales : Eve, qui représente des fonctions purement instinctuelles et biologiques ; l’Hélène de Faust, qui personnifie le niveau romantique et esthétique, encore caractérisés cependant par des éléments sexuels ; la Vierge Marie, chez qui l’amour (l’Eros) atteint l’altitude de la dévotion spirituelle ; et enfin la Sulamite du Cantique des Cantiques, incarnation de la Sagesse qui transcende même la sainteté de la pureté. La figure de Mona Lisa constituerait, selon Marie-Louise Von Franz, une autre représentation de ce stade quatrième et ultime de l’anima (JUNS, 185). On voit clairement, toutefois, combien cette conception spirituelle de l’école jungienne diffère des hiérarchies traditionnelles.

     

    Quoi qu’il en soit, le système entier de la pensée jungienne est fondé sur l’importance fondamentale qu’il reconnaît au nombre quatre, la quaternité représentant pour lui, le fondement archétype de la psyché humaine (JACC, 139), c'est-à-dire la totalité des processus psychiques conscients et inconscients (JUNT, 425). Toute son analyse des types psychologiques repose en effet sur sa théorie des quatre fonctions fondamentales de la conscience : la pensée, le sentiment, l’intuition, et la sensation (Ibid. p. 499).  Le psychanalyste maintient ici une attitude humaine qui paraît constante depuis le paléolithique et qui, depuis la croix des directions cardinales, présente à l’aube de toutes les cosmologies, passe par la théorie des initiés et des alchimistes, pour lesquels la quaternité constituait  un axiome fondamental dans la poursuite du Grand Œuvre et la recherche de la pierre Philosophale.

    (Dictionnaire des symboles – Robert Laffont)

     

     

     

    Le carré parfait est l'image de l'homme qui a atteint l'harmonie en lui. Entre esprit et matière, entre corps physique et corps spirituel, le point d’équilibre est atteint. 

    Voici les questions

      

    1/ Que représente pour vous le chiffre 4, les quatre points cardinaux, les quatre seizième et le concept de totalité ? Donnez une explication d’au moins 10 lignes sur chacun d’entre eux ?

     

    2/ Croyez-vous que le quatre agit comme une structure fondamentale de l’être, des choses et de l’Univers tout entier ? Pensez-vous qu’il à une influence sur vous, sur votre environnement, sur vos traditions et sur toutes les croyances traditionnelles ?

     

    3/ Y’a-t-il autour de vous, une structure environnementale naturelle, qui équilibrerait et harmoniserait le monde ? Argumentez votre point de vue ?   

     

    4/ Croyez-vous à la réincarnation, à la naissance, à la vie et à la mort, dans une suite de vie successives, jusqu’au nirvana le plus absolu ? Si oui, expliquez ce que vous en pensez ? Si non, dites pourquoi vous n’y croyez pas ?

     

    5/ Tous les cercles d’influences, du plus traditionnel au plus sacré, ont construit leurs enseignement à partir du chiffre quatre, pensez-vous avoir compris pourquoi ?

      

    6/ La terre est représentée par le chiffre quatre, pouvez-vous expliquer pourquoi, selon vous ? Y aurait-il un lien évident entre matérialité et chiffre quatre ?

     

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    Que la philosophie dégagée par les symboliques éclaire votre conscience d’une nouvelle lumière

    Recevez cher étudiant de la Conscience Universelle, toute mon Amitié Bienveillante et salutaire.

    Je vous aime infiniment, je vous aime infiniment, je vous aime infiniment

    Véronique-Arlette

    Namaste  

     

    Extrait des Packs étudiants « Être un cœur créateur »©Véronique-Arlette 2012

    Livre protégé par un Copyright intégrant le texte et les images

     

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